L'inFO du 62
Une seule réponse à apporter à la crise sanitaire :
création immédiate et massive de postes statutaires !
Tous en grève mardi 10 novembre.
Envoyez votre déclaration d'intention avant samedi 7 novembre minuit
"Le défaut de déclaration préalable n'interdit pas de faire grève. Les entretiens professionnels, équipes éducatives, animations pédagogiques et autres réunions doivent être reportés s'ils tombent un jour de grève. Le droit de grève est un droit imprescriptible. En cas de pression, contacter le syndicat."
Une seule réponse à apporter à la crise sanitaire :
création immédiate et massive de postes statutaires !
Tous en grève mardi 10 novembre.
Envoyez votre déclaration d'intention avant samedi 7 novembre minuit
"Le défaut de déclaration préalable n'interdit pas de faire grève. Les entretiens professionnels, équipes éducatives, animations pédagogiques et autres réunions doivent être reportés s'ils tombent un jour de grève. Le droit de grève est un droit imprescriptible. En cas de pression, contacter le syndicat."
Covid-19 & masques.
A ce jour, et dans l'attente possible d'une redéfinition des critères de vulnérabilité, le décret de mai 2020 est de nouveau d'actualité. Le Ministère n'ayant toujours pas communiqué, les directives de mai 2020 devraient s'appliquer.
Pourquoi ? Le Conseil d’État à retoqué le décret du 29 août 2020, trop restrictif et visiblement de nature à exposer des personnes vulnérables. Après les masques toxiques, les décrets toxiques...
La décision du Conseil d'Etat ici
Les dispositions de mai devraient donc être remises en œuvre depuis le 15 octobre, ce qui pour les personnels vulnérables signifierait :
1- contacter dans les meilleurs délais de votre supérieur hiérarchique (IEN pour les PE, PIAL pour les AESH)
2- produire une attestation du médecin traitant
3- vous devriez être placé-e en ASA (autorisation spéciale d'absence) sans perte de salaire ou d'indemnité.
Quid des collègues placés en « arrêt maladie ordinaire » du 1er septembre au 14 octobre ?
L'arrêt maladie devrait être transformé en ASA : pas de prise en compte de ces jours dans le total des jours de maladie et restitution du jour de carence.
FO s'est adressée au Ministère pour que ces dispositions soient respectées.
Interrogé par Force Ouvrière le 20 octobre, la réponse du Ministère est consternante: "13% des personnels sont vulnérables, ce n'est pas tenable. La rétroactivité n'est pas possible".
C'est la raison pour laquelle l'emploi du conditionnel s'impose et que la bagarre pour le respect des droits et de la décision du Conseil d'Etat est toujours d'actualité.
Lors de son intervention télévisée à la suite de Castex, le Ministre a dit avoir entendu les organisations syndicales sur la question des personnels vulnérables. A ce jour, aucune décision n'est prise. Nous attendons donc que le Ministère se conforme à la décision du Conseil d'Etat.
En cas de problème, contactez le SNUDI-FO.
Quoi de neuf chez DIM ?
La Rectrice, le 21 octobre, nous exhorte à ne plus utiliser les masques DIM, depuis RIEN...
Le courrier de la Rectrice sur le retrait des masques DIM ici
Pas de masques autres que les DIM pourris ? Vous pouvez remplir la fiche santé et sécurité au travail (lien) (Dans le registre hygiène et sécurité de votre école) et nous en adresser une copie : contact@snudifo62.fr
Lire ici notre communiqué masques DIM / application des décisions du Conseil d'Etat
Ecole de la République vs Ecole du Maire : non au 2S2C.
Hors de question de voir les Maires et autres instances territoriales s'immiscer dans nos pratiques pédagogiques et dans l’École Républicaine indépendante des politiques. Le gouvernement profite de l'État d'Urgence Sanitaire pour avancer sur la destruction de notre statut.
1- ces 2S2C permettent à des personnels non-formés d'intervenir sur du temps de classe
2- ces 2S2C permettent de ne pas recruter sur la liste complémentaire et seront l'outil des suppressions de postes
3- ces 2S2C nous assujettissent aux mairies qui vont nous dire quoi faire, sur quel temps et avec quels élèves, pulvérisant ce qui reste de notre liberté pédagogique
4- ces 2S2C préfigurent ce qui se passe un peu partout en Europe : les enseignant-es deviennent peu à peu des fonctionnaires territoriaux et non des fonctionnaires d'Etat.
Pour le SNUDI-FO, il faut en finir avec les 2S2C et la territorialisation de l'Ecole au profit du recrutement sur liste complémentaire.
Hommage à Samuel Paty, la lettre de Jaurès tronquée : étrange cadrage.
Le gouvernement "récupère" et tronque Jaurès. Pouvait-on attendre de ce gouvernement attaché à détruire les droits, les retraites, les statuts, qu'il soit fidèle à Jaurès le pacifiste français, le premier à penser une retraite ouvrière, défenseur des salariés et des syndicats ?
Pour information, nos collègues syndicalistes de Melle sont aujourd'hui suspendus sans traitement pour avoir manifesté et exercé leur mandat syndical...qu'il est loin Jaurès !
Nous vous invitons à lire cette lettre dans son intégralité par ce lien.
Quelques extraits exclus de la lecture :
Jaurès sur la frénésie de l'évaluation et la liberté pédagogique, déjà :
« Quel système déplorable nous avons en France avec ces examens à tous les degrés qui suppriment l’initiative du maître et aussi la bonne foi de l'enseignement, en sacrifiant la réalité à l'apparence ! ».
ou plus loin, aux maîtres-ses, déjà fatigué-es...avant PPCR, PPRE, PAI, PAP, LSU, DUER, évaluations nationales, protocoles sanitaires, Vigipirate, constellations, inclusion systématique avec ou sans AESH...
« Ah ! sans doute, avec la fatigue écrasante de l'école, il vous est malaisé de vous ressaisir ; mais il suffit d'une demi-heure par jour pour maintenir la pensée à sa hauteur et pour ne pas verser dans l'ornière du métier...».
Attaché viscéralement à la liberté pédagogique, le SNUDI-FO n'est pas demandeur d'un cadrage national pour le nécessaire hommage à notre collègue disparu dans ces circonstances atroces.
Cet hommage est indispensable ainsi que la minute de silence. Chaque collègue doit pouvoir le faire en fonction de la tranche d'âge de ses élèves, au moment qu'il-elle choisit comme le plus propice. Nous voulons nous garder de toute tentative de récupération politicienne ou idéologique, attaché également à l'indépendance de l'institution scolaire.
RIS : le SNUDI maintient ses RIS en présentiel.
Le SNUDI-FO 62 maintient à ce jour ses RIS. Recréer du collectif à l'heure où les attaques se multiplient est indispensable.
Les RIS sont du temps de travail, décomptable des 108 heures.
Munissez-vous de :
- votre attestation de déplacement professionnel fournie par le DASEN en la remplissant avec comme lieu de destination votre RIS
- le justificatif des RIS organisées par le SNUDI-FO prouvant les lieux, dates et heures de tenue. A télécharger ici !
Le SNUDI-FO 62 depuis septembre a tenu une quinzaine de RIS. Nos RIS n'ont été à l'origine d’aucun foyer d’infection.
Ce n'est pas le moment de lâcher quoi que ce soit ! On sait à quel point l'État d'Urgence Sanitaire sert à faire taire les revendications !
Les RIS du SNUDI-FO sont un lieu de discussion et d'information. Ne restez pas seul-e face aux protocoles, à la destruction des statuts. Les RIS se dérouleront dans le respect des règles sanitaires : port du masque, gel (fourni).
Nous vous demandons de vous inscrire (lien en page d'accueil du site), ce n'est en aucun cas un flicage, c'est une façon d'évaluer le nombre de présent-es pour gérer au mieux la nécessaire distanciation physique.
Toute RIS est décomptable des 108h, hors APC & conseils d'école, y compris les animations pédagogiques en présence ou à distance.
PE, AESH: se défendre, c'est adhérer au SNUDI-FO. C'est faire vivre un syndicat revendicatif qui reste centré sur l'essentiel : la défense des postes, des salaires, des conditions de travail.
Covid-19 & masques.
A ce jour, et dans l'attente possible d'une redéfinition des critères de vulnérabilité, le décret de mai 2020 est de nouveau d'actualité. Le Ministère n'ayant toujours pas communiqué, les directives de mai 2020 devraient s'appliquer.
Pourquoi ? Le Conseil d’État à retoqué le décret du 29 août 2020, trop restrictif et visiblement de nature à exposer des personnes vulnérables. Après les masques toxiques, les décrets toxiques...
La décision du Conseil d'Etat ici
Les dispositions de mai devraient donc être remises en œuvre depuis le 15 octobre, ce qui pour les personnels vulnérables signifierait :
1- contacter dans les meilleurs délais de votre supérieur hiérarchique (IEN pour les PE, PIAL pour les AESH)
2- produire une attestation du médecin traitant
3- vous devriez être placé-e en ASA (autorisation spéciale d'absence) sans perte de salaire ou d'indemnité.
Quid des collègues placés en « arrêt maladie ordinaire » du 1er septembre au 14 octobre ?
L'arrêt maladie devrait être transformé en ASA : pas de prise en compte de ces jours dans le total des jours de maladie et restitution du jour de carence.
FO s'est adressée au Ministère pour que ces dispositions soient respectées.
Interrogé par Force Ouvrière le 20 octobre, la réponse du Ministère est consternante: "13% des personnels sont vulnérables, ce n'est pas tenable. La rétroactivité n'est pas possible".
C'est la raison pour laquelle l'emploi du conditionnel s'impose et que la bagarre pour le respect des droits et de la décision du Conseil d'Etat est toujours d'actualité.
Lors de son intervention télévisée à la suite de Castex, le Ministre a dit avoir entendu les organisations syndicales sur la question des personnels vulnérables. A ce jour, aucune décision n'est prise. Nous attendons donc que le Ministère se conforme à la décision du Conseil d'Etat.
En cas de problème, contactez le SNUDI-FO.
Quoi de neuf chez DIM ?
La Rectrice, le 21 octobre, nous exhorte à ne plus utiliser les masques DIM, depuis RIEN...
Le courrier de la Rectrice sur le retrait des masques DIM ici
Pas de masques autres que les DIM pourris ? Vous pouvez remplir la fiche santé et sécurité au travail (lien) (Dans le registre hygiène et sécurité de votre école) et nous en adresser une copie : contact@snudifo62.fr
Lire ici notre communiqué masques DIM / application des décisions du Conseil d'Etat
Ecole de la République vs Ecole du Maire : non au 2S2C.
Hors de question de voir les Maires et autres instances territoriales s'immiscer dans nos pratiques pédagogiques et dans l’École Républicaine indépendante des politiques. Le gouvernement profite de l'État d'Urgence Sanitaire pour avancer sur la destruction de notre statut.
1- ces 2S2C permettent à des personnels non-formés d'intervenir sur du temps de classe
2- ces 2S2C permettent de ne pas recruter sur la liste complémentaire et seront l'outil des suppressions de postes
3- ces 2S2C nous assujettissent aux mairies qui vont nous dire quoi faire, sur quel temps et avec quels élèves, pulvérisant ce qui reste de notre liberté pédagogique
4- ces 2S2C préfigurent ce qui se passe un peu partout en Europe : les enseignant-es deviennent peu à peu des fonctionnaires territoriaux et non des fonctionnaires d'Etat.
Pour le SNUDI-FO, il faut en finir avec les 2S2C et la territorialisation de l'Ecole au profit du recrutement sur liste complémentaire.
Hommage à Samuel Paty, la lettre de Jaurès tronquée : étrange cadrage.
Le gouvernement "récupère" et tronque Jaurès. Pouvait-on attendre de ce gouvernement attaché à détruire les droits, les retraites, les statuts, qu'il soit fidèle à Jaurès le pacifiste français, le premier à penser une retraite ouvrière, défenseur des salariés et des syndicats ?
Pour information, nos collègues syndicalistes de Melle sont aujourd'hui suspendus sans traitement pour avoir manifesté et exercé leur mandat syndical...qu'il est loin Jaurès !
Nous vous invitons à lire cette lettre dans son intégralité par ce lien.
Quelques extraits exclus de la lecture :
Jaurès sur la frénésie de l'évaluation et la liberté pédagogique, déjà :
« Quel système déplorable nous avons en France avec ces examens à tous les degrés qui suppriment l’initiative du maître et aussi la bonne foi de l'enseignement, en sacrifiant la réalité à l'apparence ! ».
ou plus loin, aux maîtres-ses, déjà fatigué-es...avant PPCR, PPRE, PAI, PAP, LSU, DUER, évaluations nationales, protocoles sanitaires, Vigipirate, constellations, inclusion systématique avec ou sans AESH...
« Ah ! sans doute, avec la fatigue écrasante de l'école, il vous est malaisé de vous ressaisir ; mais il suffit d'une demi-heure par jour pour maintenir la pensée à sa hauteur et pour ne pas verser dans l'ornière du métier...».
Attaché viscéralement à la liberté pédagogique, le SNUDI-FO n'est pas demandeur d'un cadrage national pour le nécessaire hommage à notre collègue disparu dans ces circonstances atroces.
Cet hommage est indispensable ainsi que la minute de silence. Chaque collègue doit pouvoir le faire en fonction de la tranche d'âge de ses élèves, au moment qu'il-elle choisit comme le plus propice. Nous voulons nous garder de toute tentative de récupération politicienne ou idéologique, attaché également à l'indépendance de l'institution scolaire.
RIS : le SNUDI maintient ses RIS en présentiel.
Le SNUDI-FO 62 maintient à ce jour ses RIS. Recréer du collectif à l'heure où les attaques se multiplient est indispensable.
Les RIS sont du temps de travail, décomptable des 108 heures.
Munissez-vous de :
- votre attestation de déplacement professionnel fournie par le DASEN en la remplissant avec comme lieu de destination votre RIS
- le justificatif des RIS organisées par le SNUDI-FO prouvant les lieux, dates et heures de tenue. A télécharger ici !
Le SNUDI-FO 62 depuis septembre a tenu une quinzaine de RIS. Nos RIS n'ont été à l'origine d’aucun foyer d’infection.
Ce n'est pas le moment de lâcher quoi que ce soit ! On sait à quel point l'État d'Urgence Sanitaire sert à faire taire les revendications !
Les RIS du SNUDI-FO sont un lieu de discussion et d'information. Ne restez pas seul-e face aux protocoles, à la destruction des statuts. Les RIS se dérouleront dans le respect des règles sanitaires : port du masque, gel (fourni).
Nous vous demandons de vous inscrire (lien en page d'accueil du site), ce n'est en aucun cas un flicage, c'est une façon d'évaluer le nombre de présent-es pour gérer au mieux la nécessaire distanciation physique.
Toute RIS est décomptable des 108h, hors APC & conseils d'école, y compris les animations pédagogiques en présence ou à distance.
PE, AESH: se défendre, c'est adhérer au SNUDI-FO. C'est faire vivre un syndicat revendicatif qui reste centré sur l'essentiel : la défense des postes, des salaires, des conditions de travail.
Face aux crises : amateurisme, mépris, mensonge.
Amateurisme : très à l'aise dans le domaine de la destruction (des statuts, des postes, des conditions de travail, de la liberté pédagogique, des salaires, des libertés syndicales), le Ministre Blanquer ne construit aucune réponse aux crises qui se succèdent et qui frappent durement l'Ecole de la République.
S'il était comme nous soumis aux joies de PPCR, notre Ministre devrait bénéficier d'un accompagnement professionnel afin "de mieux structurer sa réflexion professionnelle". En toute "bienveillance", bien sûr...
Mépris : le Ministère y va gaiement de ses ordres et contre-ordres aux directeurs.trices sur leur temps de repos, préfigurant ce que peut devenir un.e directeur.trice délégataire de l’autorité du DASEN (lui-même aux ordres du Ministre).
Énième approximation ou volonté de dégoûter un maximum de directeur.trice ? Il paraît impossible d'accumuler en permanence autant d'erreurs...Complètement déconnectées du terrain, les têtes « pensantes » de l’hommage à Samuel Paty n'avaient pas anticipé les problèmes de transport dans les secteurs les plus ruraux de l'hexagone, les problèmes des mairies rurales exsangues sans personnel à mettre à disposition...
Pour le SNUDI-FO, les obligations réglementaires de service doivent être respectées : pas de travail durant les vacances.
Non au statut de directeur.trice : encore une illustration des dérives que ce statut pourrait engendrer.
Mépris encore : malgré tout, on en appelle aujourd'hui à l'union nationale derrière un gouvernement qui n'a eu de cesse de nous mettre à l'index et de cliver en adoptant une attitude « disruptive », opposant les "premiers de cordée" à "ceux qui ne sont rien" (citations présidentielles), méprisant les valeurs républicaines d'égalité, de fraternité, de république indivisible, lui préférant le jargon de la novlangue managériale.
- les profs, ces privilégiés dont il faut aligner les retraites sur le moins-disant ;
- les profs, ces emplois coûteux et qui ne produisent rien « qui ne vont pas redresser la France » (réponse d’ E.Macron au ministre Blanquer qui lui demandait 3000 postes)
- les profs, accusés de propager des idées nauséabondes, responsables de tous les maux sociétaux de l'illettrisme à la radicalisation...
Pour le SNUDI-FO, pas d'union nationale derrière un gouvernement de destruction mais au contraire, porter haut et fort nos revendications pour assurer l'indépendance la sécurité de chaque collègue. Des lois et dispositions existent : protection fonctionnelle, courrier comminatoire adressé par la hiérarchie aux parents grossiers, violents ou irrespectueux.
Qu'on les applique ! Que chacun prenne les responsabilités.
Mensonge : contrairement aux assertions ahurissantes du Ministre Castex, nous n'avons pas été "choyés": retraites, gel des salaires, répressions anti-syndicales, jour de carence maintenu en pleine crise Covid, prise à partie par des IEN nous accusant d'enfreindre des protocoles inapplicables, fin des ASA pour les personnels vulnérables...la liste est longue et hélas pas exhaustive.
Lire le communiqué national du SNUDI-FO ici
Lire le courrier de la FNEC-FP-FO à la Rectrice de l'Académie de Lille
La crise sanitaire : le ministère doit entendre les revendications.
Mi-octobre le gouvernement invite les français (qui le peuvent) à réserver des vacances à la Toussaint, induisant un grand brassage national.
Quinze jours plus tard, l'épidémie est à un seuil jamais atteint. Les suppressions de lits ont continué, les soignant.es démissionnent comme jamais, et notre gouvernement essaie de noyer le poisson en affirmant que toute l'Europe est touchée. Cependant, nos malades frontaliers sont accueillis en Allemagne.
Le protocole ne protège toujours personne.
A ce jour, rien pour les personnels en situation de fragilité alors que le Ministre annonce avoir écouté les organisations syndicales (ah bon?)
Protocole renforcé : lavez-vous mieux les mains et aérez plus. Si possible.
Déjà des parents angoissés téléphonent dans les écoles : rupture de stock de masques « enfants ».
Quid des GS / CP ? Qui porte le masque, la moitié de la classe ? Encore un « détail » oublié…
Le SNUDI-FO demande
- dédoublement des classes et recrutement pour le faire de collègues sur la liste complémentaire
- fourniture de masques protecteurs et non toxiques (sic !)
- fourniture de gel hydroalcoolique en quantité suffisante.
Lire le communiqué unitaire FO-FSU-CGT-SUD-SNALC ici
FO demande la protection des personnels, lire ici !
RIS : le SNUDI maintient ses RIS en présentiel.
Le SNUDI-FO 62 maintient à ce jour ses RIS. Recréer du collectif à l'heure où les attaques se multiplient est indispensable.
Les RIS sont du temps de travail, décomptable des 108 heures : utilisez le document pour vos déplacements professionnels.
Le SNUDI-FO 62 depuis septembre a tenu une quinzaine de RIS. Nous n'avons été à l'origine d’aucun foyer d’infection. Juste foyer de revendications.
Participez à nos RIS !
Les RIS du SNUDI-FO sont un lieu de discussion et d'information. Ne restez pas seul-e face aux protocoles, à la destruction des statuts. Les RIS se dérouleront dans le respect des règles sanitaires : port du masque, gel (fourni).
Nous vous demandons de vous inscrire, ce n'est en aucun cas un flicage, c'est une façon d'évaluer le nombre de présent-es pour gérer au mieux la nécessaire distanciation physique.
Toute RIS est décomptable des 108h, hors APC & conseils d'école, y compris les animations pédagogiques en présence ou à distance.
PE, AESH: se défendre, c'est adhérer au SNUDI-FO. C'est faire vivre un syndicat revendicatif qui reste centré sur l'essentiel : la défense des postes, des salaires, des conditions de travail.
Face aux crises : amateurisme, mépris, mensonge.
Amateurisme : très à l'aise dans le domaine de la destruction (des statuts, des postes, des conditions de travail, de la liberté pédagogique, des salaires, des libertés syndicales), le Ministre Blanquer ne construit aucune réponse aux crises qui se succèdent et qui frappent durement l'Ecole de la République.
S'il était comme nous soumis aux joies de PPCR, notre Ministre devrait bénéficier d'un accompagnement professionnel afin "de mieux structurer sa réflexion professionnelle". En toute "bienveillance", bien sûr...
Mépris : le Ministère y va gaiement de ses ordres et contre-ordres aux directeurs.trices sur leur temps de repos, préfigurant ce que peut devenir un.e directeur.trice délégataire de l’autorité du DASEN (lui-même aux ordres du Ministre).
Énième approximation ou volonté de dégoûter un maximum de directeur.trice ? Il paraît impossible d'accumuler en permanence autant d'erreurs...Complètement déconnectées du terrain, les têtes « pensantes » de l’hommage à Samuel Paty n'avaient pas anticipé les problèmes de transport dans les secteurs les plus ruraux de l'hexagone, les problèmes des mairies rurales exsangues sans personnel à mettre à disposition...
Pour le SNUDI-FO, les obligations réglementaires de service doivent être respectées : pas de travail durant les vacances.
Non au statut de directeur.trice : encore une illustration des dérives que ce statut pourrait engendrer.
Mépris encore : malgré tout, on en appelle aujourd'hui à l'union nationale derrière un gouvernement qui n'a eu de cesse de nous mettre à l'index et de cliver en adoptant une attitude « disruptive », opposant les "premiers de cordée" à "ceux qui ne sont rien" (citations présidentielles), méprisant les valeurs républicaines d'égalité, de fraternité, de république indivisible, lui préférant le jargon de la novlangue managériale.
- les profs, ces privilégiés dont il faut aligner les retraites sur le moins-disant ;
- les profs, ces emplois coûteux et qui ne produisent rien « qui ne vont pas redresser la France » (réponse d’ E.Macron au ministre Blanquer qui lui demandait 3000 postes)
- les profs, accusés de propager des idées nauséabondes, responsables de tous les maux sociétaux de l'illettrisme à la radicalisation...
Pour le SNUDI-FO, pas d'union nationale derrière un gouvernement de destruction mais au contraire, porter haut et fort nos revendications pour assurer l'indépendance la sécurité de chaque collègue. Des lois et dispositions existent : protection fonctionnelle, courrier comminatoire adressé par la hiérarchie aux parents grossiers, violents ou irrespectueux.
Qu'on les applique ! Que chacun prenne les responsabilités.
Mensonge : contrairement aux assertions ahurissantes du Ministre Castex, nous n'avons pas été "choyés": retraites, gel des salaires, répressions anti-syndicales, jour de carence maintenu en pleine crise Covid, prise à partie par des IEN nous accusant d'enfreindre des protocoles inapplicables, fin des ASA pour les personnels vulnérables...la liste est longue et hélas pas exhaustive.
Lire le communiqué national du SNUDI-FO ici
Lire le courrier de la FNEC-FP-FO à la Rectrice de l'Académie de Lille
La crise sanitaire : le ministère doit entendre les revendications.
Mi-octobre le gouvernement invite les français (qui le peuvent) à réserver des vacances à la Toussaint, induisant un grand brassage national.
Quinze jours plus tard, l'épidémie est à un seuil jamais atteint. Les suppressions de lits ont continué, les soignant.es démissionnent comme jamais, et notre gouvernement essaie de noyer le poisson en affirmant que toute l'Europe est touchée. Cependant, nos malades frontaliers sont accueillis en Allemagne.
Le protocole ne protège toujours personne.
A ce jour, rien pour les personnels en situation de fragilité alors que le Ministre annonce avoir écouté les organisations syndicales (ah bon?)
Protocole renforcé : lavez-vous mieux les mains et aérez plus. Si possible.
Déjà des parents angoissés téléphonent dans les écoles : rupture de stock de masques « enfants ».
Quid des GS / CP ? Qui porte le masque, la moitié de la classe ? Encore un « détail » oublié…
Le SNUDI-FO demande
- dédoublement des classes et recrutement pour le faire de collègues sur la liste complémentaire
- fourniture de masques protecteurs et non toxiques (sic !)
- fourniture de gel hydroalcoolique en quantité suffisante.
Lire le communiqué unitaire FO-FSU-CGT-SUD-SNALC ici
FO demande la protection des personnels, lire ici !
RIS : le SNUDI maintient ses RIS en présentiel.
Le SNUDI-FO 62 maintient à ce jour ses RIS. Recréer du collectif à l'heure où les attaques se multiplient est indispensable.
Les RIS sont du temps de travail, décomptable des 108 heures : utilisez le document pour vos déplacements professionnels.
Le SNUDI-FO 62 depuis septembre a tenu une quinzaine de RIS. Nous n'avons été à l'origine d’aucun foyer d’infection. Juste foyer de revendications.
Participez à nos RIS !
Les RIS du SNUDI-FO sont un lieu de discussion et d'information. Ne restez pas seul-e face aux protocoles, à la destruction des statuts. Les RIS se dérouleront dans le respect des règles sanitaires : port du masque, gel (fourni).
Nous vous demandons de vous inscrire, ce n'est en aucun cas un flicage, c'est une façon d'évaluer le nombre de présent-es pour gérer au mieux la nécessaire distanciation physique.
Toute RIS est décomptable des 108h, hors APC & conseils d'école, y compris les animations pédagogiques en présence ou à distance.
PE, AESH: se défendre, c'est adhérer au SNUDI-FO. C'est faire vivre un syndicat revendicatif qui reste centré sur l'essentiel : la défense des postes, des salaires, des conditions de travail.
Hommage à Samuel Paty :
défendre l’instruction publique laïque et la liberté d’expression.
L’intolérance, l’obscurantisme, la barbarie se nourrissent de l’ignorance que les enseignants combattent par l’instruction publique et laïque.
Assassiner un professeur, s’attaquer à tout agent public, journaliste, dessinateur - au fait de vivre libre - est insupportable.
La FNEC FP-FO a appris avec horreur le crime qui a coûté la vie à un professeur devant son établissement. Elle condamne cet acte odieux.
La FNEC-FP-FO sera présente avec la confédération FO au rassemblement organisé ce dimanche 18 octobre à 15 H, place de la République à Paris.
Elle sera également présente au rassemblement de Lille ce dimanche à 15h00 Place de la République et appelle à participer aux rassemblements organisés dans de nombreuses villes.
Hommage à Samuel Paty :
défendre l’instruction publique laïque et la liberté d’expression.
L’intolérance, l’obscurantisme, la barbarie se nourrissent de l’ignorance que les enseignants combattent par l’instruction publique et laïque.
Assassiner un professeur, s’attaquer à tout agent public, journaliste, dessinateur - au fait de vivre libre - est insupportable.
La FNEC FP-FO a appris avec horreur le crime qui a coûté la vie à un professeur devant son établissement. Elle condamne cet acte odieux.
La FNEC-FP-FO sera présente avec la confédération FO au rassemblement organisé ce dimanche 18 octobre à 15 H, place de la République à Paris.
Elle sera également présente au rassemblement de Lille ce dimanche à 15h00 Place de la République et appelle à participer aux rassemblements organisés dans de nombreuses villes.
Lire le communiqué de la FNEC-FP-FO
Projet de loi sur la direction : une attaque contre nos statuts.
Le Ministre sourd aux revendications de terrain (augmentation générale des décharges, amélioration du régime indiciaire) veut maintenir le projet mortifère de « chef de rayon du 1er degré ». Avec à la clef, entre autres :
- la décharge « à la carte » fluctuant en fonction des missions acceptées par le-la directeur-trice (gestion du PIAL, évaluation des AESH, gestion du périscolaire, du remplacement...)
- le Conseil d’École décisionnaire avec un-e directeur-trice chargé-e d'appliquer ses décisions, devenant le factotum de la Mairie et/ou des parents d'élèves...
Pour le SNUDI-FO et ses directeur-trices, le-la directeur-trice doit rester un PE chargé de mission de direction et non un délégataire de l'autorité du DASEN.
Petit rappel : les directeur-trices n'ont pas à évaluer les AESH. Ils ne sont ni l'employeur, ni le supérieur hiérarchique. C'est encore une tâche qu'on voudrait leur ajouter en dépit des textes et des règlements, qui n'est ni dans le décret de 1989 sur la direction d'école, ni dans le référentiel de compétences des directeur-trices.
Compte-rendu du 3ème GT ministériel ici
Une analyse article par article dans un 8 pages à télécharger ici
Constellations : l'évaluation à vie pour les PE, une charge énorme pour les CPC.
JM Blanquer l'a affirmé : « la culture de l'évaluation » doit s'imposer à l'école. Pour les élèves comme pour nous...l’École de la Confiance, quoi. Ou de la défiance vis à vis des personnels.
En déclinant sur tous les tons les termes de « management », « manager », le Ministre croit s'attirer les bonnes grâces d'apprentis-DRH en manque de reconnaissance. C'est raté.
Les constellations sont adossées à PPCR (vous savez, ce truc qui a drôlement augmenté nos salaires et boosté nos carrières par ses appréciations figées dans le marbre, ne riez pas...) et font partie de l'accompagnement permanent des PE. Le Ministère l'a affirmé à nos délégués.
La constellation, c'est deux temps :
- nous subissons cette formation imposée
- l'année suivante, les CPC viendront vérifier notre conformation aux directives et l'application de la doxa ministérielle. Avec grille de visite et revisite en cas de manquement.
Présentée comme une espèce de formation bienveillante en petits groupes à partir de nos besoins, elle n'est qu'une porte vers un contrôle accru et permanent de nos choix pédagogiques.
Si notre statut permet que l'IEN (ou les CPC qu'il mandate) contrôlent notre travail, il en est tout autrement pour nos collègues qui n'ont pas à être nos évaluateurs. On peut refuser cette observation par des pairs.
Présenté par ses défenseurs comme « la fin des inspections », PPCR ouvre la voie par ces constellations à la "stagiarisation" à vie que le SNUDI-FO avait dénoncé. On y est.
Nous demandons toujours l'abrogation de PPCR, le libre choix de notre formation professionnelle et une véritable liberté pédagogique.
Le SNUDI reçu au Ministère : ce que dit le Ministre sur PPCR et les constellations
C'est dans ce cadre de contrôle permanent que le Ministre a également annoncé la mise en place d'un quatrième rendez-vous de carrière en fin de carrière.
C'est le management "à la France Telecom" qui a conduit à une vague de suicides en 2009. Pression maximale, délire du contrôle permanent...et une charge de travail qui explose pour les CPC.
Dans de nombreux départements, les CPC refusent de se faire les rouages de ce "management".
La lettre nationale du SNUDI-FO aux CPC ici
Le SNUDI-FO demande l'abandon de ces constellations liberticides et la possibilité de choisir sa formation.
Protocole sans queue ni tête : les masques DIM sont TOXIQUES.
Étrillés pour leur inefficacité par les ARS, les masques fournis par notre employeur sont toxiques. Non seulement on ne nous protège pas mais maintenant, on nous intoxique, avec entre autre, des impacts connus sur la fertilité.
Pour rappel, c'est avec ce masque qu'E. Macron s'était étouffé en "absorbant un truc du masque" (citation)
Nos collègues du SNUDI-FO 67 s'adressent à la société DIM
Le SNUDI-FO demande des masques efficaces en quantité suffisante, du gel hydroalcoolique et l'abrogation du jour de carence, que ce soit dans le cadre du Covid ou de la maladie ordinaire. On nous rend malades et on devrait le payer !
Participez à nos RIS.
Les RIS du SNUDI-FO sont un lieu de discussion et d'information
Ne restez pas seul-e face aux protocoles, à la destruction des statuts, face aux injonctions sans fondement réglementaire.
Les RIS se dérouleront dans le respect des règles sanitaires : port du masque, gel (fourni).
Nous vous demandons de vous inscrire, ce n'est en aucun cas un flicage, c'est une façon d'évaluer le nombre de présent-es pour gérer au mieux la nécessaire distanciation physique.
Toute RIS est décomptable des 108h, hors APC & conseils d'école, y compris les animations pédagogiques en présence ou à distance, en constellation ou ordinaires.
PE, AESH : se défendre, c'est adhérer au SNUDI-FO. C'est faire vivre un syndicat revendicatif qui reste centré sur l'essentiel : la défense des postes, des salaires, des conditions de travail.
Projet de loi sur la direction : une attaque contre nos statuts.
Le Ministre sourd aux revendications de terrain (augmentation générale des décharges, amélioration du régime indiciaire) veut maintenir le projet mortifère de « chef de rayon du 1er degré ». Avec à la clef, entre autres :
- la décharge « à la carte » fluctuant en fonction des missions acceptées par le-la directeur-trice (gestion du PIAL, évaluation des AESH, gestion du périscolaire, du remplacement...)
- le Conseil d’École décisionnaire avec un-e directeur-trice chargé-e d'appliquer ses décisions, devenant le factotum de la Mairie et/ou des parents d'élèves...
Pour le SNUDI-FO et ses directeur-trices, le-la directeur-trice doit rester un PE chargé de mission de direction et non un délégataire de l'autorité du DASEN.
Petit rappel : les directeur-trices n'ont pas à évaluer les AESH. Ils ne sont ni l'employeur, ni le supérieur hiérarchique. C'est encore une tâche qu'on voudrait leur ajouter en dépit des textes et des règlements, qui n'est ni dans le décret de 1989 sur la direction d'école, ni dans le référentiel de compétences des directeur-trices.
Compte-rendu du 3ème GT ministériel ici
Une analyse article par article dans un 8 pages à télécharger ici
Constellations : l'évaluation à vie pour les PE, une charge énorme pour les CPC.
JM Blanquer l'a affirmé : « la culture de l'évaluation » doit s'imposer à l'école. Pour les élèves comme pour nous...l’École de la Confiance, quoi. Ou de la défiance vis à vis des personnels.
En déclinant sur tous les tons les termes de « management », « manager », le Ministre croit s'attirer les bonnes grâces d'apprentis-DRH en manque de reconnaissance. C'est raté.
Les constellations sont adossées à PPCR (vous savez, ce truc qui a drôlement augmenté nos salaires et boosté nos carrières par ses appréciations figées dans le marbre, ne riez pas...) et font partie de l'accompagnement permanent des PE. Le Ministère l'a affirmé à nos délégués.
La constellation, c'est deux temps :
- nous subissons cette formation imposée
- l'année suivante, les CPC viendront vérifier notre conformation aux directives et l'application de la doxa ministérielle. Avec grille de visite et revisite en cas de manquement.
Présentée comme une espèce de formation bienveillante en petits groupes à partir de nos besoins, elle n'est qu'une porte vers un contrôle accru et permanent de nos choix pédagogiques.
Si notre statut permet que l'IEN (ou les CPC qu'il mandate) contrôlent notre travail, il en est tout autrement pour nos collègues qui n'ont pas à être nos évaluateurs. On peut refuser cette observation par des pairs.
Présenté par ses défenseurs comme « la fin des inspections », PPCR ouvre la voie par ces constellations à la "stagiarisation" à vie que le SNUDI-FO avait dénoncé. On y est.
Nous demandons toujours l'abrogation de PPCR, le libre choix de notre formation professionnelle et une véritable liberté pédagogique.
Le SNUDI reçu au Ministère : ce que dit le Ministre sur PPCR et les constellations
C'est dans ce cadre de contrôle permanent que le Ministre a également annoncé la mise en place d'un quatrième rendez-vous de carrière en fin de carrière.
C'est le management "à la France Telecom" qui a conduit à une vague de suicides en 2009. Pression maximale, délire du contrôle permanent...et une charge de travail qui explose pour les CPC.
Dans de nombreux départements, les CPC refusent de se faire les rouages de ce "management".
La lettre nationale du SNUDI-FO aux CPC ici
Le SNUDI-FO demande l'abandon de ces constellations liberticides et la possibilité de choisir sa formation.
Protocole sans queue ni tête : les masques DIM sont TOXIQUES.
Étrillés pour leur inefficacité par les ARS, les masques fournis par notre employeur sont toxiques. Non seulement on ne nous protège pas mais maintenant, on nous intoxique, avec entre autre, des impacts connus sur la fertilité.
Pour rappel, c'est avec ce masque qu'E. Macron s'était étouffé en "absorbant un truc du masque" (citation)
Nos collègues du SNUDI-FO 67 s'adressent à la société DIM
Le SNUDI-FO demande des masques efficaces en quantité suffisante, du gel hydroalcoolique et l'abrogation du jour de carence, que ce soit dans le cadre du Covid ou de la maladie ordinaire. On nous rend malades et on devrait le payer !
Participez à nos RIS.
Les RIS du SNUDI-FO sont un lieu de discussion et d'information
Ne restez pas seul-e face aux protocoles, à la destruction des statuts, face aux injonctions sans fondement réglementaire.
Les RIS se dérouleront dans le respect des règles sanitaires : port du masque, gel (fourni).
Nous vous demandons de vous inscrire, ce n'est en aucun cas un flicage, c'est une façon d'évaluer le nombre de présent-es pour gérer au mieux la nécessaire distanciation physique.
Toute RIS est décomptable des 108h, hors APC & conseils d'école, y compris les animations pédagogiques en présence ou à distance, en constellation ou ordinaires.
PE, AESH : se défendre, c'est adhérer au SNUDI-FO. C'est faire vivre un syndicat revendicatif qui reste centré sur l'essentiel : la défense des postes, des salaires, des conditions de travail.
Non, la rentrée ne se passe pas bien. Elle ne passe pas !
Les organisations syndicales SUD éducation Nord, SUNDEP Solidaires, CGT Éduc’action
59/62, FNEC-FP FO 59/62, et les collectifs AESH 59-62 et Stylos rouges académie de Lille appellent l’ensemble des personnels d’éducation (privé et public, titulaires et précaires, enseignant⋅e⋅s et non-enseignant·e·s) de l’académie à se retrouver :
Mercredi 7 octobre,
à 14h30 devant le rectorat, 144 rue de Bavay.
Non, la rentrée ne se passe pas bien. Elle ne passe pas !
Les organisations syndicales SUD éducation Nord, SUNDEP Solidaires, CGT Éduc’action
59/62, FNEC-FP FO 59/62, et les collectifs AESH 59-62 et Stylos rouges académie de Lille appellent l’ensemble des personnels d’éducation (privé et public, titulaires et précaires, enseignant⋅e⋅s et non-enseignant·e·s) de l’académie à se retrouver :
Mercredi 7 octobre,
à 14h30 devant le rectorat, 144 rue de Bavay.
Délégation de pouvoir : la mauvaise direction.
Le-la directeur-trice comme « délégataire de l'autorité du DASEN », c'est ce qui figure dans le nouveau statut. La réalité, c'est faire des directrices et directeurs des factotums du DASEN.
Fliquer les 108 heures, organiser l'emploi du temps d'AESH en nombre insuffisant et se mettre à dos des collègues qui s'estiment lésés, voilà quelques tâches qui ne devraient pas incomber aux directeurs-trices.
Aujourd'hui les directeur-trices sont prié-es d'évaluer les AESH. Un nouvel étage à l'empilement des tâches, un nouveau boulot confié à la direction qui devrait être la responsabilité de l'employeur (le DASEN).
Le statut, c'est ça : un boulot de contremaître ou de chef de rayon déguisé en « manager ».
Le SNUDI-FO rappelle que ni le référentiel de compétence du-de la directeur-trice et encore moins le décret de 1989 (dont le SNUDI demande le strict respect) ne prévoient cette tâche.
Respect des missions = pas d'évaluation des AESH. On ne peut vous l'imposer.
Augmentation des décharges, 100 points d'indice : ce sont de vraies revendications qui simplifieraient et récompenseraient le travail de direction. Le statut, c'est du pipeau !
Lire notre communiqué "direction" ici
PPCR + constellations = stagiaires à vie.
Le Ministre Blanquer lève le voile sur la réalité des « constellations ».
Elles sont un avatar de PPCR inscrites dans les lignes de gestion des promotions.
On se souvient des arguments en faveur de PPCR : la fin d'une inspection infantilisante...l'analyse était absolument erronée.
Aujourd'hui, PPCR est partout, l'évaluation est permanente. Dans les entretiens de carrière, dans la crise Covid (des enseignant-es seront évalué-es en fonction de leur « agilité pédagogique » durant le confinement, cf l'épisode des « badges »), dans les animations pédagogiques.
Les animations seront utilisées pour vérifier la conformation des collègues aux injonctions pseudo-pédagogiques du Ministre et non comme véritable formation choisie.
Plus de choix : plan français, plan maths.
Le tout sous la houlette des CPC utilisé-es comme « surveillant-es » de la conformation.
Dans quelques départements, les CPC ont d'ores et déjà refusé de se poser en évaluateurs des collègues, d'autant plus que la mise en place de ce tracing pédagogique alourdit leur charge de travail déjà monstrueuse.
Les CPC ont choisi d'être des formateurs-trices, des conseils, des ressources pour les collègues débutant-es. Ils-elles n'ont pas l'ambition d'être des sous-inspecteurs-trices.
C'est ce qui ressort dans nombre de départements où ces collègues se mobilisent.
A la mise en place de PPCR, le SNUDI-FO a bien expliqué qu'il ne s'agissait pas de ne plus être inspecté mais au contraire être inspectable en permanence, sans modification des appréciations.
PPCR c'est l'inspection permanente sans la promotion. Il reste le bâton, la carotte a disparu. Nous devenons stagiaires à vie.
Le SNUDI-FO demande toujours le retrait de PPCR (qu'il a refusé avec SUD et la CGT) et des constellations utilisées contre les personnels.
Lire le communiqué "constellations" ici
Crise sanitaire ? Des postes que diable !
Quand la crise sanitaire semble battre son plein, quelles sont les réponses du gouvernement ?
- réduire la « quatorzaine » à une « septaine »
- ne plus fermer les classes en assouplissant le protocole
- persister dans le maintien du jour de carence en plein contexte pandémique
- ne plus octroyer d'ASA aux collègues fragiles, les envoyant au casse-pipe
Ce qu'on veut : des postes ! Il est grand temps d'ouvrir la liste complémentaire.
Lire le communiqué SNUDI-FO SNUipp SE Sud CGT Sgen ici
Participez à nos RIS.
Les RIS du SNUDI-FO sont un lieu de discussion et d'information. Ne restez pas seul-e face aux protocoles, à la destruction des statuts. Les RIS se dérouleront dans le respect des règles sanitaires : port du masque, gel (fourni).
Nous vous demandons de vous inscrire, ce n'est en aucun cas un flicage, c'est une façon d'évaluer le nombre de présent-es pour gérer au mieux la nécessaire distanciation physique.
Toute RIS est décomptable des 108h, hors APC & conseils d'école, y compris les animations pédagogiques en présence ou à distance.
Fiche de RIS réglementaire à ce lien : pas d'exception de circos :)
Contactez-nous en cas d'injonctions contraires au droit et/ou abracadabrantesques.
Délégation de pouvoir : la mauvaise direction.
Le-la directeur-trice comme « délégataire de l'autorité du DASEN », c'est ce qui figure dans le nouveau statut. La réalité, c'est faire des directrices et directeurs des factotums du DASEN.
Fliquer les 108 heures, organiser l'emploi du temps d'AESH en nombre insuffisant et se mettre à dos des collègues qui s'estiment lésés, voilà quelques tâches qui ne devraient pas incomber aux directeurs-trices.
Aujourd'hui les directeur-trices sont prié-es d'évaluer les AESH. Un nouvel étage à l'empilement des tâches, un nouveau boulot confié à la direction qui devrait être la responsabilité de l'employeur (le DASEN).
Le statut, c'est ça : un boulot de contremaître ou de chef de rayon déguisé en « manager ».
Le SNUDI-FO rappelle que ni le référentiel de compétence du-de la directeur-trice et encore moins le décret de 1989 (dont le SNUDI demande le strict respect) ne prévoient cette tâche.
Respect des missions = pas d'évaluation des AESH. On ne peut vous l'imposer.
Augmentation des décharges, 100 points d'indice : ce sont de vraies revendications qui simplifieraient et récompenseraient le travail de direction. Le statut, c'est du pipeau !
Lire notre communiqué "direction" ici
PPCR + constellations = stagiaires à vie.
Le Ministre Blanquer lève le voile sur la réalité des « constellations ».
Elles sont un avatar de PPCR inscrites dans les lignes de gestion des promotions.
On se souvient des arguments en faveur de PPCR : la fin d'une inspection infantilisante...l'analyse était absolument erronée.
Aujourd'hui, PPCR est partout, l'évaluation est permanente. Dans les entretiens de carrière, dans la crise Covid (des enseignant-es seront évalué-es en fonction de leur « agilité pédagogique » durant le confinement, cf l'épisode des « badges »), dans les animations pédagogiques.
Les animations seront utilisées pour vérifier la conformation des collègues aux injonctions pseudo-pédagogiques du Ministre et non comme véritable formation choisie.
Plus de choix : plan français, plan maths.
Le tout sous la houlette des CPC utilisé-es comme « surveillant-es » de la conformation.
Dans quelques départements, les CPC ont d'ores et déjà refusé de se poser en évaluateurs des collègues, d'autant plus que la mise en place de ce tracing pédagogique alourdit leur charge de travail déjà monstrueuse.
Les CPC ont choisi d'être des formateurs-trices, des conseils, des ressources pour les collègues débutant-es. Ils-elles n'ont pas l'ambition d'être des sous-inspecteurs-trices.
C'est ce qui ressort dans nombre de départements où ces collègues se mobilisent.
A la mise en place de PPCR, le SNUDI-FO a bien expliqué qu'il ne s'agissait pas de ne plus être inspecté mais au contraire être inspectable en permanence, sans modification des appréciations.
PPCR c'est l'inspection permanente sans la promotion. Il reste le bâton, la carotte a disparu. Nous devenons stagiaires à vie.
Le SNUDI-FO demande toujours le retrait de PPCR (qu'il a refusé avec SUD et la CGT) et des constellations utilisées contre les personnels.
Lire le communiqué "constellations" ici
Crise sanitaire ? Des postes que diable !
Quand la crise sanitaire semble battre son plein, quelles sont les réponses du gouvernement ?
- réduire la « quatorzaine » à une « septaine »
- ne plus fermer les classes en assouplissant le protocole
- persister dans le maintien du jour de carence en plein contexte pandémique
- ne plus octroyer d'ASA aux collègues fragiles, les envoyant au casse-pipe
Ce qu'on veut : des postes ! Il est grand temps d'ouvrir la liste complémentaire.
Lire le communiqué SNUDI-FO SNUipp SE Sud CGT Sgen ici
Participez à nos RIS.
Les RIS du SNUDI-FO sont un lieu de discussion et d'information. Ne restez pas seul-e face aux protocoles, à la destruction des statuts. Les RIS se dérouleront dans le respect des règles sanitaires : port du masque, gel (fourni).
Nous vous demandons de vous inscrire, ce n'est en aucun cas un flicage, c'est une façon d'évaluer le nombre de présent-es pour gérer au mieux la nécessaire distanciation physique.
Toute RIS est décomptable des 108h, hors APC & conseils d'école, y compris les animations pédagogiques en présence ou à distance.
Fiche de RIS réglementaire à ce lien : pas d'exception de circos :)
Contactez-nous en cas d'injonctions contraires au droit et/ou abracadabrantesques.
Mascarade DIM.
Alors qu'un durcissement des règles de circulation et de regroupement s'opère partout et que les discours alarmistes se multiplient, un assouplissement général est prévu dans l’Éducation Nationale. Nous sommes envoyés au travail dans des conditions sanitaires dégradées avec des masques inefficaces : peu couvrants, élasticité insuffisante, épaisseur suffocante.
L'avis des ARS : l'ARS de la Vienne a placé des collègues porteurs du masque DIM en raison de ce masque, qu'elle a jugé inefficace. D'autres ARS sont de cet avis.
Aucune norme : ces masques ont juste une spécification AFNOR créée à la va-vite en mars alors que les masques manquaient. Ce dispositif n'est ni un dispositif médical, ni un équipement de protection individuelle au sens des règlements en vigueur. Bref, quasi rien.
Une étude scientifique l'affirme dans le British Medical Journal : pour un masque en tissu, la pénétration des particules est de 97% contre 44% pour un masque chirurgical. Il ne nous protège quasiment pas.
Traitement biocide du masque : traité à la zéolite d'argent et de cuivre, cette substance n'est pas approuvée comme biocide (tuant les virus et bactéries) dans la nomenclature européenne.
Entretien du masque : aucun détergent, aucune température de lavage n'ont été testés. Les injonctions du Ministère relèvent de la pensée magique : « on dit que ça marche, donc ça marche... »
Le SNUDI-FO demande de vrais masques, adaptés à nos besoins. Nous avons également besoin de masques transparents pour nous et nos élèves malentendants qui ont besoin de la lecture labiale.
Ailleurs dans le monde...
Exception française : il semblerait que seuls les enfants français ne soient pas des vecteurs de la maladie. Les enfants ne véhiculeraient pas le virus aux enseignant-es mais ils sont priés de rester loin de leurs grands-parents. Alors ? Contagieux ou pas les enfants ?
Aux États-Unis, 6 enfants ont contaminé 12 camarades et presque autant d'adultes dans un Child Care Center (source France-Info).
L'OMS insiste sur la nécessité du masque dès 6 ans. En France, c'est 11.
Les masques sont gratuits à Cuba, en Suisse, en Grèce...
Pour le SNUDI-FO, ce protocole doit être levé. Il faut recruter des médecins de prévention, construire une vraie médecine du travail, nous fournir de vraies protections.
Le protocole ne sert qu'à faire peser sur les personnels la responsabilité de son application pour dédouaner notre employeur et masquer (en DIM ?) l'incurie du gouvernement. Il permet aux personnels vulnérables de se retrouver au travail ! Sans cesse modifié, nous exposant un peu plus, sans cesse allégé, ce protocole doit disparaître.
C'est nouveau, ça vient de sortir...
Les classes ne ferment plus pour un seul cas de Covid. Il en faut 3, et pas dans la même fratrie.
La durée d'éviction est abaissée à 7 jours, contre 14 précédemment, enfant ou adulte...Comme une rhino-pharyngite.
Pas de nouveau test pour le retour.
Le masque DIM est reconnu aujourd'hui aux normes (voir plus haut). Il n'a pas changé. C'est un énième tour de passe-passe.
Nous exigeons toujours :
- l'abrogation du jour de carence
- l'imputabilité au service en cas d'infection par la Covid
- des ASA pour les personnels vulnérables, devenus invulnérables par la promulgation d'un décret le 31 août dernier...magique.
Vous défendre, c'est adhérer au SNUDI-FO. C'est faire vivre un syndicat revendicatif qui reste centré sur l'essentiel : la défense des postes, des salaires, des conditions de travail.
Mascarade DIM.
Alors qu'un durcissement des règles de circulation et de regroupement s'opère partout et que les discours alarmistes se multiplient, un assouplissement général est prévu dans l’Éducation Nationale. Nous sommes envoyés au travail dans des conditions sanitaires dégradées avec des masques inefficaces : peu couvrants, élasticité insuffisante, épaisseur suffocante.
L'avis des ARS : l'ARS de la Vienne a placé des collègues porteurs du masque DIM en raison de ce masque, qu'elle a jugé inefficace. D'autres ARS sont de cet avis.
Aucune norme : ces masques ont juste une spécification AFNOR créée à la va-vite en mars alors que les masques manquaient. Ce dispositif n'est ni un dispositif médical, ni un équipement de protection individuelle au sens des règlements en vigueur. Bref, quasi rien.
Une étude scientifique l'affirme dans le British Medical Journal : pour un masque en tissu, la pénétration des particules est de 97% contre 44% pour un masque chirurgical. Il ne nous protège quasiment pas.
Traitement biocide du masque : traité à la zéolite d'argent et de cuivre, cette substance n'est pas approuvée comme biocide (tuant les virus et bactéries) dans la nomenclature européenne.
Entretien du masque : aucun détergent, aucune température de lavage n'ont été testés. Les injonctions du Ministère relèvent de la pensée magique : « on dit que ça marche, donc ça marche... »
Le SNUDI-FO demande de vrais masques, adaptés à nos besoins. Nous avons également besoin de masques transparents pour nous et nos élèves malentendants qui ont besoin de la lecture labiale.
Ailleurs dans le monde...
Exception française : il semblerait que seuls les enfants français ne soient pas des vecteurs de la maladie. Les enfants ne véhiculeraient pas le virus aux enseignant-es mais ils sont priés de rester loin de leurs grands-parents. Alors ? Contagieux ou pas les enfants ?
Aux États-Unis, 6 enfants ont contaminé 12 camarades et presque autant d'adultes dans un Child Care Center (source France-Info).
L'OMS insiste sur la nécessité du masque dès 6 ans. En France, c'est 11.
Les masques sont gratuits à Cuba, en Suisse, en Grèce...
Pour le SNUDI-FO, ce protocole doit être levé. Il faut recruter des médecins de prévention, construire une vraie médecine du travail, nous fournir de vraies protections.
Le protocole ne sert qu'à faire peser sur les personnels la responsabilité de son application pour dédouaner notre employeur et masquer (en DIM ?) l'incurie du gouvernement. Il permet aux personnels vulnérables de se retrouver au travail ! Sans cesse modifié, nous exposant un peu plus, sans cesse allégé, ce protocole doit disparaître.
C'est nouveau, ça vient de sortir...
Les classes ne ferment plus pour un seul cas de Covid. Il en faut 3, et pas dans la même fratrie.
La durée d'éviction est abaissée à 7 jours, contre 14 précédemment, enfant ou adulte...Comme une rhino-pharyngite.
Pas de nouveau test pour le retour.
Le masque DIM est reconnu aujourd'hui aux normes (voir plus haut). Il n'a pas changé. C'est un énième tour de passe-passe.
Nous exigeons toujours :
- l'abrogation du jour de carence
- l'imputabilité au service en cas d'infection par la Covid
- des ASA pour les personnels vulnérables, devenus invulnérables par la promulgation d'un décret le 31 août dernier...magique.
Vous défendre, c'est adhérer au SNUDI-FO. C'est faire vivre un syndicat revendicatif qui reste centré sur l'essentiel : la défense des postes, des salaires, des conditions de travail.
Tout et son contraire, encore.
Le gouvernement veut organiser le retour de tous en classe, quel qu'en soit l'impact sur notre santé, quel que soit l'avis des scientifiques.
Le masque naguère inutile est devenu obligatoire. Les masques à laver à 60° sont devenus lavables n'importe comment. Les masques au nombre de lavages défini sont devenus utilisables jusqu'à l'usure.
La « quatorzaine » est devenue une « septaine », la santé des personnels est sacrifiée sur l'autel du retour en classe. Les premiers de corvée sont bien là.
Tout et son contraire pourvu que tout le monde soit en classe.
Pendant ce temps-là, les 2S2C actent l'intrusion des territoires dans l'enseignement, le point d'indice est gelé, les masques FFP2 ne sont pas proposés aux personnels, même les plus vulnérables : ceux qui prétendent que la rentrée s'est bien passée se moquent de nous.
Le SNUDI-FO réclame des masques FFP2 et des postes par l'ouverture de la liste complémentaire pour assurer les remplacements ou le dédoublement des classes en cas d'épidémie. Pas d'enseignement sans enseignant-es !
AESH et ASH : défendre les postes, les statuts et les salaires.
100 milliards d'euros d'aide aux entreprises (sans obligation de maintien de l'emploi : ce sont des euros pour les actionnaires) qui font suite aux 470 milliards de l'aide d'urgence post-Covid et pas un centime pour les AESH.
Ni les AESH, payé-es largement sous le seuil de pauvreté, ni les enfants en situation de handicap ne sont une priorité du gouvernement. Derrière les discours mielleux, c'est la destruction de l'enseignement spécialisé qui est une réalité : suppressions de postes en SEGPA, RASED moribonds, personnels sous-payés, inclusion à marche forcée devenue un dogme et non plus un projet pédagogique.
Pour le SNUDI-FO, les AESH doivent bénéficier d'un statut garantissant une progression indiciaire sur la carrière. Nous demandons également un temps complet pour celles-ceux qui le demandent. Les 183 euros obtenus par les agents hospitaliers doivent être versés à tous, AESH et PE.
Les postes spécialisés doivent être pérennisés : plus que jamais les élèves en situation de handicap encore fragilisés par le confinement doivent pouvoir avoir un enseignement adapté délivré par des PE spécialisé-es.
Rentrée des AESH. Le SNUDI vous défend ! (lire ici)
Constellations : déjà utilisées pour la formation sur le temps de vacances.
La formation par « constellations » semble constituer l'alpha et l'oméga de la formation. Mieux que les formations en amphi à 300 ou des animations sponsorisées par des éditeurs qui viennent vendre leur soupe ?
Pas vraiment. Ces constellations s'inscrivent dans la volonté de PPCR de faire des PE des stagiaires à vie.
D'ores et déjà, en lieu et place des 18h de formation, ce sont 30 heures prévues dans certains départements, les 12 restantes étant effectuées sur le temps de vacances.
Si rien de tel n'est prévu dans notre département, le SNUDI-FO reste vigilant.
C'est parfaitement « raccord » avec la volonté du Ministre de « repenser la vie des enseignant-es... » Il faudrait mettre les enseignant-es au boulot : quand les discussions du bar du coin font une ligne politique, l'inquiétude est grande.
Travailler plus pour gagner moins, voilà l'objectif ministériel.
Ce que réclame le SNUDI-FO : 183 euros immédiatement comme les collègues des hôpitaux, premier pas vers un rattrapage des 18% perdus en 20 ans et une formation choisie sur le temps de travail.
Constellations : une attaque contre le temps de travail et le statut. Lire ici.
Vous défendre, c'est adhérer au SNUDI-FO. C'est faire vivre un syndicat revendicatif centré sur l'essentiel : la défense des postes, des salaires, des conditions de travail.
Participez à nos RIS.
Les RIS du SNUDI-FO sont un lieu de discussion et d'information. Ne restez pas seul-e face aux protocoles, à la destruction des statuts. Les RIS se dérouleront dans le respect des règles sanitaires : port du masque, gel (fourni).
Nous vous demandons de vous inscrire, ce n'est en aucun cas un flicage, c'est une façon d'évaluer le nombre de présent-es pour gérer au mieux la nécessaire distanciation physique.
Dates de RIS et inscriptions sur la page d'accueil.
Toute RIS est décomptable des 108h, hors APC & conseils d'école, y compris les animations pédagogiques en présence ou à distance.
Pas RIS près de chez vous ? Ca peut se faire... Envoyez-nous un mail, un sms, un appel (06.13.77.43.84)
Tout et son contraire, encore.
Le gouvernement veut organiser le retour de tous en classe, quel qu'en soit l'impact sur notre santé, quel que soit l'avis des scientifiques.
Le masque naguère inutile est devenu obligatoire. Les masques à laver à 60° sont devenus lavables n'importe comment. Les masques au nombre de lavages défini sont devenus utilisables jusqu'à l'usure.
La « quatorzaine » est devenue une « septaine », la santé des personnels est sacrifiée sur l'autel du retour en classe. Les premiers de corvée sont bien là.
Tout et son contraire pourvu que tout le monde soit en classe.
Pendant ce temps-là, les 2S2C actent l'intrusion des territoires dans l'enseignement, le point d'indice est gelé, les masques FFP2 ne sont pas proposés aux personnels, même les plus vulnérables : ceux qui prétendent que la rentrée s'est bien passée se moquent de nous.
Le SNUDI-FO réclame des masques FFP2 et des postes par l'ouverture de la liste complémentaire pour assurer les remplacements ou le dédoublement des classes en cas d'épidémie. Pas d'enseignement sans enseignant-es !
AESH et ASH : défendre les postes, les statuts et les salaires.
100 milliards d'euros d'aide aux entreprises (sans obligation de maintien de l'emploi : ce sont des euros pour les actionnaires) qui font suite aux 470 milliards de l'aide d'urgence post-Covid et pas un centime pour les AESH.
Ni les AESH, payé-es largement sous le seuil de pauvreté, ni les enfants en situation de handicap ne sont une priorité du gouvernement. Derrière les discours mielleux, c'est la destruction de l'enseignement spécialisé qui est une réalité : suppressions de postes en SEGPA, RASED moribonds, personnels sous-payés, inclusion à marche forcée devenue un dogme et non plus un projet pédagogique.
Pour le SNUDI-FO, les AESH doivent bénéficier d'un statut garantissant une progression indiciaire sur la carrière. Nous demandons également un temps complet pour celles-ceux qui le demandent. Les 183 euros obtenus par les agents hospitaliers doivent être versés à tous, AESH et PE.
Les postes spécialisés doivent être pérennisés : plus que jamais les élèves en situation de handicap encore fragilisés par le confinement doivent pouvoir avoir un enseignement adapté délivré par des PE spécialisé-es.
Rentrée des AESH. Le SNUDI vous défend ! (lire ici)
Constellations : déjà utilisées pour la formation sur le temps de vacances.
La formation par « constellations » semble constituer l'alpha et l'oméga de la formation. Mieux que les formations en amphi à 300 ou des animations sponsorisées par des éditeurs qui viennent vendre leur soupe ?
Pas vraiment. Ces constellations s'inscrivent dans la volonté de PPCR de faire des PE des stagiaires à vie.
D'ores et déjà, en lieu et place des 18h de formation, ce sont 30 heures prévues dans certains départements, les 12 restantes étant effectuées sur le temps de vacances.
Si rien de tel n'est prévu dans notre département, le SNUDI-FO reste vigilant.
C'est parfaitement « raccord » avec la volonté du Ministre de « repenser la vie des enseignant-es... » Il faudrait mettre les enseignant-es au boulot : quand les discussions du bar du coin font une ligne politique, l'inquiétude est grande.
Travailler plus pour gagner moins, voilà l'objectif ministériel.
Ce que réclame le SNUDI-FO : 183 euros immédiatement comme les collègues des hôpitaux, premier pas vers un rattrapage des 18% perdus en 20 ans et une formation choisie sur le temps de travail.
Constellations : une attaque contre le temps de travail et le statut. Lire ici.
Vous défendre, c'est adhérer au SNUDI-FO. C'est faire vivre un syndicat revendicatif centré sur l'essentiel : la défense des postes, des salaires, des conditions de travail.
Participez à nos RIS.
Les RIS du SNUDI-FO sont un lieu de discussion et d'information. Ne restez pas seul-e face aux protocoles, à la destruction des statuts. Les RIS se dérouleront dans le respect des règles sanitaires : port du masque, gel (fourni).
Nous vous demandons de vous inscrire, ce n'est en aucun cas un flicage, c'est une façon d'évaluer le nombre de présent-es pour gérer au mieux la nécessaire distanciation physique.
Dates de RIS et inscriptions sur la page d'accueil.
Toute RIS est décomptable des 108h, hors APC & conseils d'école, y compris les animations pédagogiques en présence ou à distance.
Pas RIS près de chez vous ? Ca peut se faire... Envoyez-nous un mail, un sms, un appel (06.13.77.43.84)
Un protocole qui protège le Ministre, pas les personnels.
Alors que des collègues nous signalent peiner à obtenir des masques, du gel hydroalcoolique, les personnels en situation de fragilité sont oubliés et méprisés. L'administration n'est même pas capable de leur fournir un masque FFP2.
Quid des ASA ?
Toujours pas d'ASA ni d’imputabilité au service. Les enseignant-es, y compris les plus fragiles, sont envoyés littéralement au casse-pipe.
En cas de manquement de notre employeur à vous fournir le matériel (gel, masques, lingettes virucides), contactez le SNUDI-FO.
Jour de carence, mise à l'isolement : les réponses du ministère ici
Un protocole pour protéger...le Ministre. Lire ici.
Carte scolaire, ajustement des passages à la Hors-Classe.
Carte scolaire : le DASEN a ouvert 4 classes, dont 3 maternelles dont la moyenne par classe s'élevait nettement au-dessus de 30. Une classe a été rouverte dans un RPI.
C'est maigre au regard du nombre de dossiers que défendaient les organisations syndicales. Le DASEN a accédé à une demande défendue par le SNUDI-FO.
Que faut il retenir ?
- le seuil des classes dédoublées prétendument aux alentours de 12 est en fait 15. La notion d'alentours est particulièrement large...
- les élèves en inclusion compte pour ½ élève. Le DASEN se félicite de cette disposition qui est supérieure à ce qui se pratique dans d'autres départements, où ces élèves ne compteraient pas. Il indique que s'il les comptait à 100%, il compterait également le maître ULIS dans le nombre de classes.
Pour le SNUDI, tous les élèves doivent compter. On nous l'a rabâché, l'ULIS est un dispositif et non une classe : aucune raison de compter un maître qui est dans un « dispositif » et non une « classe ».
- le DASEN est contraint par un nombre de postes dans le département qui est insuffisant.
Pour le SNUDI-FO, 15 n'est pas aux alentours de 12. N'importe quel élève de CP vous le dira. Nous demandons que le strict seuil de 12 soit appliqué. Tous les élèves doivent compter également.
Si des postes manquent, ouvrons la liste complémentaire ! Nos collègues de La Réunion ont obtenu son ouverture par les manifestations et les mobilisations pour alléger leurs effectifs.
Votes => Pour : administration. Abstentions : UNSA, FO, SNE. Contre : FSU.
Hors-Classe : 14 collègues inscrit-es dans le tableau de la Hors-Classe en sont sortis pour différentes raisons (retraites, intégration d'un autre corps). 14 nouveaux collègues sont donc admis à la Hors-Classe au 1er septembre portant à 479 le nombre de promu-es.
Pour le SNUDI-FO, l'ancienneté doit rester le critère d'accès à la Hors-Classe. Aucun personnel ne doit partir sans l'avoir intégrée.
Les ex-instituteurs et institutrices restent honteusement lésés dans notre département. D'autres départements très importants (Paris, Bouches-du-Rhône, Rhône) intègrent les années dans le corps des instituteurs. C'est la rançon de PPCR dont nous demandons toujours l'abrogation.
Le SNUDI-FO a réitéré au DASEN sa revendication pour que cette disposition soit étendue au Pas-de-Calais, nulle raison que nous soyons lésés !
PPCR lèse encore plus les plus anciens d'entre-nous, et contrairement aux assertions de ses défenseurs, ne nous a pas fait gagner un centime de plus depuis sa mise en œuvre.
Pire, PPCR conditionne le dégel du point d'indice aux « indicateurs macro-économiques ».
Le rendez-vous salarial du 24 juillet a gelé le point d'indice...les indicateurs sont au rouge, nous payons la pandémie qui est le fruit de l'incurie gouvernementale.
PPCR = gel du point d'indice + gel des appréciations.
Votes => Pour : Administration, SE. Abstentions : SNU-iPP & SNE. Contre : SNUDI-FO
Note : cette CAPD était la dernière sur les promotions. Le gouvernement veut que les PE se retrouvent seul-es face à leur hiérarchie. C'est plus que jamais l'heure de participer à nos RIS et de rejoindre les rangs d'un syndicat qui revendique.
Direction, salaires, retraites : le SNUDI-FO ne pousse pas les revendications sous le tapis au profit de la crise.
Le Ministère voudrait créer une « union nationale » autour de la crise sanitaire qui enterrerait nos revendications sur les retraites ou la direction d'école. La belle affaire !
Le SNUDI-FO n'est pas un supplétif du Ministère !
Abandon de PPCR et de la loi de Transformation de la Fonction Publique, revalorisation salariale, abandon des projets de loi sur la direction et sur les retraites.
Nous gardons un cap revendicatif qui ne sera pas placé sous l'éteignoir du protocole !
Direction : signez la pétition FO FSU SUD CGT
Direction : non à la loi Rilhac ! Non au statut ! Lire notre communiqué ici.
Les revendications des CPC sont les nôtres !
Exclu-es de l'ISAE, exclu-es des primes REP et REP+, assujetti-es au 1607 heures, possiblement sur le temps de vacances, les CPC demeurent la cinquième roue du carrosse "1er degré". Ils-elles se voient confier des tâches qui n'ont absolument rien à voir avec leur coeur de métier : assistant de prévention, pourvoyeurs de masques, inspections dans les familles ne scolarisant pas les enfants à trois ans, référent "inclusion" sans formation, suivi des 2S2C...et demain ?
C'est la même chanson que pour nos directeur-trices, on charge la barque jusqu'au naufrage !
Il ne faut pas tomber dans le piège de la division : AESH, PE, CPC, directeur-trices, tous les personnels du premier degré sont traités à la même enseigne : alourdissement des tâches, dégradation des conditions de travail, mépris de la hiérarchie, salaires indignes.
Faire avancer les revendications de toutes et tous, même sous Covid-19, reste la ligne de conduite de Force Ouvrière.
Attribution des primes REP / REP+, amélioration indiciaire, versement de l'ISAE, création d'un troisième poste de CPC dans toutes les circonscriptions, prise en compte réelle des frais de déplacement : des revendications essentielles et légitimes !
Retrouvons-nous en RIS.
Les RIS du SNUDI-FO sont un lieu de discussion et d'information. Ne restez pas seul-e face aux protocoles, à la destruction des statuts. Les RIS se dérouleront dans le respect des règles sanitaires : port du masque, gel (fourni).
Toute RIS est décomptable des 108h, hors APC & conseils d'école, y compris les animations pédagogiques en présence ou à distance.
Des RIS sont organisées dans nombre de secteurs, dès à présent (Arras, Saint-Omer, Lens, Audruicq, Calais...), retrouvez les dates sur notre site.
La fiche à destination de l'IEN ici
Les dates ici, en page d'accueil
Plus que jamais, adhérer au SNUDI-FO, c'est défendre les intérêts matériels et moraux des personnels et leurs statuts.
Plus que jamais, c'est préserver l’École de la République et garantir son indépendance.
Un protocole qui protège le Ministre, pas les personnels.
Alors que des collègues nous signalent peiner à obtenir des masques, du gel hydroalcoolique, les personnels en situation de fragilité sont oubliés et méprisés. L'administration n'est même pas capable de leur fournir un masque FFP2.
Quid des ASA ?
Toujours pas d'ASA ni d’imputabilité au service. Les enseignant-es, y compris les plus fragiles, sont envoyés littéralement au casse-pipe.
En cas de manquement de notre employeur à vous fournir le matériel (gel, masques, lingettes virucides), contactez le SNUDI-FO.
Jour de carence, mise à l'isolement : les réponses du ministère ici
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Carte scolaire, ajustement des passages à la Hors-Classe.
Carte scolaire : le DASEN a ouvert 4 classes, dont 3 maternelles dont la moyenne par classe s'élevait nettement au-dessus de 30. Une classe a été rouverte dans un RPI.
C'est maigre au regard du nombre de dossiers que défendaient les organisations syndicales. Le DASEN a accédé à une demande défendue par le SNUDI-FO.
Que faut il retenir ?
- le seuil des classes dédoublées prétendument aux alentours de 12 est en fait 15. La notion d'alentours est particulièrement large...
- les élèves en inclusion compte pour ½ élève. Le DASEN se félicite de cette disposition qui est supérieure à ce qui se pratique dans d'autres départements, où ces élèves ne compteraient pas. Il indique que s'il les comptait à 100%, il compterait également le maître ULIS dans le nombre de classes.
Pour le SNUDI, tous les élèves doivent compter. On nous l'a rabâché, l'ULIS est un dispositif et non une classe : aucune raison de compter un maître qui est dans un « dispositif » et non une « classe ».
- le DASEN est contraint par un nombre de postes dans le département qui est insuffisant.
Pour le SNUDI-FO, 15 n'est pas aux alentours de 12. N'importe quel élève de CP vous le dira. Nous demandons que le strict seuil de 12 soit appliqué. Tous les élèves doivent compter également.
Si des postes manquent, ouvrons la liste complémentaire ! Nos collègues de La Réunion ont obtenu son ouverture par les manifestations et les mobilisations pour alléger leurs effectifs.
Votes => Pour : administration. Abstentions : UNSA, FO, SNE. Contre : FSU.
Hors-Classe : 14 collègues inscrit-es dans le tableau de la Hors-Classe en sont sortis pour différentes raisons (retraites, intégration d'un autre corps). 14 nouveaux collègues sont donc admis à la Hors-Classe au 1er septembre portant à 479 le nombre de promu-es.
Pour le SNUDI-FO, l'ancienneté doit rester le critère d'accès à la Hors-Classe. Aucun personnel ne doit partir sans l'avoir intégrée.
Les ex-instituteurs et institutrices restent honteusement lésés dans notre département. D'autres départements très importants (Paris, Bouches-du-Rhône, Rhône) intègrent les années dans le corps des instituteurs. C'est la rançon de PPCR dont nous demandons toujours l'abrogation.
Le SNUDI-FO a réitéré au DASEN sa revendication pour que cette disposition soit étendue au Pas-de-Calais, nulle raison que nous soyons lésés !
PPCR lèse encore plus les plus anciens d'entre-nous, et contrairement aux assertions de ses défenseurs, ne nous a pas fait gagner un centime de plus depuis sa mise en œuvre.
Pire, PPCR conditionne le dégel du point d'indice aux « indicateurs macro-économiques ».
Le rendez-vous salarial du 24 juillet a gelé le point d'indice...les indicateurs sont au rouge, nous payons la pandémie qui est le fruit de l'incurie gouvernementale.
PPCR = gel du point d'indice + gel des appréciations.
Votes => Pour : Administration, SE. Abstentions : SNU-iPP & SNE. Contre : SNUDI-FO
Note : cette CAPD était la dernière sur les promotions. Le gouvernement veut que les PE se retrouvent seul-es face à leur hiérarchie. C'est plus que jamais l'heure de participer à nos RIS et de rejoindre les rangs d'un syndicat qui revendique.
Direction, salaires, retraites : le SNUDI-FO ne pousse pas les revendications sous le tapis au profit de la crise.
Le Ministère voudrait créer une « union nationale » autour de la crise sanitaire qui enterrerait nos revendications sur les retraites ou la direction d'école. La belle affaire !
Le SNUDI-FO n'est pas un supplétif du Ministère !
Abandon de PPCR et de la loi de Transformation de la Fonction Publique, revalorisation salariale, abandon des projets de loi sur la direction et sur les retraites.
Nous gardons un cap revendicatif qui ne sera pas placé sous l'éteignoir du protocole !
Direction : signez la pétition FO FSU SUD CGT
Direction : non à la loi Rilhac ! Non au statut ! Lire notre communiqué ici.
Les revendications des CPC sont les nôtres !
Exclu-es de l'ISAE, exclu-es des primes REP et REP+, assujetti-es au 1607 heures, possiblement sur le temps de vacances, les CPC demeurent la cinquième roue du carrosse "1er degré". Ils-elles se voient confier des tâches qui n'ont absolument rien à voir avec leur coeur de métier : assistant de prévention, pourvoyeurs de masques, inspections dans les familles ne scolarisant pas les enfants à trois ans, référent "inclusion" sans formation, suivi des 2S2C...et demain ?
C'est la même chanson que pour nos directeur-trices, on charge la barque jusqu'au naufrage !
Il ne faut pas tomber dans le piège de la division : AESH, PE, CPC, directeur-trices, tous les personnels du premier degré sont traités à la même enseigne : alourdissement des tâches, dégradation des conditions de travail, mépris de la hiérarchie, salaires indignes.
Faire avancer les revendications de toutes et tous, même sous Covid-19, reste la ligne de conduite de Force Ouvrière.
Attribution des primes REP / REP+, amélioration indiciaire, versement de l'ISAE, création d'un troisième poste de CPC dans toutes les circonscriptions, prise en compte réelle des frais de déplacement : des revendications essentielles et légitimes !
Retrouvons-nous en RIS.
Les RIS du SNUDI-FO sont un lieu de discussion et d'information. Ne restez pas seul-e face aux protocoles, à la destruction des statuts. Les RIS se dérouleront dans le respect des règles sanitaires : port du masque, gel (fourni).
Toute RIS est décomptable des 108h, hors APC & conseils d'école, y compris les animations pédagogiques en présence ou à distance.
Des RIS sont organisées dans nombre de secteurs, dès à présent (Arras, Saint-Omer, Lens, Audruicq, Calais...), retrouvez les dates sur notre site.
La fiche à destination de l'IEN ici
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Plus que jamais, adhérer au SNUDI-FO, c'est défendre les intérêts matériels et moraux des personnels et leurs statuts.
Plus que jamais, c'est préserver l’École de la République et garantir son indépendance.