L'inFO du 62
Dégel du point d'indice avant l'été : c'est raté, un "tapis de bombes" de réformes promis.
Le gouvernement avait parlé d'un dégel du point d'indice avant l'été. L'été, c'est demain, la énième promesse non tenue de ce gouvernement s'évapore dans la canicule...La vraie promesse, c'est celle formulée par le député Le Gendre : "un tapis de bombes de réformes".
Au SNUDI, nous n'avons jamais cru un gouvernement qui a fait siens la trahison et le mensonge.
Avec l'inflation, ce sont presque 25% de pouvoir d'achat perdus par les PE depuis 2000.
Le chômage baisse prétendument...au sein de nos écoles, nous croisons quotidiennement la recette gouvernementale pour faire baisser le chômage
=> contractuel-les payés au lance-pierre
=> AESH payés sous le seuil de pauvreté
=> services civiques à 500 euros en lieu et place d'AED au statut pérenne.
Contre le « tapis de bombes de réformes » promis par le député LREM Le Gendre, nous opposons les revendications et la mobilisation.
=> dégel immédiat du point d'indice avec comme préalable les 183 euros obtenus par les hospitaliers
=> recrutement immédiat de toute la liste complémentaire et abondement pour avoir un enseignant titulaire dans chaque classe
=> un vrai statut, un vrai salaire, une vraie carrière pour les AESH et la suppression des PIAL
=> non à une quelconque réforme des retraites.
Le Ministre N'Diaye lance une énième discussion.
Quel cabinet privé, quel MacKinsey se gave et se cache encore derrière cet enfumage du ministre ? Le cabinet ministériel inchangé de Blanquer a-t-il pu enfin accoucher d'une idée sans engager des fonds privés ni s'attaquer à nos droits et nos statuts ?
Après les premières discussions avec le ministère, il s'avère que le Ministre N'Diaye sera un copier-coller de son prédécesseur de triste mémoire pour toute la profession.
Combattre ou débattre avec les sourds ?
42 postes de direction vacants : on ne vend plus de rêve.
Dans le Pas-de-Calais, ce sont 42 postes de direction restés sans attribution. Malgré le statut de chef qui se profile malgré l'opposition de 85% de la profession, ce poste ne vend plus de rêve.
Bien sûr, les ministères successifs, quelle que soit leur obédience politique, ont tout mis en œuvre pour dégrader les conditions d'exercice des directeur-trices, rendant les missions infaisables.
Aujourd'hui, le statut est présenté comme la panacée en remède à un mal inoculé par le ministère lui-même.
Pour le SNUDI-FO, le décret de 89 doit rester le fil à plomb des missions de direction d'école, centré sur l'intérêt des élèves et de l'école de la République.
Non au statut, non aux directeurs-trices évaluateurs et recruteurs.
Note : les candidatures sur les postes restés vacants sont à envoyer avant le 22 juin. Conditions : être sur la liste d'aptitude, ne pas être en poste, avoir participé au mouvement.
Dégel du point d'indice avant l'été : c'est raté, un "tapis de bombes" de réformes promis.
Le gouvernement avait parlé d'un dégel du point d'indice avant l'été. L'été, c'est demain, la énième promesse non tenue de ce gouvernement s'évapore dans la canicule...La vraie promesse, c'est celle formulée par le député Le Gendre : "un tapis de bombes de réformes".
Au SNUDI, nous n'avons jamais cru un gouvernement qui a fait siens la trahison et le mensonge.
Avec l'inflation, ce sont presque 25% de pouvoir d'achat perdus par les PE depuis 2000.
Le chômage baisse prétendument...au sein de nos écoles, nous croisons quotidiennement la recette gouvernementale pour faire baisser le chômage
=> contractuel-les payés au lance-pierre
=> AESH payés sous le seuil de pauvreté
=> services civiques à 500 euros en lieu et place d'AED au statut pérenne.
Contre le « tapis de bombes de réformes » promis par le député LREM Le Gendre, nous opposons les revendications et la mobilisation.
=> dégel immédiat du point d'indice avec comme préalable les 183 euros obtenus par les hospitaliers
=> recrutement immédiat de toute la liste complémentaire et abondement pour avoir un enseignant titulaire dans chaque classe
=> un vrai statut, un vrai salaire, une vraie carrière pour les AESH et la suppression des PIAL
=> non à une quelconque réforme des retraites.
Le Ministre N'Diaye lance une énième discussion.
Quel cabinet privé, quel MacKinsey se gave et se cache encore derrière cet enfumage du ministre ? Le cabinet ministériel inchangé de Blanquer a-t-il pu enfin accoucher d'une idée sans engager des fonds privés ni s'attaquer à nos droits et nos statuts ?
Après les premières discussions avec le ministère, il s'avère que le Ministre N'Diaye sera un copier-coller de son prédécesseur de triste mémoire pour toute la profession.
Combattre ou débattre avec les sourds ?
42 postes de direction vacants : on ne vend plus de rêve.
Dans le Pas-de-Calais, ce sont 42 postes de direction restés sans attribution. Malgré le statut de chef qui se profile malgré l'opposition de 85% de la profession, ce poste ne vend plus de rêve.
Bien sûr, les ministères successifs, quelle que soit leur obédience politique, ont tout mis en œuvre pour dégrader les conditions d'exercice des directeur-trices, rendant les missions infaisables.
Aujourd'hui, le statut est présenté comme la panacée en remède à un mal inoculé par le ministère lui-même.
Pour le SNUDI-FO, le décret de 89 doit rester le fil à plomb des missions de direction d'école, centré sur l'intérêt des élèves et de l'école de la République.
Non au statut, non aux directeurs-trices évaluateurs et recruteurs.
Note : les candidatures sur les postes restés vacants sont à envoyer avant le 22 juin. Conditions : être sur la liste d'aptitude, ne pas être en poste, avoir participé au mouvement.
Injonctions hors-sol : le SNUDI s'adresse au DASEN.
Il y aurait de quoi sourire si ce n'était pas le stigmate d'une hiérarchie hors-sol : on enjoint aux collègues remplaçants d'assurer la prise en charge de 2 ou 3 classes simultanément.
Le SNUDI a donc demandé au DASEN lors du CTSD de ce jour de revoir la copie et a pu rappeler ce qu'est la réalité du travail en REP+ :
=> les élèves sont dans leur écrasante majorité présents jusqu'au dernier jour
=> le cycle 3 n'est pas dédoublé.
Notre hiérarchie entérine des faits contre lesquels elle devrait être vent debout:
=> la scolarisation en juillet est faible, elle en profite plutôt que de lutter contre l'absentéisme
=> le remplacement, c'est occuper les élèves (sic) sans intention pédagogique
Injonctions intenables, décisions hiérarchiques, abus et attaques contre nos obligations de service : faites-nous remonter tous les "délires" de cette fin d'année...
Les personnels sont épuisés, hors de question qu'on en remette une couche !
Il faut RECRUTER des titulaires de toute urgence.
Le SNUDI se mobilise pour le recrutement immédiat sous statut ! Lire ici.
Injonctions (2) : les AESH aussi...
Formation des AESH : le délire. Venez donc avec votre poupon, votre ours en peluche, votre gel hydroalcoolique, votre tapis de gym et en sus faites un crochet par votre établissement pour ramasser le matériel...
Le tout pour moins de 800 euros par mois...un extrait édifiant ci-dessous
" (...) dans le cadre de votre formation PSC1 AESH et vous invitons dans le cadre du protocole sanitaire à vous munir d'une poupée ou peluche assez grande, taille d'un nourrisson (ce n'est pas une blague !) pour quelques pratiques de désobstruction. Nous vous invitons également à vous rapprocher de votre établissement de rattachement pour emprunter (si c'est possible), le Kit matériel (Mannequins adulte, enfant, nourrisson en secourisme).
Dans le cadre du protocole sanitaire, il est important que chacun ait son matériel de secourisme.
Nous vous remercions de bien vouloir vous munir également :
- d'un paquet de mouchoirs (Kleenex) ou gaze pour pratique de l'arrêt des hémorragies ainsi que d'un lien large et très long et d'un bâton de 10/15 cm (ex : spatule de cuisine en bois....)
- d'un tapis de sol ou couverture pour les pratiques au sol
- de gel hydro alcoolique et lingettes désinfectantes pour le matériel et vous-même" (...)
Et après ? Les AESH passent un coup de balai ?
Où est passé le RESPECT ?
Là aussi, le SNUDI (et lui seul) est intervenu auprès du DASEN pour lui rappeler bien sûr le droit mais aussi le plus élémentaire des respects qui est dû aux AESH...
Il n'a pu que confirmer que les personnels n'ont pas à acheter un tapis de gym ou un ours en peluche pour subir les formations...seul un masque peut être obligatoire.
=> le droit au respect, le respect de vos droits, c'est avec Force Ouvrière
=> un vrai statut de la Fonction Publique, un vrai salaire, un vrai déroulement de carrière, c'est avec FO !
N'Diaye vs Blanquer : pas l'ombre d'un changement.
A l'heure où le non-regretté JM Blanquer porte plainte pour « violence aggravée » pour quelques centilitres de Chantilly, le ministre N'Diaye agit dans la droite ligne ultra-libérale de son triste prédécesseur.
=> destruction du Service Public d'Enseignement, des postes, des statuts
=> recrutement massif de contractuels et modification du Code de l’Éducation pour leur donner le droit d'occuper des postes pérennes
=> extension de l’expérimentation marseillaise.
Aucun geste envers les personnels : point d'indice gelé, carrières et mutations bloquées, flicage permanent des pratiques pédagogiques par les constellations et les inspections d'école, création d'échelons de petits chefs (directeurs, CPC (?)
Les médecins de prévention sont formels : on n'a jamais vu autant d'enseignants, d'AESH (et d'administratifs) en épuisement professionnel...
Avec le SNUDI-FO, défendons nos droits, nos statuts, nos salaires !
Non à une quelconque expérimentation ! Lire notre communiqué.
Résister, revendiquer pour toutes et tous, sans exception.
Injonctions hors-sol : le SNUDI s'adresse au DASEN.
Il y aurait de quoi sourire si ce n'était pas le stigmate d'une hiérarchie hors-sol : on enjoint aux collègues remplaçants d'assurer la prise en charge de 2 ou 3 classes simultanément.
Le SNUDI a donc demandé au DASEN lors du CTSD de ce jour de revoir la copie et a pu rappeler ce qu'est la réalité du travail en REP+ :
=> les élèves sont dans leur écrasante majorité présents jusqu'au dernier jour
=> le cycle 3 n'est pas dédoublé.
Notre hiérarchie entérine des faits contre lesquels elle devrait être vent debout:
=> la scolarisation en juillet est faible, elle en profite plutôt que de lutter contre l'absentéisme
=> le remplacement, c'est occuper les élèves (sic) sans intention pédagogique
Injonctions intenables, décisions hiérarchiques, abus et attaques contre nos obligations de service : faites-nous remonter tous les "délires" de cette fin d'année...
Les personnels sont épuisés, hors de question qu'on en remette une couche !
Il faut RECRUTER des titulaires de toute urgence.
Le SNUDI se mobilise pour le recrutement immédiat sous statut ! Lire ici.
Injonctions (2) : les AESH aussi...
Formation des AESH : le délire. Venez donc avec votre poupon, votre ours en peluche, votre gel hydroalcoolique, votre tapis de gym et en sus faites un crochet par votre établissement pour ramasser le matériel...
Le tout pour moins de 800 euros par mois...un extrait édifiant ci-dessous
" (...) dans le cadre de votre formation PSC1 AESH et vous invitons dans le cadre du protocole sanitaire à vous munir d'une poupée ou peluche assez grande, taille d'un nourrisson (ce n'est pas une blague !) pour quelques pratiques de désobstruction. Nous vous invitons également à vous rapprocher de votre établissement de rattachement pour emprunter (si c'est possible), le Kit matériel (Mannequins adulte, enfant, nourrisson en secourisme).
Dans le cadre du protocole sanitaire, il est important que chacun ait son matériel de secourisme.
Nous vous remercions de bien vouloir vous munir également :
- d'un paquet de mouchoirs (Kleenex) ou gaze pour pratique de l'arrêt des hémorragies ainsi que d'un lien large et très long et d'un bâton de 10/15 cm (ex : spatule de cuisine en bois....)
- d'un tapis de sol ou couverture pour les pratiques au sol
- de gel hydro alcoolique et lingettes désinfectantes pour le matériel et vous-même" (...)
Et après ? Les AESH passent un coup de balai ?
Où est passé le RESPECT ?
Là aussi, le SNUDI (et lui seul) est intervenu auprès du DASEN pour lui rappeler bien sûr le droit mais aussi le plus élémentaire des respects qui est dû aux AESH...
Il n'a pu que confirmer que les personnels n'ont pas à acheter un tapis de gym ou un ours en peluche pour subir les formations...seul un masque peut être obligatoire.
=> le droit au respect, le respect de vos droits, c'est avec Force Ouvrière
=> un vrai statut de la Fonction Publique, un vrai salaire, un vrai déroulement de carrière, c'est avec FO !
N'Diaye vs Blanquer : pas l'ombre d'un changement.
A l'heure où le non-regretté JM Blanquer porte plainte pour « violence aggravée » pour quelques centilitres de Chantilly, le ministre N'Diaye agit dans la droite ligne ultra-libérale de son triste prédécesseur.
=> destruction du Service Public d'Enseignement, des postes, des statuts
=> recrutement massif de contractuels et modification du Code de l’Éducation pour leur donner le droit d'occuper des postes pérennes
=> extension de l’expérimentation marseillaise.
Aucun geste envers les personnels : point d'indice gelé, carrières et mutations bloquées, flicage permanent des pratiques pédagogiques par les constellations et les inspections d'école, création d'échelons de petits chefs (directeurs, CPC (?)
Les médecins de prévention sont formels : on n'a jamais vu autant d'enseignants, d'AESH (et d'administratifs) en épuisement professionnel...
Avec le SNUDI-FO, défendons nos droits, nos statuts, nos salaires !
Non à une quelconque expérimentation ! Lire notre communiqué.
Résister, revendiquer pour toutes et tous, sans exception.
Nouveau ministre, rien de nouveau.
Après un ministre aux orientations pour le moins inquiétantes (chasse au « wokisme », aux « islamo-gauchistes », campagne laïcité stigmatisant les élèves aux prénoms « étrangers », pont d'or fait à l'enseignement privé, insultes permanentes envers la profession), la carte Pap N'Diaye est jouée pour simuler une rupture. La feuille de route est la même pourtant...
=> destruction des statuts,
=> aucune proposition pour pallier le manque d'attractivité,
=> salaires indignes particulièrement chez les AESH, remise sine die des discussions sur les revalorisations.
Le Ministre N'Diaye annonce ne pas se lancer dans la réforme des contre-réformes blanquéristes.
Il n'est qu'un copier-coller du ministre précédent dont il n'y aura rien à attendre sans mener la bagarre ! Si les orientations sur le papier (de différents journaux) de ce ministre sont présentées comme différentes, il faut croire que la soupe est trop bonne pour décliner le job...
FO reçue par le ministre N'Diaye, lire le compte-rendu ici
De PPCR au Grenelle 2.0, rien ne va plus.
A l'origine de tous les changements et réformes qui secouent la profession : PPCR et son accompagnement continu en lieu et place de l'inspection. Faire de nous des stagiaires à vie coincés par une évaluation gravée dans le marbre à la tête du client...la belle affaire.
Si l'inspection triennale n'était pas la panacée, l'évaluation PPCR et l'accompagnement permanent prévu dès la mise en place de PPCR sont pires : PPCR, c'est le bâton mais sans la carotte. Les appréciations restent gravées dans le marbre, on est sous les feux de l'évaluation sans espoir d'améliorer sa carrière.
Les arnaqueurs de PPCR se frottent les mains : destruction des promotions, des formations, des carrières : une seule revendication, l'abrogation de PPCR lancée par Valls, Hollande et leurs valets.
PPCR, c'est l'austérité ! Lire ici.
Tout sur PPCR ici, 4 pages à lire impérativement !
Organisons-nous pour nous défendre.
Venez nous retrouver, échangeons, faites remonter vos problèmes et demandes, il est temps de nous organiser.
Le but de ce gouvernement, comme de ses prédécesseurs, est d'en finir avec toutes les conquêtes sociales d'après-guerre : retraites, assurance-chômage, sécurité sociale, service public, représentation syndicale.
Avec Force Ouvrière, luttez contre un retour cent ans en arrière sous couvert de « modernisation ». On défend nos droits, nos statuts, nos salaires !
Résister, revendiquer pour toutes et tous, sans exception.
Les prochaines RIS sur notre site https://snudifo62.fr/
ATTENTION : RIS d'Athies (secteur Arras) le samedi 25 juin, 9h30 !
Nouveau ministre, rien de nouveau.
Après un ministre aux orientations pour le moins inquiétantes (chasse au « wokisme », aux « islamo-gauchistes », campagne laïcité stigmatisant les élèves aux prénoms « étrangers », pont d'or fait à l'enseignement privé, insultes permanentes envers la profession), la carte Pap N'Diaye est jouée pour simuler une rupture. La feuille de route est la même pourtant...
=> destruction des statuts,
=> aucune proposition pour pallier le manque d'attractivité,
=> salaires indignes particulièrement chez les AESH, remise sine die des discussions sur les revalorisations.
Le Ministre N'Diaye annonce ne pas se lancer dans la réforme des contre-réformes blanquéristes.
Il n'est qu'un copier-coller du ministre précédent dont il n'y aura rien à attendre sans mener la bagarre ! Si les orientations sur le papier (de différents journaux) de ce ministre sont présentées comme différentes, il faut croire que la soupe est trop bonne pour décliner le job...
FO reçue par le ministre N'Diaye, lire le compte-rendu ici
De PPCR au Grenelle 2.0, rien ne va plus.
A l'origine de tous les changements et réformes qui secouent la profession : PPCR et son accompagnement continu en lieu et place de l'inspection. Faire de nous des stagiaires à vie coincés par une évaluation gravée dans le marbre à la tête du client...la belle affaire.
Si l'inspection triennale n'était pas la panacée, l'évaluation PPCR et l'accompagnement permanent prévu dès la mise en place de PPCR sont pires : PPCR, c'est le bâton mais sans la carotte. Les appréciations restent gravées dans le marbre, on est sous les feux de l'évaluation sans espoir d'améliorer sa carrière.
Les arnaqueurs de PPCR se frottent les mains : destruction des promotions, des formations, des carrières : une seule revendication, l'abrogation de PPCR lancée par Valls, Hollande et leurs valets.
PPCR, c'est l'austérité ! Lire ici.
Tout sur PPCR ici, 4 pages à lire impérativement !
Organisons-nous pour nous défendre.
Venez nous retrouver, échangeons, faites remonter vos problèmes et demandes, il est temps de nous organiser.
Le but de ce gouvernement, comme de ses prédécesseurs, est d'en finir avec toutes les conquêtes sociales d'après-guerre : retraites, assurance-chômage, sécurité sociale, service public, représentation syndicale.
Avec Force Ouvrière, luttez contre un retour cent ans en arrière sous couvert de « modernisation ». On défend nos droits, nos statuts, nos salaires !
Résister, revendiquer pour toutes et tous, sans exception.
Les prochaines RIS sur notre site https://snudifo62.fr/
ATTENTION : RIS d'Athies (secteur Arras) le samedi 25 juin, 9h30 !
Évaluations d'école : pour FO, c'est un véritable NON !
Adossée à PPCR, l'évaluation d'école permettra une conduite managériale de l'école avec à la clé absolument RIEN pour les personnels.
Contrairement aux anciennes inspections, les inspections d'école n'apporteront rien à chacun-e d'entre nous. Si l'inspection triennale n'était pas la panacée, elle permettait à chacun d'envisager une progression plus ou moins rapide dans les échelons.
Aujourd'hui, nous serons évalués par une charrette de personnels extérieurs à la circonscription, notre travail sera mis sur la sellette par les parents, les élèves, les élus.
L'évaluation d'école, c'est le « Trip Advisor » de l’Éducation Nationale.
L'évaluation d'école, c'est la porte d'entrée pour des salaires et des primes individualisés en fonction de la tête du client, comme en éducation prioritaire, comme les IEN dont une partie du salaire est « au mérite ».
Ainsi, le gouvernement pourra s'enorgueillir de hausses de salaire alors qu'il s'agira de récompenser quelques-uns au détriment du dégel du point d'indice.
Force Ouvrière ne s'inscrit aucunement dans cette logique, ni par les discours, ni par les actes. Aucun des syndicalistes Force Ouvrière ne quémande auprès de son IEN ou du DASEN pour venir évaluer les collègues ou s'introduire dans vos classes.
Et pour cause, nous défendons nos statuts, nous ne participerons pas à les abattre.
=> non aux inspections d'école, au pilotage par l'évaluation.
=> non aux « constellations »
=> non à PPCR, la genèse de toute cette déréglementation.
Remplacement : rien ne va plus.
Mi-mai et les circonscriptions sont encore en tension, quasi toutes en déficit de remplaçants alors que le Covid semble pour l'instant refluer. Arrêts maladie « ordinaires », épuisement professionnel, les héros sont fatigués.
En cause ? Un métier qui perd son sens, une école abandonnée qui devient son propre recours à tous les niveaux. Pour preuve, le déficit au concours est énorme, les académies commencent à se constituer un « vivier » (terme de l'administration...on ne vaut pas plus qu'un poisson) de contractuels.
Le Ministère refuse de donner les chiffres des concours, lire ici
Notre métier ne peut pas consister en la rédaction de projets pour pallier la destruction des RASED, des postes ASH, des postes de remplaçants, et inclure sans moyens, sans AESH.
Les missions et statuts de chacun doivent être respectés : BD et BDFC doivent pouvoir exercer leur métier sereinement, en accord avec les textes réglementant leurs missions. C'est en ce sens que le SNUDI 62 s'est adressé au DASEN.
C'est la logique de management qui a prévalu chez France Telecom et qui conduisit à une vague de suicides...
Rendre le travail infaisable => décourager => épuiser => constater que rien ne va => privatiser => embaucher des contractuels sous-payés et sans droits.
Remplacement : le communiqué du SNUDI ici
Organisons-nous pour nous défendre.
Le SNUDI-FO, un syndicat uniquement tourné vers la défense des personnels et des moyens, vous propose des stages (nous en reprogrammerons dès la rentrée pour celles et ceux qui les ont ratés en cette fin d'année) et des RIS.
Article "droit syndical" à lire ici
Venez nous retrouver, échangeons, faites remonter vos problèmes et demandes, il est temps de nous organiser.
Le but de ce gouvernement, comme de ses prédécesseurs, est d'en finir avec toutes les conquêtes sociales d'après-guerre : retraites, assurance-chômage, sécurité sociale, service public, représentation syndicale.
Avec Force Ouvrière, luttez contre un retour un siècle en arrière sous couvert de « modernisation ». On défend nos droits, nos statuts, nos salaires !
Résister, revendiquer pour toutes et tous, sans exception.
Les prochaines RIS sur notre site https://snudifo62.fr/
Évaluations d'école : pour FO, c'est un véritable NON !
Adossée à PPCR, l'évaluation d'école permettra une conduite managériale de l'école avec à la clé absolument RIEN pour les personnels.
Contrairement aux anciennes inspections, les inspections d'école n'apporteront rien à chacun-e d'entre nous. Si l'inspection triennale n'était pas la panacée, elle permettait à chacun d'envisager une progression plus ou moins rapide dans les échelons.
Aujourd'hui, nous serons évalués par une charrette de personnels extérieurs à la circonscription, notre travail sera mis sur la sellette par les parents, les élèves, les élus.
L'évaluation d'école, c'est le « Trip Advisor » de l’Éducation Nationale.
L'évaluation d'école, c'est la porte d'entrée pour des salaires et des primes individualisés en fonction de la tête du client, comme en éducation prioritaire, comme les IEN dont une partie du salaire est « au mérite ».
Ainsi, le gouvernement pourra s'enorgueillir de hausses de salaire alors qu'il s'agira de récompenser quelques-uns au détriment du dégel du point d'indice.
Force Ouvrière ne s'inscrit aucunement dans cette logique, ni par les discours, ni par les actes. Aucun des syndicalistes Force Ouvrière ne quémande auprès de son IEN ou du DASEN pour venir évaluer les collègues ou s'introduire dans vos classes.
Et pour cause, nous défendons nos statuts, nous ne participerons pas à les abattre.
=> non aux inspections d'école, au pilotage par l'évaluation.
=> non aux « constellations »
=> non à PPCR, la genèse de toute cette déréglementation.
Remplacement : rien ne va plus.
Mi-mai et les circonscriptions sont encore en tension, quasi toutes en déficit de remplaçants alors que le Covid semble pour l'instant refluer. Arrêts maladie « ordinaires », épuisement professionnel, les héros sont fatigués.
En cause ? Un métier qui perd son sens, une école abandonnée qui devient son propre recours à tous les niveaux. Pour preuve, le déficit au concours est énorme, les académies commencent à se constituer un « vivier » (terme de l'administration...on ne vaut pas plus qu'un poisson) de contractuels.
Le Ministère refuse de donner les chiffres des concours, lire ici
Notre métier ne peut pas consister en la rédaction de projets pour pallier la destruction des RASED, des postes ASH, des postes de remplaçants, et inclure sans moyens, sans AESH.
Les missions et statuts de chacun doivent être respectés : BD et BDFC doivent pouvoir exercer leur métier sereinement, en accord avec les textes réglementant leurs missions. C'est en ce sens que le SNUDI 62 s'est adressé au DASEN.
C'est la logique de management qui a prévalu chez France Telecom et qui conduisit à une vague de suicides...
Rendre le travail infaisable => décourager => épuiser => constater que rien ne va => privatiser => embaucher des contractuels sous-payés et sans droits.
Remplacement : le communiqué du SNUDI ici
Organisons-nous pour nous défendre.
Le SNUDI-FO, un syndicat uniquement tourné vers la défense des personnels et des moyens, vous propose des stages (nous en reprogrammerons dès la rentrée pour celles et ceux qui les ont ratés en cette fin d'année) et des RIS.
Article "droit syndical" à lire ici
Venez nous retrouver, échangeons, faites remonter vos problèmes et demandes, il est temps de nous organiser.
Le but de ce gouvernement, comme de ses prédécesseurs, est d'en finir avec toutes les conquêtes sociales d'après-guerre : retraites, assurance-chômage, sécurité sociale, service public, représentation syndicale.
Avec Force Ouvrière, luttez contre un retour un siècle en arrière sous couvert de « modernisation ». On défend nos droits, nos statuts, nos salaires !
Résister, revendiquer pour toutes et tous, sans exception.
Les prochaines RIS sur notre site https://snudifo62.fr/
Et maintenant ?
A Force Ouvrière, fidèles à nos statuts, nous n'avons JAMAIS donné aucune consigne de vote.
Force Ouvrière ne s'inscrit dans aucune logique de co-législation, d'accompagnement ou même d'union nationale derrière un "chef".
=> nous tenons à maintenir une stricte imperméabilité entre notre syndicat et la hiérarchie, les élu-es, le gouvernement.
On a trop souvent vu des "syndicats" agir en tant que « missi dominici » des partis politiques au pouvoir, des organisations patronales ou de la hiérarchie (voire les trois) plutôt qu'en stricts défenseurs des salarié-es.
=> nous nous considérons comme de stricts collègues de chacun des enseignant-es, AESH et autres personnels. Nous ne revêtons pas les habits de «directeurs de conscience » à chaque élection.
Le précédent quinquennat a été marqué par la violence de la répression lors des manifestations, le mépris, les insultes, la pénalisation de l'action syndicale, la fin des CAPD assurant la transparence des carrières, des promotions, des affectations, les mensonges, le remplacement du dialogue social par l'information descendante, la mise au ban des ministres et des députés au profit de "conseils de défense" et de cabinets de conseil proches du pouvoir payés sur nos impôts.
Dans notre Ministère, JM Blanquer et ses sous-fifres ont lancé la chasse au "wokisme", à "l'islamo-gauchisme", reprenant les thèmes favoris (et le langage) de ceux qu'ils prétendent combattre.
Et maintenant ?
Nous le savons pour l'avoir étudié en détail, le programme ultra-libéral du candidat élu porte en son sein tout ce qu'il faut pour dynamiter l’Éducation (qui n'aura plus de nationale que le nom) et les statuts des personnels.
=> allongement des durées de cotisation, travailler jusqu'à l'épuisement total
=> diminution des dépenses sociales (taper sur les familles, les étudiants, l'hôpital public, les privés d'emploi, les retraité-es, les personnes en situation de handicap...)
=> diminution du nombre de fonctionnaires, auxquels on préférera des statuts de précaires et non plus un emploi et une carrière à vie en pérennisant la smicardisation de la Fonction Publique
=> des écoles-entreprises autonomes
=> un droit à l'instruction différent sur le territoire national
=> évaluation managériale initiée par PPCR portée à son paroxysme
Dès le 1er mai, montrons que nous ne sommes pas les victimes expiatoires des logiques sacrificielles de la start-up nation.
Pour un 1er mai de revendications !
=> non à la réforme des retraites
=> non à la destruction des statuts
=> revalorisation immédiate des salaires et des retraites.
Tous les horaires des rassemblements disponibles bientôt sur notre page.
Évaluation d'école : l'école des apprentis-managers.
Parents, élèves, élu-es, principaux de collège, directeur-trices adoubés par l'IEN par copinage et bombardés "évaluateurs", voilà les évaluateurs : chacun va pouvoir y aller de son attaque contre l'école et mesurer notre degré d'auto-flagellation.
Les IEN se retrouvent totalement dépossédés de leurs prérogatives.
Non, l'évaluation d'école ne se fait pas sur des bases déontologiques puisque d'une part nous ne connaissons pas encore cette charte et que d'autre part nommer des collègues sans responsabilité hiérarchique pour venir nous évaluer ne repose pas sur une quelconque déontologie.
Le but de ces inspections d'école s'inscrit dans la logique de PPCR : remplacer l'inspection triennale (qui pouvait rapporter quelques points, des passages d'échelon accélérés faute d'être la panacée) par un accompagnement permanent : constellations, accompagnement individuel et collectif.
Le SNUDI-FO, en parfaite COHÉRENCE avec son refus du protocole PPCR maintient ses revendications
=> non à l'accompagnement PPCR, qu'il soit individuel ou collectif
=> non à des évaluations et accompagnements sans effet sur la carrière réalisées par des personnes sans légitimité
=> non au pilotage par l'évaluation
=> abrogation de PPCR et de ses déclinaisons.
La résistance s'organise, lire ici.
Informez-vous, défendons-nous : les stages syndicaux.
Le SNUDI-FO 62 organise pour tous les collègues des stages de formation syndicale pour connaître ses droits, s'organiser et se défendre.
Quelques rappels (nous vous rappellerons le cadre réglementaire complet à l'inscription)
=> ces stages sont ouverts à toutes et tous AESH et PE
=> vous devez prévenir votre IEN au moins un mois avant la tenue du stage
=> contrairement aux RIS auxquelles vous pouvez participer librement, les stages sont sur inscription auprès du syndicat
=> les repas du midi sont pris en charge par le syndicat pour les adhérent-es.
Les dates, thèmes et lieux :
Des stages consacrés uniquement aux AESH
=> Mardi 31 mai à Calais (Bourse du Travail) INSCRIPTION URGENTE (un mois de délai!)
=> Vendredi 1er juillet à Lens (Union Départementale FO)
Des stages « inclusion systématique: nos droits »
=> Vendredi 3 juin à Lens (Union Départementale FO)
=> Mardi 7 juin à Calais (Bourse du Travail)
=> Vendredi 10 juin à Saint-Omer (Bourse du Travail)
S'inscrire : deux solutions
par mail : contact@snudifo62
par téléphone : deux numéros 06.13.77.43.84 ou 06.21.21.83.38, appel ou SMS en laissant vos coordonnées (mail)
Les documents vous parviendront dans la semaine.
Attention, le nombre de places est limité ! Inscrivez-vous rapidement !
Et maintenant ?
A Force Ouvrière, fidèles à nos statuts, nous n'avons JAMAIS donné aucune consigne de vote.
Force Ouvrière ne s'inscrit dans aucune logique de co-législation, d'accompagnement ou même d'union nationale derrière un "chef".
=> nous tenons à maintenir une stricte imperméabilité entre notre syndicat et la hiérarchie, les élu-es, le gouvernement.
On a trop souvent vu des "syndicats" agir en tant que « missi dominici » des partis politiques au pouvoir, des organisations patronales ou de la hiérarchie (voire les trois) plutôt qu'en stricts défenseurs des salarié-es.
=> nous nous considérons comme de stricts collègues de chacun des enseignant-es, AESH et autres personnels. Nous ne revêtons pas les habits de «directeurs de conscience » à chaque élection.
Le précédent quinquennat a été marqué par la violence de la répression lors des manifestations, le mépris, les insultes, la pénalisation de l'action syndicale, la fin des CAPD assurant la transparence des carrières, des promotions, des affectations, les mensonges, le remplacement du dialogue social par l'information descendante, la mise au ban des ministres et des députés au profit de "conseils de défense" et de cabinets de conseil proches du pouvoir payés sur nos impôts.
Dans notre Ministère, JM Blanquer et ses sous-fifres ont lancé la chasse au "wokisme", à "l'islamo-gauchisme", reprenant les thèmes favoris (et le langage) de ceux qu'ils prétendent combattre.
Et maintenant ?
Nous le savons pour l'avoir étudié en détail, le programme ultra-libéral du candidat élu porte en son sein tout ce qu'il faut pour dynamiter l’Éducation (qui n'aura plus de nationale que le nom) et les statuts des personnels.
=> allongement des durées de cotisation, travailler jusqu'à l'épuisement total
=> diminution des dépenses sociales (taper sur les familles, les étudiants, l'hôpital public, les privés d'emploi, les retraité-es, les personnes en situation de handicap...)
=> diminution du nombre de fonctionnaires, auxquels on préférera des statuts de précaires et non plus un emploi et une carrière à vie en pérennisant la smicardisation de la Fonction Publique
=> des écoles-entreprises autonomes
=> un droit à l'instruction différent sur le territoire national
=> évaluation managériale initiée par PPCR portée à son paroxysme
Dès le 1er mai, montrons que nous ne sommes pas les victimes expiatoires des logiques sacrificielles de la start-up nation.
Pour un 1er mai de revendications !
=> non à la réforme des retraites
=> non à la destruction des statuts
=> revalorisation immédiate des salaires et des retraites.
Tous les horaires des rassemblements disponibles bientôt sur notre page.
Évaluation d'école : l'école des apprentis-managers.
Parents, élèves, élu-es, principaux de collège, directeur-trices adoubés par l'IEN par copinage et bombardés "évaluateurs", voilà les évaluateurs : chacun va pouvoir y aller de son attaque contre l'école et mesurer notre degré d'auto-flagellation.
Les IEN se retrouvent totalement dépossédés de leurs prérogatives.
Non, l'évaluation d'école ne se fait pas sur des bases déontologiques puisque d'une part nous ne connaissons pas encore cette charte et que d'autre part nommer des collègues sans responsabilité hiérarchique pour venir nous évaluer ne repose pas sur une quelconque déontologie.
Le but de ces inspections d'école s'inscrit dans la logique de PPCR : remplacer l'inspection triennale (qui pouvait rapporter quelques points, des passages d'échelon accélérés faute d'être la panacée) par un accompagnement permanent : constellations, accompagnement individuel et collectif.
Le SNUDI-FO, en parfaite COHÉRENCE avec son refus du protocole PPCR maintient ses revendications
=> non à l'accompagnement PPCR, qu'il soit individuel ou collectif
=> non à des évaluations et accompagnements sans effet sur la carrière réalisées par des personnes sans légitimité
=> non au pilotage par l'évaluation
=> abrogation de PPCR et de ses déclinaisons.
La résistance s'organise, lire ici.
Informez-vous, défendons-nous : les stages syndicaux.
Le SNUDI-FO 62 organise pour tous les collègues des stages de formation syndicale pour connaître ses droits, s'organiser et se défendre.
Quelques rappels (nous vous rappellerons le cadre réglementaire complet à l'inscription)
=> ces stages sont ouverts à toutes et tous AESH et PE
=> vous devez prévenir votre IEN au moins un mois avant la tenue du stage
=> contrairement aux RIS auxquelles vous pouvez participer librement, les stages sont sur inscription auprès du syndicat
=> les repas du midi sont pris en charge par le syndicat pour les adhérent-es.
Les dates, thèmes et lieux :
Des stages consacrés uniquement aux AESH
=> Mardi 31 mai à Calais (Bourse du Travail) INSCRIPTION URGENTE (un mois de délai!)
=> Vendredi 1er juillet à Lens (Union Départementale FO)
Des stages « inclusion systématique: nos droits »
=> Vendredi 3 juin à Lens (Union Départementale FO)
=> Mardi 7 juin à Calais (Bourse du Travail)
=> Vendredi 10 juin à Saint-Omer (Bourse du Travail)
S'inscrire : deux solutions
par mail : contact@snudifo62
par téléphone : deux numéros 06.13.77.43.84 ou 06.21.21.83.38, appel ou SMS en laissant vos coordonnées (mail)
Les documents vous parviendront dans la semaine.
Attention, le nombre de places est limité ! Inscrivez-vous rapidement !
CTSD du 28 avril : compte-rendu.
Situation sanitaire.
Avec un taux d'incidence supérieur à 1000, le Pas-de-Calais est l'un des départements les plus touchés par le rebond épidémique.
Si le nombre d'élèves touchés stagne (379 contre 383, soit -4), le nombre d'enseignant-es du 1er degré malade augmente significativement ainsi que celui de non-remplacement.
A ce jour 54 enseignant-s sont touchés (contre 29 il y a deux semaines, +25), 345 collègues ne sont pas remplacés contre 209 il y a deux semaines (+136). L'impact sur les hôpitaux ne serait pas significatif.
Aujourd'hui on paye la politique gouvernementale qui tourne le dos à nos revendications :
=> recrutement de la liste complémentaire
=> réabondement de cette liste autant que nécessaire : la loi permet au Ministère de recruter sur liste complémentaire jusqu'au concours suivant. Qu'il le fasse !
Evaluation d'écoles.
Dès septembre 2022, le cadre réglementaire s'impose. Les premiers 20% d'écoles seront évaluées...y compris par les parents ou les élèves. Le discours institutionnel est bien rodé : « évaluer, c'est donner de la valeur », « charte déontologique de l'évaluateur » mais pour Force Ouvrière, l'enfumage est total. Quant à la déontologie...chacun se fera son opinion.
=> l'évaluation d'école, c'est une évaluation qui ne change rien à nos carrières : aucune promotion n'est prévue à l'issue, c'est une évaluation de mise en conformation sans effet, c'est PPCR dans toute sa splendeur : remplacer les inspections potentiellement sources de promotion contre des accompagnements gratuits.
Nos revendications restent d'actualité
=> non à l'accompagnement PPCR, qu'il soit individuel ou collectif
=> non à des évaluations et accompagnements sans effet sur la carrière
=> non au pilotage par l'évaluation
=> abrogation de PPCR et de ses avatars.
Dynamitage de l'école publique, des statuts et des retraites.
Demandez le programme !
Le candidat-président (ou l'inverse on ne sait plus) annonce le programme.
Travailler plus pour gagner moins, retraites pulvérisées, école publique dynamitée.
=> des écoles-entreprises autonomes
=> un droit à l'instruction différent sur le territoire national
=> évaluation managériale initiée par PPCR portée à son paroxysme
=> travailler jusqu'à épuisement total sans pouvoir profiter « des jours heureux » que le président promettait en mars 2020 (mais qui y a cru?)
Pour Force Ouvrière, la ligne reste claire
=> abrogation de PPCR et de sa logique managériale
=> aucun recul de l'âge de départ et abrogation des lois Woerth-Chirac / Fillon-Sarkozy / Ayrault-Hollande
=> la revalorisation pour tous de 22% du point d'indice, perte évaluée par l'INSEE depuis 2000
=> non à l'École des territoires contre l’École de la République.
Informez-vous, défendons-nous : les stages syndicaux.
Le SNUDI-FO 62 organise pour tous les collègues des stages de formation syndicale pour connaître ses droits, s'organiser et se défendre.
Quelques rappels (nous vous rappellerons le cadre réglementaire complet à l'inscription)
=> ces stages sont ouverts à toutes et tous AESH et PE
=> vous devez prévenir votre IEN au moins un mois avant la tenue du stage
=> contrairement aux RIS auxquelles vous pouvez participer librement, les stages sont sur inscription auprès du syndicat
=> les repas du midi sont pris en charge par le syndicat pour les adhérent-es.
Les dates, thèmes et lieux :
Pour tout connaître sur vos droits et vos obligations...le stage « connaître ses droits »
=> Vendredi 6 mai à Lens (Union Départementale FO) INSCRIPTION URGENTE. Il reste quelques places.
=> Mardi 10 mai à Calais (Bourse du Travail) INSCRIPTION URGENTE
=> Lundi 16 mai à Longfossé (Salle des fêtes)
=> Lundi 23 mai à Saint-Omer (bourse du Travail)
Des stages consacrés uniquement aux AESH
=> Mardi 24 mai à Saint-Omer (bourse du Travail)
=> Mardi 31 mai à Calais (Bourse du Travail)
=> Vendredi 1er juillet à Lens (Union Départementale FO)
Des stages « inclusion systématique: nos droits »
=> Vendredi 3 juin à Lens (Union Départementale FO)
=> Mardi 7 juin à Calais (Bourse du Travail)
=> Vendredi 10 juin à Saint-Omer (Bourse du Travail)
S'inscrire : deux solutions
par mail : contact@snudifo62
par téléphone : deux numéros 06.13.77.43.84 ou 06.21.21.83.38, appel ou SMS en laissant vos coordonnées (mail)
Les documents vous parviendront dans la semaine.
Attention, le nombre de place est limité ! Inscrivez-vous rapidement !
Des RIS « spécial mouvement ».
Ces RIS se tiendront sur le temps d'ouverture du serveur (4 au 19 avril)
En « présentiel »
mardi 5 avril, à partir de 17h30 à Calais, Bourse du Travail, Place Crèvecoeur
mardi 5 avril, à partir de 17h30 à Arras, maison des Sociétés, Rue Aristide Briand
En visioconférence
mercredi 6 avril, 9h30 sur inscription uniquement : contact@snudifo62
Nous tiendrons également des permanences téléphoniques durant la période des vacances de printemps, plus d'infos dans un prochain Flash InFO.
Note : il est possible, comme les années précédentes, qu'il y ait des dysfonctionnements à l'ouverture du serveur. L'administration a confirmé qu'en cas de bug intempestif, la durée d'ouverture serait prolongée y compris au-delà des vacances si nécessaire.
Nos revendications sur le mouvement sont concrètes
=> retour des organisations syndicales lors de CAPD « mouvement » pour en garantir la transparence, abrogation de la « loi de transformation de la fonction publique » et de PPCR qui organisent l'opacité du mouvement et des promotions.
=> un deuxième temps informatisé avec respect du barème
=> aucune affectation non désirée
=> aucune extension des vœux, sur type de poste comme sur zone géographique.
CTSD du 28 avril : compte-rendu.
Situation sanitaire.
Avec un taux d'incidence supérieur à 1000, le Pas-de-Calais est l'un des départements les plus touchés par le rebond épidémique.
Si le nombre d'élèves touchés stagne (379 contre 383, soit -4), le nombre d'enseignant-es du 1er degré malade augmente significativement ainsi que celui de non-remplacement.
A ce jour 54 enseignant-s sont touchés (contre 29 il y a deux semaines, +25), 345 collègues ne sont pas remplacés contre 209 il y a deux semaines (+136). L'impact sur les hôpitaux ne serait pas significatif.
Aujourd'hui on paye la politique gouvernementale qui tourne le dos à nos revendications :
=> recrutement de la liste complémentaire
=> réabondement de cette liste autant que nécessaire : la loi permet au Ministère de recruter sur liste complémentaire jusqu'au concours suivant. Qu'il le fasse !
Evaluation d'écoles.
Dès septembre 2022, le cadre réglementaire s'impose. Les premiers 20% d'écoles seront évaluées...y compris par les parents ou les élèves. Le discours institutionnel est bien rodé : « évaluer, c'est donner de la valeur », « charte déontologique de l'évaluateur » mais pour Force Ouvrière, l'enfumage est total. Quant à la déontologie...chacun se fera son opinion.
=> l'évaluation d'école, c'est une évaluation qui ne change rien à nos carrières : aucune promotion n'est prévue à l'issue, c'est une évaluation de mise en conformation sans effet, c'est PPCR dans toute sa splendeur : remplacer les inspections potentiellement sources de promotion contre des accompagnements gratuits.
Nos revendications restent d'actualité
=> non à l'accompagnement PPCR, qu'il soit individuel ou collectif
=> non à des évaluations et accompagnements sans effet sur la carrière
=> non au pilotage par l'évaluation
=> abrogation de PPCR et de ses avatars.
Dynamitage de l'école publique, des statuts et des retraites.
Demandez le programme !
Le candidat-président (ou l'inverse on ne sait plus) annonce le programme.
Travailler plus pour gagner moins, retraites pulvérisées, école publique dynamitée.
=> des écoles-entreprises autonomes
=> un droit à l'instruction différent sur le territoire national
=> évaluation managériale initiée par PPCR portée à son paroxysme
=> travailler jusqu'à épuisement total sans pouvoir profiter « des jours heureux » que le président promettait en mars 2020 (mais qui y a cru?)
Pour Force Ouvrière, la ligne reste claire
=> abrogation de PPCR et de sa logique managériale
=> aucun recul de l'âge de départ et abrogation des lois Woerth-Chirac / Fillon-Sarkozy / Ayrault-Hollande
=> la revalorisation pour tous de 22% du point d'indice, perte évaluée par l'INSEE depuis 2000
=> non à l'École des territoires contre l’École de la République.
Informez-vous, défendons-nous : les stages syndicaux.
Le SNUDI-FO 62 organise pour tous les collègues des stages de formation syndicale pour connaître ses droits, s'organiser et se défendre.
Quelques rappels (nous vous rappellerons le cadre réglementaire complet à l'inscription)
=> ces stages sont ouverts à toutes et tous AESH et PE
=> vous devez prévenir votre IEN au moins un mois avant la tenue du stage
=> contrairement aux RIS auxquelles vous pouvez participer librement, les stages sont sur inscription auprès du syndicat
=> les repas du midi sont pris en charge par le syndicat pour les adhérent-es.
Les dates, thèmes et lieux :
Pour tout connaître sur vos droits et vos obligations...le stage « connaître ses droits »
=> Vendredi 6 mai à Lens (Union Départementale FO) INSCRIPTION URGENTE. Il reste quelques places.
=> Mardi 10 mai à Calais (Bourse du Travail) INSCRIPTION URGENTE
=> Lundi 16 mai à Longfossé (Salle des fêtes)
=> Lundi 23 mai à Saint-Omer (bourse du Travail)
Des stages consacrés uniquement aux AESH
=> Mardi 24 mai à Saint-Omer (bourse du Travail)
=> Mardi 31 mai à Calais (Bourse du Travail)
=> Vendredi 1er juillet à Lens (Union Départementale FO)
Des stages « inclusion systématique: nos droits »
=> Vendredi 3 juin à Lens (Union Départementale FO)
=> Mardi 7 juin à Calais (Bourse du Travail)
=> Vendredi 10 juin à Saint-Omer (Bourse du Travail)
S'inscrire : deux solutions
par mail : contact@snudifo62
par téléphone : deux numéros 06.13.77.43.84 ou 06.21.21.83.38, appel ou SMS en laissant vos coordonnées (mail)
Les documents vous parviendront dans la semaine.
Attention, le nombre de place est limité ! Inscrivez-vous rapidement !
Des RIS « spécial mouvement ».
Ces RIS se tiendront sur le temps d'ouverture du serveur (4 au 19 avril)
En « présentiel »
mardi 5 avril, à partir de 17h30 à Calais, Bourse du Travail, Place Crèvecoeur
mardi 5 avril, à partir de 17h30 à Arras, maison des Sociétés, Rue Aristide Briand
En visioconférence
mercredi 6 avril, 9h30 sur inscription uniquement : contact@snudifo62
Nous tiendrons également des permanences téléphoniques durant la période des vacances de printemps, plus d'infos dans un prochain Flash InFO.
Note : il est possible, comme les années précédentes, qu'il y ait des dysfonctionnements à l'ouverture du serveur. L'administration a confirmé qu'en cas de bug intempestif, la durée d'ouverture serait prolongée y compris au-delà des vacances si nécessaire.
Nos revendications sur le mouvement sont concrètes
=> retour des organisations syndicales lors de CAPD « mouvement » pour en garantir la transparence, abrogation de la « loi de transformation de la fonction publique » et de PPCR qui organisent l'opacité du mouvement et des promotions.
=> un deuxième temps informatisé avec respect du barème
=> aucune affectation non désirée
=> aucune extension des vœux, sur type de poste comme sur zone géographique.
CTSD « sanitaire » du 14 mars.
Un CTSD relatif aux questions sanitaires s'est tenu ce matin.
L'information n'aura échappé à personne, le masque n'est plus obligatoire dans les classes. Néanmoins, il peut être porté selon le désir de chacun, en fonction, peut-être des situations sanitaires locales car force est de le reconnaître : ce n'est pas la fin de la pandémie. Les chiffres proposés par le DASEN ce matin en sont la preuve (chiffres de vendredi)
=> 5 classes sont fermées (cluster).
=> 209 classes sont sans enseignant-e (contre une centaine à saison identique, sans pandémie)
=> 29 enseignant-es sont touchés ainsi que 12 personnels « mairie ».
Les revendications du SNUDI et de sa fédération FNEC-FP-FO restent d'actualité
=> recrutement, titularisation des personnels nécessaires au remplacement
=> fin de l'interdiction de travailler pour les personnels soumis à l'obligation vaccinale : nous avons besoin de tout le monde.
Animations pédagogiques.
Il semblerait que la consigne du DASEN n'ait pas atteint toutes les circonscriptions et des plans d'animation ont été reportés, sollicitant les PE plusieurs mercredis consécutifs.
Si tel est votre cas, contactez-nous, on remettra les sous-titres.
Personnels vulnérables.
Pas de changement. Ces personnels peuvent reprendre le travail s'ils le souhaitent.
Crises géopolitiques et guerres...
Une centaine d'enfants d'âge scolaire sont arrivés d'Ukraine, principalement dans le Calaisis. Si un nombre significatif désirent aller au Royaume-Uni à l'instar des réfugiés syriens, afghans ou érythréens, quelques-uns resteront sur place. Le DASEN sollicitera les organismes et services compétents pour faciliter l'accueil de ces élèves.
Pétition AESH.
Avec la FCPE, la FNEC-FP-FO initie une pétition. Les revendications restent d'actualité..
=> abandon des PIAL
=> recrutement
=> un vrai salaire, un vrai statut, accès à toutes les primes (informatique, REP et REP+)
Pétition à télécharger et à signer ici
Contactez-nous pour venir récupérer la pétition ou scannez-la et envoyez-la contact@snudifo62.fr
Classe exceptionnelle, des modifications.
Passage de l'accès fonctionnel de 80 à 70%.
Jusqu'ici, 80% des collègues promus l'étaient suite à des fonctions particulières durant 8 années minimum et 20% à l'ancienneté (à l'échelon 6 ou 7 de la Hors-Classe).
La répartition est aujourd'hui 70/30. Le Ministère reconnaît ainsi que la promotions des personnels qui n'auraient pas occupé des fonctions « méritantes » pose problème.
Raccourcissement de la durée de service de 8 à 6 ans.
Désormais 6 années de services sur des missions particulières seront exigées et non plus 8. La masse des collègues y prétendant sera plus grande et ainsi la sélection opérée par la hiérarchie sera accrue.
Rappelons qu'en 2023 le nombre de collègues accédant à la classe exceptionnelle sera limité à 10% du corps.
Pour Force Ouvrière,
=> chaque agent doit pouvoir partir au dernier échelon de son corps
=> les critères de promotion doivent s'appuyer essentiellement sur l'ancienneté
=> PPCR crée l'arbitraire et renforce le pouvoir de sélection de la hiérarchie. Abrogation !
CTSD « sanitaire » du 14 mars.
Un CTSD relatif aux questions sanitaires s'est tenu ce matin.
L'information n'aura échappé à personne, le masque n'est plus obligatoire dans les classes. Néanmoins, il peut être porté selon le désir de chacun, en fonction, peut-être des situations sanitaires locales car force est de le reconnaître : ce n'est pas la fin de la pandémie. Les chiffres proposés par le DASEN ce matin en sont la preuve (chiffres de vendredi)
=> 5 classes sont fermées (cluster).
=> 209 classes sont sans enseignant-e (contre une centaine à saison identique, sans pandémie)
=> 29 enseignant-es sont touchés ainsi que 12 personnels « mairie ».
Les revendications du SNUDI et de sa fédération FNEC-FP-FO restent d'actualité
=> recrutement, titularisation des personnels nécessaires au remplacement
=> fin de l'interdiction de travailler pour les personnels soumis à l'obligation vaccinale : nous avons besoin de tout le monde.
Animations pédagogiques.
Il semblerait que la consigne du DASEN n'ait pas atteint toutes les circonscriptions et des plans d'animation ont été reportés, sollicitant les PE plusieurs mercredis consécutifs.
Si tel est votre cas, contactez-nous, on remettra les sous-titres.
Personnels vulnérables.
Pas de changement. Ces personnels peuvent reprendre le travail s'ils le souhaitent.
Crises géopolitiques et guerres...
Une centaine d'enfants d'âge scolaire sont arrivés d'Ukraine, principalement dans le Calaisis. Si un nombre significatif désirent aller au Royaume-Uni à l'instar des réfugiés syriens, afghans ou érythréens, quelques-uns resteront sur place. Le DASEN sollicitera les organismes et services compétents pour faciliter l'accueil de ces élèves.
Pétition AESH.
Avec la FCPE, la FNEC-FP-FO initie une pétition. Les revendications restent d'actualité..
=> abandon des PIAL
=> recrutement
=> un vrai salaire, un vrai statut, accès à toutes les primes (informatique, REP et REP+)
Pétition à télécharger et à signer ici
Contactez-nous pour venir récupérer la pétition ou scannez-la et envoyez-la contact@snudifo62.fr
Classe exceptionnelle, des modifications.
Passage de l'accès fonctionnel de 80 à 70%.
Jusqu'ici, 80% des collègues promus l'étaient suite à des fonctions particulières durant 8 années minimum et 20% à l'ancienneté (à l'échelon 6 ou 7 de la Hors-Classe).
La répartition est aujourd'hui 70/30. Le Ministère reconnaît ainsi que la promotions des personnels qui n'auraient pas occupé des fonctions « méritantes » pose problème.
Raccourcissement de la durée de service de 8 à 6 ans.
Désormais 6 années de services sur des missions particulières seront exigées et non plus 8. La masse des collègues y prétendant sera plus grande et ainsi la sélection opérée par la hiérarchie sera accrue.
Rappelons qu'en 2023 le nombre de collègues accédant à la classe exceptionnelle sera limité à 10% du corps.
Pour Force Ouvrière,
=> chaque agent doit pouvoir partir au dernier échelon de son corps
=> les critères de promotion doivent s'appuyer essentiellement sur l'ancienneté
=> PPCR crée l'arbitraire et renforce le pouvoir de sélection de la hiérarchie. Abrogation !
Le pilotage par l'évaluation.
Aujourd'hui, le pilotage des circonscriptions, des écoles, des carrières individuelles se fait quasi exclusivement sur l'évaluation. Des croix, des cases.
A l'origine, PPCR substitue à l'évaluation triennale des « rendez-vous de carrière ».
Véritable boîte à outil de la déréglementation, PPCR a été utilisé par un gouvernement anti-service public pour contraindre les salaires et engager les PE dans l'évaluation permanente.
=> rendez-vous de carrière (dont Blanquer voudrait qu'il y en ait un 4ème)
=> constellations, inspections d'école, changement de statut et/ou de rôle pour les CPC et les IEN : tout est fait pour mettre sous surveillance permanente les personnels dans « l'école de la défiance ».
Oxymore ultime : "l'évaluation d'école se fera sans jugement"...une ligne pleine de bons sentiments mais sans aucune réalité tenable.
Qui évaluera ? Parents, élèves, politiques !!! L'école ne s'évalue pas comme un camping ou un fast-food.
Le SNUDI-FO sera présent et défendra les collègues si cette évaluation que nous refusons vous est imposée.
Notre communiqué "évaluation d'école" ici
Malgré les conditions sanitaires et l'enseignement lacunaire que nous avons dû prodiguer, le Ministre a maintenu les évaluations CP, contre l'avis de la majorité des syndicats (Snudi, SNUipp, SE, SNE...)
Communiqué intersyndical à lire ici
L'année prochaine, dans notre département, nous aurons des évaluations de mi-CE2 en parfaite conformité avec la ligne ministérielle de pilotage par l'évaluation.
Pour le SNUDI-FO, ces évaluations n'ont qu'un but : limiter notre liberté pédagogique et en finir avec notre « professionnalité », ce qui permettra de recruter des personnels mal formés et sans statut. C'est d'ailleurs une « ambition » du programme de Macron.
Tout sur le programme de privatisation de l'Ecole de la République ici
Le SNUDI-FO réclame
=> l'abandon de la territorialisation de l'école par les évaluations d'école, qui s'articule avec la dissolution du corps des IEN et un statut de chef-fe pour le-la directeur-trice d'école
=> le respect de la liberté pédagogique et l'abandon des inutiles évaluations CP
=> l'abrogation de PPCR, véritable boîte de Pandore d'où sortent toutes les remises en cause statutaires et gel du point d'indice.
CTSD « situation sanitaire ».
Lors du CTSD, le DASEN a donné quelques chiffres.
=> le taux d'incidence du Pas-de-Calais est de 700.
=> Lundi dernier, 13 classes étaient sans remplaçant, ce chiffre est monté à 61 vendredi. 184 nouveaux cas dans le 1er degré dont 7 enseignants. La situation est plus tendue dans le bassin minier.
=> Pour le SNUDI, abonder la liste complémentaire reste d'actualité, nous ne sommes pas sortis de la crise.
=> Il n'est pas question de rattrapage des formations qui n'ont pas pu se tenir. Il est hors de question que les collègues soient mobilisés plusieurs mercredis en suivant (dixit le DASEN). Faites-nous remonter les situations dans lesquelles les directives du DASEN aux IEN ne seraient pas respectées.
=> une organisation syndicale a fait remonter l'opacité des critères d’attribution de la part variable de la prime REP+. Le DASEN a convenu mais promis que les critères seraient explicités...à suivre.
=> Le SNUDI-FO 62 demande la fin de la mise en concurrence des collègues et des établissements entre eux, et le meilleur taux de prime REP+ pour toutes et tous.
=> Il en demande l'extension, avec sa fédération, aux CPC, secrétaires de circonscription et AESH exerçant en éducation prioritaire.
Ukraine.
La guerre est à nos portes.
Depuis des décennies, nous enseignons à nos élèves que l'Europe garantit la paix entre les peuples. C'est faux, le traumatisme est immense.
Les organisations FO, CGT, CFDT, CFTC, CGC réaffirment leur attachement à une paix universelle et durable fondée sur la justice sociale.
Le pilotage par l'évaluation.
Aujourd'hui, le pilotage des circonscriptions, des écoles, des carrières individuelles se fait quasi exclusivement sur l'évaluation. Des croix, des cases.
A l'origine, PPCR substitue à l'évaluation triennale des « rendez-vous de carrière ».
Véritable boîte à outil de la déréglementation, PPCR a été utilisé par un gouvernement anti-service public pour contraindre les salaires et engager les PE dans l'évaluation permanente.
=> rendez-vous de carrière (dont Blanquer voudrait qu'il y en ait un 4ème)
=> constellations, inspections d'école, changement de statut et/ou de rôle pour les CPC et les IEN : tout est fait pour mettre sous surveillance permanente les personnels dans « l'école de la défiance ».
Oxymore ultime : "l'évaluation d'école se fera sans jugement"...une ligne pleine de bons sentiments mais sans aucune réalité tenable.
Qui évaluera ? Parents, élèves, politiques !!! L'école ne s'évalue pas comme un camping ou un fast-food.
Le SNUDI-FO sera présent et défendra les collègues si cette évaluation que nous refusons vous est imposée.
Notre communiqué "évaluation d'école" ici
Malgré les conditions sanitaires et l'enseignement lacunaire que nous avons dû prodiguer, le Ministre a maintenu les évaluations CP, contre l'avis de la majorité des syndicats (Snudi, SNUipp, SE, SNE...)
Communiqué intersyndical à lire ici
L'année prochaine, dans notre département, nous aurons des évaluations de mi-CE2 en parfaite conformité avec la ligne ministérielle de pilotage par l'évaluation.
Pour le SNUDI-FO, ces évaluations n'ont qu'un but : limiter notre liberté pédagogique et en finir avec notre « professionnalité », ce qui permettra de recruter des personnels mal formés et sans statut. C'est d'ailleurs une « ambition » du programme de Macron.
Tout sur le programme de privatisation de l'Ecole de la République ici
Le SNUDI-FO réclame
=> l'abandon de la territorialisation de l'école par les évaluations d'école, qui s'articule avec la dissolution du corps des IEN et un statut de chef-fe pour le-la directeur-trice d'école
=> le respect de la liberté pédagogique et l'abandon des inutiles évaluations CP
=> l'abrogation de PPCR, véritable boîte de Pandore d'où sortent toutes les remises en cause statutaires et gel du point d'indice.
CTSD « situation sanitaire ».
Lors du CTSD, le DASEN a donné quelques chiffres.
=> le taux d'incidence du Pas-de-Calais est de 700.
=> Lundi dernier, 13 classes étaient sans remplaçant, ce chiffre est monté à 61 vendredi. 184 nouveaux cas dans le 1er degré dont 7 enseignants. La situation est plus tendue dans le bassin minier.
=> Pour le SNUDI, abonder la liste complémentaire reste d'actualité, nous ne sommes pas sortis de la crise.
=> Il n'est pas question de rattrapage des formations qui n'ont pas pu se tenir. Il est hors de question que les collègues soient mobilisés plusieurs mercredis en suivant (dixit le DASEN). Faites-nous remonter les situations dans lesquelles les directives du DASEN aux IEN ne seraient pas respectées.
=> une organisation syndicale a fait remonter l'opacité des critères d’attribution de la part variable de la prime REP+. Le DASEN a convenu mais promis que les critères seraient explicités...à suivre.
=> Le SNUDI-FO 62 demande la fin de la mise en concurrence des collègues et des établissements entre eux, et le meilleur taux de prime REP+ pour toutes et tous.
=> Il en demande l'extension, avec sa fédération, aux CPC, secrétaires de circonscription et AESH exerçant en éducation prioritaire.
Ukraine.
La guerre est à nos portes.
Depuis des décennies, nous enseignons à nos élèves que l'Europe garantit la paix entre les peuples. C'est faux, le traumatisme est immense.
Les organisations FO, CGT, CFDT, CFTC, CGC réaffirment leur attachement à une paix universelle et durable fondée sur la justice sociale.
Compte-rendu de la CAPD de ce jour : recours PPCR.
Cette CAPD s'est tenue en visioconférence. 9 dossiers étaient présentés à la CAPD.
14 collègues avaient décidé de solliciter auprès du DASEN un recours à titre gracieux. Il n'en a accordé aucun, préférant privilégier le recours en CAPD.
Sur ces 14 collègues, 5 ont décidé de ne pas poursuivre la démarche, 9 ont fait porter leur dossier par le SNUDI-FO ou le SE-UNSA en CAPD (et point barre).
Nos deux organisations syndicales sont intervenues pour obtenir une révision de l'appréciation des collègues qui les avaient mandatées ; le DASEN avait décidé de garder 3 révisions possibles (les quotas de PPCR...un scandale).
Trois collègues ont donc obtenu une hausse de leur appréciation.
Les critères retenus par le DASEN :
=> plutôt des collègues au 9ème échelon (8 parmi les demandes) qui n'auront à priori plus de rendez-vous de carrière (pour rappel, Blanquer envisageait un 4ème rendez-vous de carrière...affaire à suivre).
=> le départage s'est ensuite fait en examinant le nombre de croix dans la colonne « excellent » et les appréciations littérales des IEN.
Le vote :
Contre : 0
Abstention : SNUDI-FO, SE-UNSA, Snuipp
Pour : SNE.
Résolument opposé à PPCR, le SNUDI-FO est serein quand il faut en dénoncer les dérives et nombre de collègues s'étaient tournés vers nous. Nous en demandons toujours l'abrogation.
L'abstention était de rigueur pour le SNUDI-FO: il ne s'agissait pas de voter pour ou contre PPCR mais pour la révision à la hausse de l'appréciation de 3 collègues. Par contre, le nombre insuffisant de collègues pouvant obtenir une révision et le cadre général de PPCR nous ont interdit de voter « pour ».
Ce qu'est PPCR :
=> blocage des salaires (axe 1) par l'assujettissement du point d'indice aux indicateurs macro-économiques.
=> appréciation lapidaire, possiblement partiale, et gravée dans le marbre (axe 2 de PPCR)
=> fusion des instances représentatives du personnel (CTSD, CAPD) annonçant la loi Dussopt (dite de transformation et modernisation de la Fonction Publique) qui supprime le contrôle par vos élu-es des promotions et des affectations.
A retenir, le « fun-fact PPCR » :
=> on peut avoir plus d' «excellent» au 9ème qu'au 8ème et avoir une appréciation générale en baisse (exemple passage de "excellent" à "très satisfaisant"). Donc progresser dans le nombre d' «excellent» ne signifie pas progresser dans l'appréciation générale. Rien de mathématique dans PPCR.
Il faut avoir plus que les autres et non progresser soi-même, bref l'inverse de ce qu'on raconte à nos élèves.
PPCR, la logique managériale néo-libérale dans votre carrière: faire mieux que les autres... Vallaud-Belkacem l'a rêvé, Blanquer l'a « amélioré ». Sic.
Avancement.
Passage du 6ème au 7ème échelon :
64 collègues sur 314 bénéficieront du booster. (30,2%) Tous les collègues promus ont eu un avis « excellent ».
Passage du 8ème au 9ème échelon :
100 sur 335 collègues bénéficieront d'un booster. promotions accélérées ont été accordées (29,8%). Tous les collègues qui ont eu un avis « excellent » et 2 collègues avec un avis « très satisfaisant » ont été promu-es.
L'information sera sur iprof dans prochainement.
Nos revendications demeurent
=> abrogation de PPCR dans ses trois axes (carrières, salaires, instances représentatives du personnel
=> abrogation de la loi Dussopt qui supprime les CAPD et la transparence
=> pas de contingentement dans les boosters, pas de classe réservé à une minorité.
Infos administratives.
=> la circulaire « temps partiels », c'est pour cette semaine
=> les demandes de disponibilité sont en cours de traitement
=> mouvement intra: la circulaire arrivera le 28 mars, le serveur ouvrira du 20 avril au 4 mai (à peu près)
=> si les collègues « boostés » obtiendront l'info prochainement, la liste de promotion à la Hors-Classe sera publiée début septembre.
Adhérez au SNUDI-FO / RIS !
Rejoignez un syndicat libre et indépendant dont la seule préoccupation est la défense des intérêts des personnels !
Résister, revendiquer pour toutes et tous, sans exception.
Compte-rendu de la CAPD de ce jour : recours PPCR.
Cette CAPD s'est tenue en visioconférence. 9 dossiers étaient présentés à la CAPD.
14 collègues avaient décidé de solliciter auprès du DASEN un recours à titre gracieux. Il n'en a accordé aucun, préférant privilégier le recours en CAPD.
Sur ces 14 collègues, 5 ont décidé de ne pas poursuivre la démarche, 9 ont fait porter leur dossier par le SNUDI-FO ou le SE-UNSA en CAPD (et point barre).
Nos deux organisations syndicales sont intervenues pour obtenir une révision de l'appréciation des collègues qui les avaient mandatées ; le DASEN avait décidé de garder 3 révisions possibles (les quotas de PPCR...un scandale).
Trois collègues ont donc obtenu une hausse de leur appréciation.
Les critères retenus par le DASEN :
=> plutôt des collègues au 9ème échelon (8 parmi les demandes) qui n'auront à priori plus de rendez-vous de carrière (pour rappel, Blanquer envisageait un 4ème rendez-vous de carrière...affaire à suivre).
=> le départage s'est ensuite fait en examinant le nombre de croix dans la colonne « excellent » et les appréciations littérales des IEN.
Le vote :
Contre : 0
Abstention : SNUDI-FO, SE-UNSA, Snuipp
Pour : SNE.
Résolument opposé à PPCR, le SNUDI-FO est serein quand il faut en dénoncer les dérives et nombre de collègues s'étaient tournés vers nous. Nous en demandons toujours l'abrogation.
L'abstention était de rigueur pour le SNUDI-FO: il ne s'agissait pas de voter pour ou contre PPCR mais pour la révision à la hausse de l'appréciation de 3 collègues. Par contre, le nombre insuffisant de collègues pouvant obtenir une révision et le cadre général de PPCR nous ont interdit de voter « pour ».
Ce qu'est PPCR :
=> blocage des salaires (axe 1) par l'assujettissement du point d'indice aux indicateurs macro-économiques.
=> appréciation lapidaire, possiblement partiale, et gravée dans le marbre (axe 2 de PPCR)
=> fusion des instances représentatives du personnel (CTSD, CAPD) annonçant la loi Dussopt (dite de transformation et modernisation de la Fonction Publique) qui supprime le contrôle par vos élu-es des promotions et des affectations.
A retenir, le « fun-fact PPCR » :
=> on peut avoir plus d' «excellent» au 9ème qu'au 8ème et avoir une appréciation générale en baisse (exemple passage de "excellent" à "très satisfaisant"). Donc progresser dans le nombre d' «excellent» ne signifie pas progresser dans l'appréciation générale. Rien de mathématique dans PPCR.
Il faut avoir plus que les autres et non progresser soi-même, bref l'inverse de ce qu'on raconte à nos élèves.
PPCR, la logique managériale néo-libérale dans votre carrière: faire mieux que les autres... Vallaud-Belkacem l'a rêvé, Blanquer l'a « amélioré ». Sic.
Avancement.
Passage du 6ème au 7ème échelon :
64 collègues sur 314 bénéficieront du booster. (30,2%) Tous les collègues promus ont eu un avis « excellent ».
Passage du 8ème au 9ème échelon :
100 sur 335 collègues bénéficieront d'un booster. promotions accélérées ont été accordées (29,8%). Tous les collègues qui ont eu un avis « excellent » et 2 collègues avec un avis « très satisfaisant » ont été promu-es.
L'information sera sur iprof dans prochainement.
Nos revendications demeurent
=> abrogation de PPCR dans ses trois axes (carrières, salaires, instances représentatives du personnel
=> abrogation de la loi Dussopt qui supprime les CAPD et la transparence
=> pas de contingentement dans les boosters, pas de classe réservé à une minorité.
Infos administratives.
=> la circulaire « temps partiels », c'est pour cette semaine
=> les demandes de disponibilité sont en cours de traitement
=> mouvement intra: la circulaire arrivera le 28 mars, le serveur ouvrira du 20 avril au 4 mai (à peu près)
=> si les collègues « boostés » obtiendront l'info prochainement, la liste de promotion à la Hors-Classe sera publiée début septembre.
Adhérez au SNUDI-FO / RIS !
Rejoignez un syndicat libre et indépendant dont la seule préoccupation est la défense des intérêts des personnels !
Résister, revendiquer pour toutes et tous, sans exception.
Carte scolaire : non aux suppressions !
La carte scolaire est en trompe-l’œil. Derrière le « +4 postes », la réalité est moins positive...
=> un nombre important de poste est absorbé par l'augmentation des décharges de direction, la création de postes d'ERUN, de DVS (directeur de vie scolaire), l'augmentation du nombre d'EMF qui bénéficient d'une décharge
=> 86 fermetures au total. 33 sont des fermetures de dispositifs (classes dédoublées), 53 des fermetures ordinaires pour seulement 24 ouvertures
=> le DASEN dispose d'une dizaine de postes « en réserve ». Il n'a donné satisfaction que sur 3 abandons de fermeture.
Nous continuons de porter nos revendications
=> aucune suppression de poste : la situation du remplacement, les collègues directeur-trices amputés de leur décharge nécessite de garder tous les postes
=> 11 collègues recrutés sur la liste complémentaire : c'est insuffisant ! Le ministère doit réabonder les listes pour pourvoir à l'urgence
=> continuez à faire remonter vos effectifs ! contact@snudifo62
Situation sanitaire : des postes !
Vendredi, c'était 511 classes qui étaient sans remplaçant dans le département, même si le taux d'incidence semble amorcer une légère baisse en ce début de semaine. Le chaos règne toujours.
=> les élèves les plus fragiles pâtissent des confinements, des écoles ouvertes sans élèves, des isolements successifs : garder des postes permet de les protéger en allégeant les classes
=> nous demandons toujours l'octroi de masques FFP2 qui ne soient pas des masques de chantier.
=> PE, c'est un métier : nous n'acceptons pas que des classes soient prises en charge par des ATSEM, des AESH, des services civiques dont ce n'est ni la mission, ni le statut.
Évaluation d'école : non au pilotage par l'évaluation.
L'évaluation d'école est un énième avatar de PPCR. En lieu et place de l'inspection, PPCR prévoit « un accompagnement des enseignant-es ».
Un « pool » composé d'un IEN, d'un-e directeur-trice ou d'un principal de collège, d'un-e CPC viendra évaluer les écoles (extérieurs à la circo). Avec quel programme ?
=> premièrement, phase d'auto-évaluation : il s'agit de se battre la coulpe et d'indiquer quelles améliorations on compte apporter au fonctionnement de l'école. Cette évaluation sera présentée en Conseil d’École, devenu décisionnaire par le miracle de la loi Rilhac !
Les parents, les élèves, les élus deviennent nos évaluateurs puisqu'on leur demande leur avis...
=> élaboration d'un projet pour pallier les manquements dont nous serions coupables mais que nous nous engageons à modifier
=> évaluation dudit projet et compte-rendu au Conseil d’École...
=> caractère quinquennal de cette évaluation
En creux, c'est donc la fin du projet de circonscription dont découle le projet d'école. C'est le pointage du doigt des pratiques de chacun, la mise en exergue des faiblesses et au final, l'école qui devient son propre recours pour s'auto-évaluer et s'auto-former sous le regard des élus et des parents.
=> refusons collectivement dans nos écoles ces évaluations bidon qui ne conduisent qu'à nous mettre sous la coupe des élus et des parents avec la bénédiction d'un IEN extérieur
=> PPCR, « constellations », inspections d'école : non à l'évaluation permanente, non au stress permanent, non à la culture du management libéral dans nos écoles ! Ce management de type « Orange » a conduit au pire. Ne l'acceptons pas dans nos écoles !
Retrouvez notre communiqué ici
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Résister, revendiquer pour toutes et tous, sans exception.
Carte scolaire : non aux suppressions !
La carte scolaire est en trompe-l’œil. Derrière le « +4 postes », la réalité est moins positive...
=> un nombre important de poste est absorbé par l'augmentation des décharges de direction, la création de postes d'ERUN, de DVS (directeur de vie scolaire), l'augmentation du nombre d'EMF qui bénéficient d'une décharge
=> 86 fermetures au total. 33 sont des fermetures de dispositifs (classes dédoublées), 53 des fermetures ordinaires pour seulement 24 ouvertures
=> le DASEN dispose d'une dizaine de postes « en réserve ». Il n'a donné satisfaction que sur 3 abandons de fermeture.
Nous continuons de porter nos revendications
=> aucune suppression de poste : la situation du remplacement, les collègues directeur-trices amputés de leur décharge nécessite de garder tous les postes
=> 11 collègues recrutés sur la liste complémentaire : c'est insuffisant ! Le ministère doit réabonder les listes pour pourvoir à l'urgence
=> continuez à faire remonter vos effectifs ! contact@snudifo62
Situation sanitaire : des postes !
Vendredi, c'était 511 classes qui étaient sans remplaçant dans le département, même si le taux d'incidence semble amorcer une légère baisse en ce début de semaine. Le chaos règne toujours.
=> les élèves les plus fragiles pâtissent des confinements, des écoles ouvertes sans élèves, des isolements successifs : garder des postes permet de les protéger en allégeant les classes
=> nous demandons toujours l'octroi de masques FFP2 qui ne soient pas des masques de chantier.
=> PE, c'est un métier : nous n'acceptons pas que des classes soient prises en charge par des ATSEM, des AESH, des services civiques dont ce n'est ni la mission, ni le statut.
Évaluation d'école : non au pilotage par l'évaluation.
L'évaluation d'école est un énième avatar de PPCR. En lieu et place de l'inspection, PPCR prévoit « un accompagnement des enseignant-es ».
Un « pool » composé d'un IEN, d'un-e directeur-trice ou d'un principal de collège, d'un-e CPC viendra évaluer les écoles (extérieurs à la circo). Avec quel programme ?
=> premièrement, phase d'auto-évaluation : il s'agit de se battre la coulpe et d'indiquer quelles améliorations on compte apporter au fonctionnement de l'école. Cette évaluation sera présentée en Conseil d’École, devenu décisionnaire par le miracle de la loi Rilhac !
Les parents, les élèves, les élus deviennent nos évaluateurs puisqu'on leur demande leur avis...
=> élaboration d'un projet pour pallier les manquements dont nous serions coupables mais que nous nous engageons à modifier
=> évaluation dudit projet et compte-rendu au Conseil d’École...
=> caractère quinquennal de cette évaluation
En creux, c'est donc la fin du projet de circonscription dont découle le projet d'école. C'est le pointage du doigt des pratiques de chacun, la mise en exergue des faiblesses et au final, l'école qui devient son propre recours pour s'auto-évaluer et s'auto-former sous le regard des élus et des parents.
=> refusons collectivement dans nos écoles ces évaluations bidon qui ne conduisent qu'à nous mettre sous la coupe des élus et des parents avec la bénédiction d'un IEN extérieur
=> PPCR, « constellations », inspections d'école : non à l'évaluation permanente, non au stress permanent, non à la culture du management libéral dans nos écoles ! Ce management de type « Orange » a conduit au pire. Ne l'acceptons pas dans nos écoles !
Retrouvez notre communiqué ici
Adhérez au SNUDI-FO / RIS !
Rejoignez un syndicat libre et indépendant dont la seule préoccupation est la défense des intérêts des personnels !
Résister, revendiquer pour toutes et tous, sans exception.