L'inFO du 62
Une rentrée au pain sec et à l'eau.
Les changements ministériels n'ont pas marqué une inflexion de la politique budgétaire à l'encontre des agents de la fonction publique.
Le rendez-vous salarial du 24 juillet illustre parfaitement les dégâts occasionnés par PPCR qui prévoit que les hausses de salaires soient conditionnées par « les indicateurs macro-économiques ».
FO se félicite d'avoir refusé ce protocole avec SUD et la CGT.
Pour le SNUDI-FO, la hausse de 183 euros (49 points d'indice) obtenue par les agents hospitaliers par la mobilisation et la grève constitue un point de départ pour la reconquête des 18% de pouvoir d'achat perdus en 20 ans (chiffres INSEE) par les PE. Le SNUDI-FO se bat pour que cette augmentation nous soit attribuée.
Notre communiqué de rentrée ici
Un protocole en trompe l’œil pour attaquer le statut.
Le protocole nouveau est arrivé. Indice de protection proche de zéro.
Parfaitement scandaleux, il ne prévoit aucune ASA pour les personnels vulnérables qui sont priés de retourner au travail, quel qu'en soit le risque.
Au mieux, ce seront des masques spécifiques dont on ne sait pas à ce jour s'ils sont conformes à la norme FFP2, seule reconnue comme protectrice par le Code du Travail.
Il indique des scenarii en cas de reprise de l'épidémie qui met en place le télétravail de manière arbitraire (sans consultation des représentants du personnel) et toujours aux frais des enseignants (connexion, matériel informatique).
Il met en place les 2S2C qui délèguent aux territoires et autres collectivités locales l'enseignement : une attaque contre notre statut et une énième tentative de territorialisation de l'école.
Il met en pièce la gratuité de l'École Républicaine en faisant porter le coût de l'achat des masques pour les élèves de plus de 11 ans par les familles.
Il permet au Ministère de fonctionner par des protocoles non-soumis au CHSCT : un protocole se discute, il ne s'impose pas. Sinon, ça s'appelle un diktat ! C'est la raison pour laquelle notre fédération se désolidarise de la mascarade en n'assistant pas au CHSCT ministériel, devenu chambre d'enregistrement des décisions unilatérales du ministre.
Ainsi le Ministère se dédouane d'effectuer un suivi des agents en situation de vulnérabilité et se soustrait aux obligations de l'employeur en matière de sécurité au travail. A quand une vraie médecine du travail pour les enseignant-es ?
Il fait reposer sur les enseignant-es le poids de l'application du protocole et il en profitera pour accuser les collègues en cas de « cluster » (foyer d'infection, en français) comme ce fut le cas dans une circonscription de notre département.
Le Ministère nous abandonne à ce protocole insuffisant et culpabilisant. Protocole sanitaire ou comment se laver ainsi les mains de ses responsabilités...Au gel hydroalcoolique, bien sûr.
En lieu et place d'un protocole, nous exigeons des masques FFP2 pour tous les personnels, des ASA pour les plus vulnérables d'entre-nous, la mise en place d'une véritable médecine du travail, et l'imputabilité au service en cas de contamination (accident du travail).
Nous ne participerons pas à la mascarade (lire ici notre communiqué)
A qui profite la crise ?
Le premier Ministre Castex, en ouvrant l'université d'été du MEDEF, a rappelé qu'il était aux ordres de cette organisation : (« au chevet des patrons », selon Le Point, « câlinant les patrons » selon Le Parisien, des titres qu'on ne peut soupçonner de sympathies syndicales).
Roux de Bézieux en a remis une couche sur la nécessité de « travailler plus pour gagner moins » pour résumer sa « pensée ». Le MEDEF insiste sur la nécessité de diminuer la masse salariale des agents de la Fonction Publique...voir notre premier point de ce mail.
Du côté Éducation Nationale, la crise sanitaire permet de détruire le bac, imposer le télétravail, imposer un statut aux directeur-trices sans contrepartie de décharge. Oubliées les décharges totales pour les directeur-trices à la tête d'écoles de plus de 8 classes pour faire avaler la couleuvre.
Au menu des directeur-trices : devenir délégataire de l'autorité du DASEN (le caporalisme fait recette) et appliquer les décisions du Conseil d’École dans lequel les enseignants ne sont pas majoritaires...fin de l'indépendance de l’École, de la liberté pédagogique déjà entravée par les évaluations nationales obligatoires et les petits guides multicolores.
Retrouvez notre 4 pages "direction" ici
Pour le SNUDI-FO, le statut du directeur doit être abandonné, les évaluations ne doivent avoir aucun caractère obligatoire, c'est en ce sens que nous sommes intervenus au Ministère.
Indépendance de l'Ecole non-soumise aux politiques locales, indépendance des directeur-trices, liberté pédagogique sont aux racines de nos statuts !
Une rentrée au pain sec et à l'eau.
Les changements ministériels n'ont pas marqué une inflexion de la politique budgétaire à l'encontre des agents de la fonction publique.
Le rendez-vous salarial du 24 juillet illustre parfaitement les dégâts occasionnés par PPCR qui prévoit que les hausses de salaires soient conditionnées par « les indicateurs macro-économiques ».
FO se félicite d'avoir refusé ce protocole avec SUD et la CGT.
Pour le SNUDI-FO, la hausse de 183 euros (49 points d'indice) obtenue par les agents hospitaliers par la mobilisation et la grève constitue un point de départ pour la reconquête des 18% de pouvoir d'achat perdus en 20 ans (chiffres INSEE) par les PE. Le SNUDI-FO se bat pour que cette augmentation nous soit attribuée.
Notre communiqué de rentrée ici
Un protocole en trompe l’œil pour attaquer le statut.
Le protocole nouveau est arrivé. Indice de protection proche de zéro.
Parfaitement scandaleux, il ne prévoit aucune ASA pour les personnels vulnérables qui sont priés de retourner au travail, quel qu'en soit le risque.
Au mieux, ce seront des masques spécifiques dont on ne sait pas à ce jour s'ils sont conformes à la norme FFP2, seule reconnue comme protectrice par le Code du Travail.
Il indique des scenarii en cas de reprise de l'épidémie qui met en place le télétravail de manière arbitraire (sans consultation des représentants du personnel) et toujours aux frais des enseignants (connexion, matériel informatique).
Il met en place les 2S2C qui délèguent aux territoires et autres collectivités locales l'enseignement : une attaque contre notre statut et une énième tentative de territorialisation de l'école.
Il met en pièce la gratuité de l'École Républicaine en faisant porter le coût de l'achat des masques pour les élèves de plus de 11 ans par les familles.
Il permet au Ministère de fonctionner par des protocoles non-soumis au CHSCT : un protocole se discute, il ne s'impose pas. Sinon, ça s'appelle un diktat ! C'est la raison pour laquelle notre fédération se désolidarise de la mascarade en n'assistant pas au CHSCT ministériel, devenu chambre d'enregistrement des décisions unilatérales du ministre.
Ainsi le Ministère se dédouane d'effectuer un suivi des agents en situation de vulnérabilité et se soustrait aux obligations de l'employeur en matière de sécurité au travail. A quand une vraie médecine du travail pour les enseignant-es ?
Il fait reposer sur les enseignant-es le poids de l'application du protocole et il en profitera pour accuser les collègues en cas de « cluster » (foyer d'infection, en français) comme ce fut le cas dans une circonscription de notre département.
Le Ministère nous abandonne à ce protocole insuffisant et culpabilisant. Protocole sanitaire ou comment se laver ainsi les mains de ses responsabilités...Au gel hydroalcoolique, bien sûr.
En lieu et place d'un protocole, nous exigeons des masques FFP2 pour tous les personnels, des ASA pour les plus vulnérables d'entre-nous, la mise en place d'une véritable médecine du travail, et l'imputabilité au service en cas de contamination (accident du travail).
Nous ne participerons pas à la mascarade (lire ici notre communiqué)
A qui profite la crise ?
Le premier Ministre Castex, en ouvrant l'université d'été du MEDEF, a rappelé qu'il était aux ordres de cette organisation : (« au chevet des patrons », selon Le Point, « câlinant les patrons » selon Le Parisien, des titres qu'on ne peut soupçonner de sympathies syndicales).
Roux de Bézieux en a remis une couche sur la nécessité de « travailler plus pour gagner moins » pour résumer sa « pensée ». Le MEDEF insiste sur la nécessité de diminuer la masse salariale des agents de la Fonction Publique...voir notre premier point de ce mail.
Du côté Éducation Nationale, la crise sanitaire permet de détruire le bac, imposer le télétravail, imposer un statut aux directeur-trices sans contrepartie de décharge. Oubliées les décharges totales pour les directeur-trices à la tête d'écoles de plus de 8 classes pour faire avaler la couleuvre.
Au menu des directeur-trices : devenir délégataire de l'autorité du DASEN (le caporalisme fait recette) et appliquer les décisions du Conseil d’École dans lequel les enseignants ne sont pas majoritaires...fin de l'indépendance de l’École, de la liberté pédagogique déjà entravée par les évaluations nationales obligatoires et les petits guides multicolores.
Retrouvez notre 4 pages "direction" ici
Pour le SNUDI-FO, le statut du directeur doit être abandonné, les évaluations ne doivent avoir aucun caractère obligatoire, c'est en ce sens que nous sommes intervenus au Ministère.
Indépendance de l'Ecole non-soumise aux politiques locales, indépendance des directeur-trices, liberté pédagogique sont aux racines de nos statuts !
LE SNUDI-FO, SON BUREAU, SES MILITANT-ES, VOUS SOUHAITENT D'EXCELLENTES VACANCES, AMPLEMENT MÉRITÉES.
Direction : une audience surréaliste avec le Ministre.
Complètement hors-sol. Le Ministre, confit dans une auto-satisfaction surréaliste de sa gestion de crise, refuse d'accéder aux revendications légitimes des directeur-trices et de leurs adjoint.
100 points d'indice, hausse des décharges, retour des aides administratives pérennes, tout ça est jeté aux oubliettes
Le SNUDI-FO continuera pendant les vacances à porter les revendications des personnels haut et fort.Accompagnement sauce PPCR et travail durant les vacances : pour le SNUDI, c'est toujours non.
Chaque nouvelle destruction des statuts, des missions, des obligations réglementaires de service s'appuie sur PPCR, le bulldozer.
Avec ses 3 rendez-vous de carrière qui font peser toute une carrière sur trois moments, avec ses revalorisations-pipeau, avec ses accès à la hors-classe et à la classe exceptionnelle purement subjectifs, avec ses appréciations à l'arrachée et ses accompagnements-flicage qui ne vous garantissent aucune amélioration de votre appréciation, PPCR se pose en bulldozer des statuts et des missions.
Le ministère en fait encore une « brillante » démonstration.
Les stupides et honteux badges "d'agilité pédagogique" pourront rentrer dans les évaluations PPCR. Comme si PPCR ne se suffisait pas en terme de bêtise et d'arbitraire.
Comme le dit Einstein : "deux choses sont infinies : l'Univers et la bêtise humaine. Mais pour l'Univers, je n'ai pas de certitude absolue". CQFD.
Les badges du mépris et PPCR...toujours plus loin dans le mépris, à lire ici.
Mouvement.
Vous pouvez exercer un recours dans les 2 mois suivant le mouvement ou simplement demander des éclaircissements sur votre affectation ou absence d'affectation.
Nous vous invitons à contacter le SNUDI-FO pour tout recours. Il y aura toujours un militant pour vous répondre.
Carte scolaire / CTSD.
Un CTSD se tiendra dès la rentrée. Nous pourrons encore y défendre votre école. Si vous craignez une fermeture (chute des effectifs) ou espérez une ouverture, renvoyez-nous la fiche en lien.
La fiche à remplir, enregistrer et envoyer ici
Notre déclaration au dernier CTSD de l'année scolaire ici
Plus que jamais, adhérer au SNUDI-FO, c'est défendre les statuts et missions.
Déjà des RIS programmées en présentiel ! Ne les loupez pas !
LE SNUDI-FO, SON BUREAU, SES MILITANT-ES, VOUS SOUHAITENT D'EXCELLENTES VACANCES, AMPLEMENT MÉRITÉES.
Direction : une audience surréaliste avec le Ministre.
Complètement hors-sol. Le Ministre, confit dans une auto-satisfaction surréaliste de sa gestion de crise, refuse d'accéder aux revendications légitimes des directeur-trices et de leurs adjoint.
100 points d'indice, hausse des décharges, retour des aides administratives pérennes, tout ça est jeté aux oubliettes
Le SNUDI-FO continuera pendant les vacances à porter les revendications des personnels haut et fort.Accompagnement sauce PPCR et travail durant les vacances : pour le SNUDI, c'est toujours non.
Chaque nouvelle destruction des statuts, des missions, des obligations réglementaires de service s'appuie sur PPCR, le bulldozer.
Avec ses 3 rendez-vous de carrière qui font peser toute une carrière sur trois moments, avec ses revalorisations-pipeau, avec ses accès à la hors-classe et à la classe exceptionnelle purement subjectifs, avec ses appréciations à l'arrachée et ses accompagnements-flicage qui ne vous garantissent aucune amélioration de votre appréciation, PPCR se pose en bulldozer des statuts et des missions.
Le ministère en fait encore une « brillante » démonstration.
Les stupides et honteux badges "d'agilité pédagogique" pourront rentrer dans les évaluations PPCR. Comme si PPCR ne se suffisait pas en terme de bêtise et d'arbitraire.
Comme le dit Einstein : "deux choses sont infinies : l'Univers et la bêtise humaine. Mais pour l'Univers, je n'ai pas de certitude absolue". CQFD.
Les badges du mépris et PPCR...toujours plus loin dans le mépris, à lire ici.
Mouvement.
Vous pouvez exercer un recours dans les 2 mois suivant le mouvement ou simplement demander des éclaircissements sur votre affectation ou absence d'affectation.
Nous vous invitons à contacter le SNUDI-FO pour tout recours. Il y aura toujours un militant pour vous répondre.
Carte scolaire / CTSD.
Un CTSD se tiendra dès la rentrée. Nous pourrons encore y défendre votre école. Si vous craignez une fermeture (chute des effectifs) ou espérez une ouverture, renvoyez-nous la fiche en lien.
La fiche à remplir, enregistrer et envoyer ici
Notre déclaration au dernier CTSD de l'année scolaire ici
Plus que jamais, adhérer au SNUDI-FO, c'est défendre les statuts et missions.
Déjà des RIS programmées en présentiel ! Ne les loupez pas !
Non à la privatisation de la difficulté scolaire.
Que la difficulté scolaire soit celle avec laquelle nous travaillons tous quotidiennement ou celle consécutive à la gestion catastrophique crise du Covid-19, le SNUDI-FO revendique que le secteur privé et marchand soit tenu à l'écart de son traitement.
L’immixtion d'associations, de lobbies qui tentent d'imposer leur loi pédagogique est intolérable.
Ce ne sont pas des vacances apprenantes sous l'égide de « think tanks » pseudo-pédagogistes qu'il faut à nos élèves.
Il faut leur garantir
-
une politique publique ambitieuse qui leur permettra de bénéficier de vraies vacances, avec des activités culturelles et sportives de qualité ;
-
des enseignants en nombre suffisant pour pouvoir travailler en petits groupes tout au long de l'année et non les salarié-es sans statut et non-formés des dispositifs 2S2C.
Que ce soit « Agir pour l'École » ou un autre lobby, on n'en veut pas dans nos écoles. Respect de la liberté pédagogique !
Ce lobby entend imposer sa méthode de lecture. Ceux qui ne réussissent pas selon ces méthodes ne sont pas des « handicapés » (citation), n'en déplaise à ses défenseurs.
Ce lobby est hébergé par le "think tank" Institut Montaigne. Lequel « think tank » est résolument opposé au Service Public et à ses fonctionnaires. Il demande la destruction des statuts et l'accroissement des horaires de tous les fonctionnaires. Il demande la réforme des retraites, la destruction du Code du Travail, et tente de faire rentrer ces idées extrémistes au sein de l'École de la République. Il demande également la diminution des allocations familiales et des prestations de la Sécurité Sociale...Assurément de grands humanistes...L'Institut Montaigne est lui-même financé par des entreprises dont le nom n'évoque guère la philanthropie : Total, LVMH, Carrefour, Vinci avec à sa tête des anciens dirigeants d'AXA ou de la "Bank of America".Pour Force Ouvrière, ce dont l'école a besoin, ce sont des postes, des moyens et pas des missionnés du patronat sponsorisés par des entreprises qui s'achètent une éthique et imposent des méthodes !
On nous humilie !
Des badges... Non vous ne rêvez pas. Le Ministère déploie des trésors de d'inventivité pour nous remercier. Nos collègues hospitaliers ont eu des médailles. Nous aurons des badges d'agilité pédagogique (ne riez pas, c'est nouveau, ça vient de sortir).
Jusqu'où accepterons-nous d'être humilié-es devant la Nation entière ?
C'est un Ministère à la dérive, sans idée mais figé dans une idéologie de casse du service public, de diminution des postes et des salaires qui préside à notre destin. Immixtion du privé et distribution de bons-points (et ce n'est pas une image...)
Dégel du point d'indice pour tous les fonctionnaires !
Respect des statuts et des missions !
ou dans notre fil d'actu en page d'accueil
Plus que jamais, adhérer au SNUDI-FO, c'est défendre les intérêts matériels et moraux des personnels.
Plus que jamais, c'est sauver l’École de la République contre les intérêts mercantiles et garantir son indépendance.
Non à la privatisation de la difficulté scolaire.
Que la difficulté scolaire soit celle avec laquelle nous travaillons tous quotidiennement ou celle consécutive à la gestion catastrophique crise du Covid-19, le SNUDI-FO revendique que le secteur privé et marchand soit tenu à l'écart de son traitement.
L’immixtion d'associations, de lobbies qui tentent d'imposer leur loi pédagogique est intolérable.
Ce ne sont pas des vacances apprenantes sous l'égide de « think tanks » pseudo-pédagogistes qu'il faut à nos élèves.
Il faut leur garantir
-
une politique publique ambitieuse qui leur permettra de bénéficier de vraies vacances, avec des activités culturelles et sportives de qualité ;
-
des enseignants en nombre suffisant pour pouvoir travailler en petits groupes tout au long de l'année et non les salarié-es sans statut et non-formés des dispositifs 2S2C.
Que ce soit « Agir pour l'École » ou un autre lobby, on n'en veut pas dans nos écoles. Respect de la liberté pédagogique !
Ce lobby entend imposer sa méthode de lecture. Ceux qui ne réussissent pas selon ces méthodes ne sont pas des « handicapés » (citation), n'en déplaise à ses défenseurs.
Ce lobby est hébergé par le "think tank" Institut Montaigne. Lequel « think tank » est résolument opposé au Service Public et à ses fonctionnaires. Il demande la destruction des statuts et l'accroissement des horaires de tous les fonctionnaires. Il demande la réforme des retraites, la destruction du Code du Travail, et tente de faire rentrer ces idées extrémistes au sein de l'École de la République. Il demande également la diminution des allocations familiales et des prestations de la Sécurité Sociale...Assurément de grands humanistes...L'Institut Montaigne est lui-même financé par des entreprises dont le nom n'évoque guère la philanthropie : Total, LVMH, Carrefour, Vinci avec à sa tête des anciens dirigeants d'AXA ou de la "Bank of America".Pour Force Ouvrière, ce dont l'école a besoin, ce sont des postes, des moyens et pas des missionnés du patronat sponsorisés par des entreprises qui s'achètent une éthique et imposent des méthodes !
On nous humilie !
Des badges... Non vous ne rêvez pas. Le Ministère déploie des trésors de d'inventivité pour nous remercier. Nos collègues hospitaliers ont eu des médailles. Nous aurons des badges d'agilité pédagogique (ne riez pas, c'est nouveau, ça vient de sortir).
Jusqu'où accepterons-nous d'être humilié-es devant la Nation entière ?
C'est un Ministère à la dérive, sans idée mais figé dans une idéologie de casse du service public, de diminution des postes et des salaires qui préside à notre destin. Immixtion du privé et distribution de bons-points (et ce n'est pas une image...)
Dégel du point d'indice pour tous les fonctionnaires !
Respect des statuts et des missions !
ou dans notre fil d'actu en page d'accueil
Plus que jamais, adhérer au SNUDI-FO, c'est défendre les intérêts matériels et moraux des personnels.
Plus que jamais, c'est sauver l’École de la République contre les intérêts mercantiles et garantir son indépendance.
Mouvement 2020 : toujours plus loin dans le mépris des personnels.
Les syndicats ont été mis hors-jeu en supprimant les CAPD. C'est une disposition consécutive à la « loi de transformation de la Fonction Publique ». Déjà PPCR prévoyait la simplification des instances (CAPD, CTSD, CHSCT) dans son axe 3. Accepter une simplification, c'était entériner l'affaiblissement de la représentation syndicale de défense des personnels.
Aujourd'hui, le Ministère prévoit que les erreurs du mouvement ne seront pas corrigées, et que peut-être on accordera une bonification exceptionnelle aux personnels nommés par erreur.
Les recours ? Il faut les faire dans les 2 mois. C'est à dire durant les vacances et vous serez convoqués durant les vacances ou votre délégué syndical le sera...une aberration qui permet de nommer n'importe qui, n'importe où.
Le mouvement devient opaque, inéquitable, arbitraire.
Nous vous invitons à contester systématiquement votre affectation si elle ne vous convient pas de manière à obtenir des explications de la part de l'administration. Contactez-nous !
Le SNUDI-FO, qui a toujours été opposé à une quelconque simplification, fusion, suppression des instances représentatives du personnel (c'est vous que nous représentons) vous propose de vous accompagner dans cette démarche.
La honte du mouvement : communiqué ici
.
Mobilisation du 24 juin : PE, AESH, toutes et tous concerné-es !
Ce sont une centaine de collègues de l’Éducation Nationale (PE, Professeurs des Lycées et Collèges, Administratifs, AESH...) qui se sont rassemblés devant le Rectorat pour défendre les statuts et les missions, dénoncer les protocoles insuffisants et la mise en danger des personnels.
Le délégué FO a rappelé nos exigences en matière de sécurité sanitaire, de dépistage systématique, de fourniture de masques FFP2. Il a rappelé que nous contestons les dispositifs 2S2C qui vont substituer aux enseignants des personnels précaires et la marche forcée vers la numérisation des enseignements.
D'autre part, il a rappelé que le prof-bashing, relayé par le Ministre, doit cesser sans délai.
Dans le cadre de la crise sanitaire, le SNUDI-FO demande notamment le réemploi de tous les collègues AESH et le maintien des accompagnements individuels.
Voir la mobilisation en page d'accueil et les revendications AESH
Direction : qui peut accepter ça ?
Un projet de loi qui tue l'école de la République et ses directeur-trices !
-
le-la directeur-trice chargé-e d'appliquer les décisions du conseil d'école où les enseignant-es sont minoritaires !
-
le-la directeur-trice chargé-e d'appliquer les directives du Ministre en mode « robot ». Réfléchir, ce serait commencer à désobéir...
Pas de décharge à la hausse, pas d'indemnités à la hausse. Qui pourrait cautionner une telle dégradation du métier ?
La dérive autoritariste devient inévitable quand l'incompétence et l'incurie du Ministre sont étalées au grand jour. La fronde d'une partie des hauts-fonctionnaires de notre institution, les mobilisations du personnels fragilisent un Ministre contesté jusque dans ses propres rangs. Nous n'en ferons pas les frais !
La loi Rilhac sur la direction : analyse ici
(Re)lire le communiqué direction ici
CPC : charge de travail, salaire indécent, la coupe est pleine.
Non ,les CPC ne sont pas des « priviliégié-es ». Le saviez-vous, ils-elles sont privé-es d'ISAE, de prime REP ou REP+, et les maigres bonification indiciaire et indemnité dont ils-elles profitent ne compensent pas la perte de l'ISAE. Si on y ajoute les indemnités kilométriques non payées, à échelon égal, ils-elles sont souvent les plus mal payé-es des PE dans une circo !
Le SNUDI-FO réclame ces primes pour les CPC. Il demande une indemnisation kilométrique réelle ainsi que le dégel du point d'indice, comme pour chaque PE.
Aujourd'hui, les nouveaux plans ministériels ajoutent encore à leurs missions dont certaines ne sont pas statutaires.
PE en classe ou CPC, pour FO, les statuts doivent être respectés pour toutes les catégories de personnel. Le SNUDI-FO se tient à l'entière disposition des CPC pour accompagner les collègues CPC pour porter leurs revendications dans le cadre intersyndical qu'ils ont choisi.
Adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !
Contactez-nous pour une adhésion en cours d'année
Mouvement 2020 : toujours plus loin dans le mépris des personnels.
Les syndicats ont été mis hors-jeu en supprimant les CAPD. C'est une disposition consécutive à la « loi de transformation de la Fonction Publique ». Déjà PPCR prévoyait la simplification des instances (CAPD, CTSD, CHSCT) dans son axe 3. Accepter une simplification, c'était entériner l'affaiblissement de la représentation syndicale de défense des personnels.
Aujourd'hui, le Ministère prévoit que les erreurs du mouvement ne seront pas corrigées, et que peut-être on accordera une bonification exceptionnelle aux personnels nommés par erreur.
Les recours ? Il faut les faire dans les 2 mois. C'est à dire durant les vacances et vous serez convoqués durant les vacances ou votre délégué syndical le sera...une aberration qui permet de nommer n'importe qui, n'importe où.
Le mouvement devient opaque, inéquitable, arbitraire.
Nous vous invitons à contester systématiquement votre affectation si elle ne vous convient pas de manière à obtenir des explications de la part de l'administration. Contactez-nous !
Le SNUDI-FO, qui a toujours été opposé à une quelconque simplification, fusion, suppression des instances représentatives du personnel (c'est vous que nous représentons) vous propose de vous accompagner dans cette démarche.
La honte du mouvement : communiqué ici
.
Mobilisation du 24 juin : PE, AESH, toutes et tous concerné-es !
Ce sont une centaine de collègues de l’Éducation Nationale (PE, Professeurs des Lycées et Collèges, Administratifs, AESH...) qui se sont rassemblés devant le Rectorat pour défendre les statuts et les missions, dénoncer les protocoles insuffisants et la mise en danger des personnels.
Le délégué FO a rappelé nos exigences en matière de sécurité sanitaire, de dépistage systématique, de fourniture de masques FFP2. Il a rappelé que nous contestons les dispositifs 2S2C qui vont substituer aux enseignants des personnels précaires et la marche forcée vers la numérisation des enseignements.
D'autre part, il a rappelé que le prof-bashing, relayé par le Ministre, doit cesser sans délai.
Dans le cadre de la crise sanitaire, le SNUDI-FO demande notamment le réemploi de tous les collègues AESH et le maintien des accompagnements individuels.
Voir la mobilisation en page d'accueil et les revendications AESH
Direction : qui peut accepter ça ?
Un projet de loi qui tue l'école de la République et ses directeur-trices !
-
le-la directeur-trice chargé-e d'appliquer les décisions du conseil d'école où les enseignant-es sont minoritaires !
-
le-la directeur-trice chargé-e d'appliquer les directives du Ministre en mode « robot ». Réfléchir, ce serait commencer à désobéir...
Pas de décharge à la hausse, pas d'indemnités à la hausse. Qui pourrait cautionner une telle dégradation du métier ?
La dérive autoritariste devient inévitable quand l'incompétence et l'incurie du Ministre sont étalées au grand jour. La fronde d'une partie des hauts-fonctionnaires de notre institution, les mobilisations du personnels fragilisent un Ministre contesté jusque dans ses propres rangs. Nous n'en ferons pas les frais !
La loi Rilhac sur la direction : analyse ici
(Re)lire le communiqué direction ici
CPC : charge de travail, salaire indécent, la coupe est pleine.
Non ,les CPC ne sont pas des « priviliégié-es ». Le saviez-vous, ils-elles sont privé-es d'ISAE, de prime REP ou REP+, et les maigres bonification indiciaire et indemnité dont ils-elles profitent ne compensent pas la perte de l'ISAE. Si on y ajoute les indemnités kilométriques non payées, à échelon égal, ils-elles sont souvent les plus mal payé-es des PE dans une circo !
Le SNUDI-FO réclame ces primes pour les CPC. Il demande une indemnisation kilométrique réelle ainsi que le dégel du point d'indice, comme pour chaque PE.
Aujourd'hui, les nouveaux plans ministériels ajoutent encore à leurs missions dont certaines ne sont pas statutaires.
PE en classe ou CPC, pour FO, les statuts doivent être respectés pour toutes les catégories de personnel. Le SNUDI-FO se tient à l'entière disposition des CPC pour accompagner les collègues CPC pour porter leurs revendications dans le cadre intersyndical qu'ils ont choisi.
Adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !
Contactez-nous pour une adhésion en cours d'année
Des conditions de reprise inacceptables.
Se contredisant une énième fois, le Ministère publie un nouveau texte sur la reprise. Alors qu'il avait garanti que les dispositions concernant les ASA s'étendaient jusqu'à la fin de l'état d'urgence sanitaire (10 juillet), il décide de renvoyer un maximum de collègues en classe au mépris de leur santé et de celle de leurs proches.
3 cas sont identifiés dans le nouveau texte :
-
vous êtes vous-même « personne à risque ».
Vous pouvez rester en télétravail avec production d'un certificat médical. Il faut prévenir l'IEN qui vous accordera une ASA. Si cette démarche a déjà été accomplie, pas de problème. La liste est dans le document "Fiche 3", en lien, si besoin.
-
Vous vivez avec un adulte « personne à risque ».
Retour au travail. Aucune ASA ne sera accordée pour ce motif.
-
Vous vivez avec un enfant « personne à risque » (écolier, collégien).
Si votre enfant ne peut être accueilli à l'école ou au collège du fait de son état de santé, une ASA vous sera accordée pour garde d'enfant. Il faudra produire un certificat médical si cette démarche n'a pas déjà été faite.
Les certificats médicaux, à ce jour, n'ont pas besoin de porter une date de fin.
Sont exclues les écoles qui font l'objet d'une mesure de restriction décidée par le Préfet.
Nos revendications demeurent.
Pour le SNUDI-FO, cette reprise est inacceptable. Dans notre département, des écoles ferment : des collègues et des enfants sont touchés par la Covid-19. Certains collègues sont même accusés par leur IEN de manquer de civisme et d'exemplarité, comme s'ils avaient propagé le virus sciemment ou par légèreté. Le SNUDI-FO 62 est intervenu auprès du DASEN pour rappeler que le seul responsable de l'incurie sanitaire est le Ministre et non nos collègues.
On le voit, le protocole sanitaire n'a pas pour but de protéger les personnels mais de détruire l'école républicaine en mettant en place un statut de directeur-trice soumis aux communes, la numérisation des apprentissages et le pistage du travail, la mise en place des 2S2C substituant aux enseignant-es des « animateurs ».
Pour le SNUDI-FO, il faut non un protocole destructeur de nos missions et statuts mais de véritables garanties sanitaires ! Dépistage de tous les enseignant-es et masques FFP2, les seuls qui protègent.
Le SNUDI-FO, sur ces revendications, a appelé les autres organisations syndicales à se réunir ensemble devant les DSDEN et/ou les Rectorat dès le 24 juin après-midi pour faire entendre nos revendications.
Notre communiqué "rassemblements du 24 juin" ici
Les mobilisations reprennent : nos collègues soignant-es étaient massivement présent-es à Lille ce mardi. Ne laissons pas ce gouvernement anéantir les statuts, les missions, l’École de la République et nos santés en nous renvoyant en classe sans précaution tout en continuant à détruire l'hôpital.
Parallèlement, le gouvernement organise une campagne de dénigrement systématique des enseignant-es avec ses relais médiatiques.
Il criminalise même l'action syndicale de défense des personnels !
Nous devons nous défendre !
Se syndiquer
Adhérer à un syndicat indépendant qui défend les statuts, les missions, les obligations réglementaires de service, notre santé n'a jamais été aussi important.Des conditions de reprise inacceptables.
Se contredisant une énième fois, le Ministère publie un nouveau texte sur la reprise. Alors qu'il avait garanti que les dispositions concernant les ASA s'étendaient jusqu'à la fin de l'état d'urgence sanitaire (10 juillet), il décide de renvoyer un maximum de collègues en classe au mépris de leur santé et de celle de leurs proches.
3 cas sont identifiés dans le nouveau texte :
-
vous êtes vous-même « personne à risque ».
Vous pouvez rester en télétravail avec production d'un certificat médical. Il faut prévenir l'IEN qui vous accordera une ASA. Si cette démarche a déjà été accomplie, pas de problème. La liste est dans le document "Fiche 3", en lien, si besoin.
-
Vous vivez avec un adulte « personne à risque ».
Retour au travail. Aucune ASA ne sera accordée pour ce motif.
-
Vous vivez avec un enfant « personne à risque » (écolier, collégien).
Si votre enfant ne peut être accueilli à l'école ou au collège du fait de son état de santé, une ASA vous sera accordée pour garde d'enfant. Il faudra produire un certificat médical si cette démarche n'a pas déjà été faite.
Les certificats médicaux, à ce jour, n'ont pas besoin de porter une date de fin.
Sont exclues les écoles qui font l'objet d'une mesure de restriction décidée par le Préfet.
Nos revendications demeurent.
Pour le SNUDI-FO, cette reprise est inacceptable. Dans notre département, des écoles ferment : des collègues et des enfants sont touchés par la Covid-19. Certains collègues sont même accusés par leur IEN de manquer de civisme et d'exemplarité, comme s'ils avaient propagé le virus sciemment ou par légèreté. Le SNUDI-FO 62 est intervenu auprès du DASEN pour rappeler que le seul responsable de l'incurie sanitaire est le Ministre et non nos collègues.
On le voit, le protocole sanitaire n'a pas pour but de protéger les personnels mais de détruire l'école républicaine en mettant en place un statut de directeur-trice soumis aux communes, la numérisation des apprentissages et le pistage du travail, la mise en place des 2S2C substituant aux enseignant-es des « animateurs ».
Pour le SNUDI-FO, il faut non un protocole destructeur de nos missions et statuts mais de véritables garanties sanitaires ! Dépistage de tous les enseignant-es et masques FFP2, les seuls qui protègent.
Le SNUDI-FO, sur ces revendications, a appelé les autres organisations syndicales à se réunir ensemble devant les DSDEN et/ou les Rectorat dès le 24 juin après-midi pour faire entendre nos revendications.
Notre communiqué "rassemblements du 24 juin" ici
Les mobilisations reprennent : nos collègues soignant-es étaient massivement présent-es à Lille ce mardi. Ne laissons pas ce gouvernement anéantir les statuts, les missions, l’École de la République et nos santés en nous renvoyant en classe sans précaution tout en continuant à détruire l'hôpital.
Parallèlement, le gouvernement organise une campagne de dénigrement systématique des enseignant-es avec ses relais médiatiques.
Il criminalise même l'action syndicale de défense des personnels !
Nous devons nous défendre !
Se syndiquer
Adhérer à un syndicat indépendant qui défend les statuts, les missions, les obligations réglementaires de service, notre santé n'a jamais été aussi important.ASA : le point.
Le DASEN l'a confirmé lors de la CAPD « Hors-Classe », les dispositions pour garde d'enfants sont prolongées à l'identique à ce jour et ce jusqu'au 22 juin, date à laquelle le gouvernement devrait faire de nouvelles annonces. En cas de problème, contactez votre syndicat.
Mouvement.
De nombreux-ses collègues nous ont contactés pour faire part d'erreurs de barème dans leur fiche. Vérifiez votre barème si vous participez. Téléchargez le PDF et retournez-le.
Attention : contrairement aux années précédentes, tous les participant-es doivent renvoyer l'accusé de réception avec leur barème, que celui-ci soit correct ou erroné, avant le 12 juin aux services du mouvement, à l'adresse ce.i62dp-a2@ac-lille.fr à partir de leur adresse professionnelle.
La hors-classe : les dégâts de PPCR chez les ex-instituteurs-trices continuent.
En 2018, toute une « génération » de collègues était évaluée au débotté, sur dossier, livrée en pâture à l'avis subjectif de l'IEN avec des abus inqualifiables. Au rang de ces évalués, nombre d'ex-instituteurs et institutrices.
-
Ces collègues n'ont jamais pu faire valoir de recours car les avis étaient contingentés 20% « excellent », 40% « très satisfaisant », 40% « satisfaisant ». Faire monter un collègue d'une catégorie signifiait en rétrograder un autre pour respecter les taux. C'était l'argument qui nous était opposé quand nous avons demandé le réexamen des appréciations.
-
Certain-es, avec 20 de note et au 11ème échelon, n'obtenant que l'avis satisfaisant ont perdu un voire deux ans de promotion.
-
L'AGS ne concerne que le temps effectué dans le corps des PE. Le SNUDI a de suite revendiqué la prise en compte des années d'instituteur-trice, suivi par les autres organisations syndicales. Un point qui fait l'unanimité des 4 organisations siégeant en CAPD tant l'injustice est flagrante.
En 2019 les avis n'étaient plus contingentés et les taux étaient de 30%, 46 et 22%. Les recours étaient facilités.
En 2020, les taux sont de 33%, 56% et 10%.
Non seulement les ex-instituteurs et institutrices ont été contingentés, mais de surcroît ils sont susceptibles d'être « doublés » par un nombre de plus en plus important de collègues (+13% d'avis d'excellent en 2 ans).
Notre hiérarchie nous explique aujourd'hui qu'un avis « satisfaisant » en 2020 est une alerte pour un collègue sur « sa manière de travailler » (10% de collègues en 2020). Or, en 2018, un avis satisfaisant reconnaissait un bon travail. C'est une dépréciation des avis rendus en 2018.
Un IEN qui a face à lui un-e PE évalué-e « satisfaisant » doit savoir en quelle année il-elle a été évalué-e. En 2018, c'était un professionnel à la valeur reconnue, en 2020 un collègue en difficulté.
Les avis doivent être révisables à la hausse, et non gravés dans le marbre.
Pour le SNUDI-FO, il faut en finir avec PPCR ! Il s'agit avec ce protocole d'empêcher les ex-instituteurs et institutrices de partir en retraite plus tôt en minimisant leur carrière et en ayant contingenté les avis rendus en 2018.
Rappelons-le, ces collègues ont souvent commencé leur carrière à 20 ou 21 ans.
PPCR permet aussi des dispositifs d'accompagnement pour des collègues ou des écoles ciblés mais qui ne permettent aucune progression. PPCR, c'est l'inspection permanente mais sans possibilité de progrès !
Carrières, promotions, salaires, tout sur PPCR ici
Vote lors de la CAPD hors-classe
Pour : SE Abstention : SNU-iPP et SNE Contre : SNUDI-FO
Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui s'appuie sur une évaluation sans recours, figée et appuyée sur une grille où les compétences professionnelles sont reléguées au deuxième plan face à des compétences "relationnelles" avec les mairies, les parents, les associations.
PPCR c'est l'école des territoires contre l'Ecole de la République !
Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui acte le gel du point d'indice qui serait relevé "en fonction des indicateurs macro-économiques". La crise sanitaire nous a donné raison : ces indicateurs ne sont jamais au vert pour les salariés.
Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui portait les prémices de la fin des CAPD (et donc de la défense collective de nos droits) en imposant "la simplification des instances représentatives du personnel".
La déclaration du SNUDI-FO ici
Quelques chiffres : 465 collègues sont promus cette année, contre 388 à la même époque l'année passée. Un ajustement aura lieu en septembre en fonction des départs en retraites, changements de corps des promus. Cette hausse est due à l'alignement 1er/2nd degré du taux de promus, revendication du SNUDI-FO. Depuis la création de la Hors-Classe (sous Jospin, ça ne date pas d'hier), les PE étaient lésés.
La première promue a un barème de 210, la dernière 150 avec une ancienneté de 12 ans dans le corps des PE.
La Hors-Classe : comment ça marche ? Le lien ici.
Plus que jamais, adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !
Réadhérez et faites adhérer au SNUDI !
ASA : le point.
Le DASEN l'a confirmé lors de la CAPD « Hors-Classe », les dispositions pour garde d'enfants sont prolongées à l'identique à ce jour et ce jusqu'au 22 juin, date à laquelle le gouvernement devrait faire de nouvelles annonces. En cas de problème, contactez votre syndicat.
Mouvement.
De nombreux-ses collègues nous ont contactés pour faire part d'erreurs de barème dans leur fiche. Vérifiez votre barème si vous participez. Téléchargez le PDF et retournez-le.
Attention : contrairement aux années précédentes, tous les participant-es doivent renvoyer l'accusé de réception avec leur barème, que celui-ci soit correct ou erroné, avant le 12 juin aux services du mouvement, à l'adresse ce.i62dp-a2@ac-lille.fr à partir de leur adresse professionnelle.
La hors-classe : les dégâts de PPCR chez les ex-instituteurs-trices continuent.
En 2018, toute une « génération » de collègues était évaluée au débotté, sur dossier, livrée en pâture à l'avis subjectif de l'IEN avec des abus inqualifiables. Au rang de ces évalués, nombre d'ex-instituteurs et institutrices.
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Ces collègues n'ont jamais pu faire valoir de recours car les avis étaient contingentés 20% « excellent », 40% « très satisfaisant », 40% « satisfaisant ». Faire monter un collègue d'une catégorie signifiait en rétrograder un autre pour respecter les taux. C'était l'argument qui nous était opposé quand nous avons demandé le réexamen des appréciations.
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Certain-es, avec 20 de note et au 11ème échelon, n'obtenant que l'avis satisfaisant ont perdu un voire deux ans de promotion.
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L'AGS ne concerne que le temps effectué dans le corps des PE. Le SNUDI a de suite revendiqué la prise en compte des années d'instituteur-trice, suivi par les autres organisations syndicales. Un point qui fait l'unanimité des 4 organisations siégeant en CAPD tant l'injustice est flagrante.
En 2019 les avis n'étaient plus contingentés et les taux étaient de 30%, 46 et 22%. Les recours étaient facilités.
En 2020, les taux sont de 33%, 56% et 10%.
Non seulement les ex-instituteurs et institutrices ont été contingentés, mais de surcroît ils sont susceptibles d'être « doublés » par un nombre de plus en plus important de collègues (+13% d'avis d'excellent en 2 ans).
Notre hiérarchie nous explique aujourd'hui qu'un avis « satisfaisant » en 2020 est une alerte pour un collègue sur « sa manière de travailler » (10% de collègues en 2020). Or, en 2018, un avis satisfaisant reconnaissait un bon travail. C'est une dépréciation des avis rendus en 2018.
Un IEN qui a face à lui un-e PE évalué-e « satisfaisant » doit savoir en quelle année il-elle a été évalué-e. En 2018, c'était un professionnel à la valeur reconnue, en 2020 un collègue en difficulté.
Les avis doivent être révisables à la hausse, et non gravés dans le marbre.
Pour le SNUDI-FO, il faut en finir avec PPCR ! Il s'agit avec ce protocole d'empêcher les ex-instituteurs et institutrices de partir en retraite plus tôt en minimisant leur carrière et en ayant contingenté les avis rendus en 2018.
Rappelons-le, ces collègues ont souvent commencé leur carrière à 20 ou 21 ans.
PPCR permet aussi des dispositifs d'accompagnement pour des collègues ou des écoles ciblés mais qui ne permettent aucune progression. PPCR, c'est l'inspection permanente mais sans possibilité de progrès !
Carrières, promotions, salaires, tout sur PPCR ici
Vote lors de la CAPD hors-classe
Pour : SE Abstention : SNU-iPP et SNE Contre : SNUDI-FO
Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui s'appuie sur une évaluation sans recours, figée et appuyée sur une grille où les compétences professionnelles sont reléguées au deuxième plan face à des compétences "relationnelles" avec les mairies, les parents, les associations.
PPCR c'est l'école des territoires contre l'Ecole de la République !
Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui acte le gel du point d'indice qui serait relevé "en fonction des indicateurs macro-économiques". La crise sanitaire nous a donné raison : ces indicateurs ne sont jamais au vert pour les salariés.
Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui portait les prémices de la fin des CAPD (et donc de la défense collective de nos droits) en imposant "la simplification des instances représentatives du personnel".
La déclaration du SNUDI-FO ici
Quelques chiffres : 465 collègues sont promus cette année, contre 388 à la même époque l'année passée. Un ajustement aura lieu en septembre en fonction des départs en retraites, changements de corps des promus. Cette hausse est due à l'alignement 1er/2nd degré du taux de promus, revendication du SNUDI-FO. Depuis la création de la Hors-Classe (sous Jospin, ça ne date pas d'hier), les PE étaient lésés.
La première promue a un barème de 210, la dernière 150 avec une ancienneté de 12 ans dans le corps des PE.
La Hors-Classe : comment ça marche ? Le lien ici.
Plus que jamais, adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !
Réadhérez et faites adhérer au SNUDI !
ASA : le point.
Le DASEN l'a confirmé lors de la CAPD « Hors-Classe », les dispositions pour garde d'enfants sont prolongées à l'identique à ce jour et ce jusqu'au 22 juin, date à laquelle le gouvernement devrait faire de nouvelles annonces. En cas de problème, contactez votre syndicat.
Mouvement.
De nombreux-ses collègues nous ont contactés pour faire part d'erreurs de barème dans leur fiche. Vérifiez votre barème si vous participez. Téléchargez le PDF et retournez-le.
Attention : contrairement aux années précédentes, tous les participant-es doivent renvoyer l'accusé de réception avec leur barème, que celui-ci soit correct ou erroné, avant le 12 juin aux services du mouvement, à l'adresse ce.i62dp-a2@ac-lille.fr à partir de leur adresse professionnelle.
La hors-classe : les dégâts de PPCR chez les ex-instituteurs-trices continuent.
En 2018, toute une « génération » de collègues était évaluée au débotté, sur dossier, livrée en pâture à l'avis subjectif de l'IEN avec des abus inqualifiables. Au rang de ces évalués, nombre d'ex-instituteurs et institutrices.
-
Ces collègues n'ont jamais pu faire valoir de recours car les avis étaient contingentés 20% « excellent », 40% « très satisfaisant », 40% « satisfaisant ». Faire monter un collègue d'une catégorie signifiait en rétrograder un autre pour respecter les taux. C'était l'argument qui nous était opposé quand nous avons demandé le réexamen des appréciations.
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Certain-es, avec 20 de note et au 11ème échelon, n'obtenant que l'avis satisfaisant ont perdu un voire deux ans de promotion.
-
L'AGS ne concerne que le temps effectué dans le corps des PE. Le SNUDI a de suite revendiqué la prise en compte des années d'instituteur-trice, suivi par les autres organisations syndicales. Un point qui fait l'unanimité des 4 organisations siégeant en CAPD tant l'injustice est flagrante.
En 2019 les avis n'étaient plus contingentés et les taux étaient de 30%, 46 et 22%. Les recours étaient facilités.
En 2020, les taux sont de 33%, 56% et 10%.
Non seulement les ex-instituteurs et institutrices ont été contingentés, mais de surcroît ils sont susceptibles d'être « doublés » par un nombre de plus en plus important de collègues (+13% d'avis d'excellent en 2 ans).
Notre hiérarchie nous explique aujourd'hui qu'un avis « satisfaisant » en 2020 est une alerte pour un collègue sur « sa manière de travailler » (10% de collègues en 2020). Or, en 2018, un avis satisfaisant reconnaissait un bon travail. C'est une dépréciation des avis rendus en 2018.
Un IEN qui a face à lui un-e PE évalué-e « satisfaisant » doit savoir en quelle année il-elle a été évalué-e. En 2018, c'était un professionnel à la valeur reconnue, en 2020 un collègue en difficulté.
Les avis doivent être révisables à la hausse, et non gravés dans le marbre.
Pour le SNUDI-FO, il faut en finir avec PPCR ! Il s'agit avec ce protocole d'empêcher les ex-instituteurs et institutrices de partir en retraite plus tôt en minimisant leur carrière et en ayant contingenté les avis rendus en 2018.
Rappelons-le, ces collègues ont souvent commencé leur carrière à 20 ou 21 ans.
PPCR permet aussi des dispositifs d'accompagnement pour des collègues ou des écoles ciblés mais qui ne permettent aucune progression. PPCR, c'est l'inspection permanente mais sans possibilité de progrès !
Carrières, promotions, salaires, tout sur PPCR ici
Vote lors de la CAPD hors-classe
Pour : SE Abstention : SNU-iPP et SNE Contre : SNUDI-FO
Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui s'appuie sur une évaluation sans recours, figée et appuyée sur une grille où les compétences professionnelles sont reléguées au deuxième plan face à des compétences "relationnelles" avec les mairies, les parents, les associations.
PPCR c'est l'école des territoires contre l'Ecole de la République !
Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui acte le gel du point d'indice qui serait relevé "en fonction des indicateurs macro-économiques". La crise sanitaire nous a donné raison : ces indicateurs ne sont jamais au vert pour les salariés.
Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui portait les prémices de la fin des CAPD (et donc de la défense collective de nos droits) en imposant "la simplification des instances représentatives du personnel".
La déclaration du SNUDI-FO ici
Quelques chiffres : 465 collègues sont promus cette année, contre 388 à la même époque l'année passée. Un ajustement aura lieu en septembre en fonction des départs en retraites, changements de corps des promus. Cette hausse est due à l'alignement 1er/2nd degré du taux de promus, revendication du SNUDI-FO. Depuis la création de la Hors-Classe (sous Jospin, ça ne date pas d'hier), les PE étaient lésés.
La première promue a un barème de 210, la dernière 150 avec une ancienneté de 12 ans dans le corps des PE.
La Hors-Classe : comment ça marche ? Le lien ici.
Plus que jamais, adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !
Réadhérez et faites adhérer au SNUDI !
ASA : le point.
Le DASEN l'a confirmé lors de la CAPD « Hors-Classe », les dispositions pour garde d'enfants sont prolongées à l'identique à ce jour et ce jusqu'au 22 juin, date à laquelle le gouvernement devrait faire de nouvelles annonces. En cas de problème, contactez votre syndicat.
Mouvement.
De nombreux-ses collègues nous ont contactés pour faire part d'erreurs de barème dans leur fiche. Vérifiez votre barème si vous participez. Téléchargez le PDF et retournez-le.
Attention : contrairement aux années précédentes, tous les participant-es doivent renvoyer l'accusé de réception avec leur barème, que celui-ci soit correct ou erroné, avant le 12 juin aux services du mouvement, à l'adresse ce.i62dp-a2@ac-lille.fr à partir de leur adresse professionnelle.
La hors-classe : les dégâts de PPCR chez les ex-instituteurs-trices continuent.
En 2018, toute une « génération » de collègues était évaluée au débotté, sur dossier, livrée en pâture à l'avis subjectif de l'IEN avec des abus inqualifiables. Au rang de ces évalués, nombre d'ex-instituteurs et institutrices.
-
Ces collègues n'ont jamais pu faire valoir de recours car les avis étaient contingentés 20% « excellent », 40% « très satisfaisant », 40% « satisfaisant ». Faire monter un collègue d'une catégorie signifiait en rétrograder un autre pour respecter les taux. C'était l'argument qui nous était opposé quand nous avons demandé le réexamen des appréciations.
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Certain-es, avec 20 de note et au 11ème échelon, n'obtenant que l'avis satisfaisant ont perdu un voire deux ans de promotion.
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L'AGS ne concerne que le temps effectué dans le corps des PE. Le SNUDI a de suite revendiqué la prise en compte des années d'instituteur-trice, suivi par les autres organisations syndicales. Un point qui fait l'unanimité des 4 organisations siégeant en CAPD tant l'injustice est flagrante.
En 2019 les avis n'étaient plus contingentés et les taux étaient de 30%, 46 et 22%. Les recours étaient facilités.
En 2020, les taux sont de 33%, 56% et 10%.
Non seulement les ex-instituteurs et institutrices ont été contingentés, mais de surcroît ils sont susceptibles d'être « doublés » par un nombre de plus en plus important de collègues (+13% d'avis d'excellent en 2 ans).
Notre hiérarchie nous explique aujourd'hui qu'un avis « satisfaisant » en 2020 est une alerte pour un collègue sur « sa manière de travailler » (10% de collègues en 2020). Or, en 2018, un avis satisfaisant reconnaissait un bon travail. C'est une dépréciation des avis rendus en 2018.
Un IEN qui a face à lui un-e PE évalué-e « satisfaisant » doit savoir en quelle année il-elle a été évalué-e. En 2018, c'était un professionnel à la valeur reconnue, en 2020 un collègue en difficulté.
Les avis doivent être révisables à la hausse, et non gravés dans le marbre.
Pour le SNUDI-FO, il faut en finir avec PPCR ! Il s'agit avec ce protocole d'empêcher les ex-instituteurs et institutrices de partir en retraite plus tôt en minimisant leur carrière et en ayant contingenté les avis rendus en 2018.
Rappelons-le, ces collègues ont souvent commencé leur carrière à 20 ou 21 ans.
PPCR permet aussi des dispositifs d'accompagnement pour des collègues ou des écoles ciblés mais qui ne permettent aucune progression. PPCR, c'est l'inspection permanente mais sans possibilité de progrès !
Carrières, promotions, salaires, tout sur PPCR ici
Vote lors de la CAPD hors-classe
Pour : SE Abstention : SNU-iPP et SNE Contre : SNUDI-FO
Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui s'appuie sur une évaluation sans recours, figée et appuyée sur une grille où les compétences professionnelles sont reléguées au deuxième plan face à des compétences "relationnelles" avec les mairies, les parents, les associations.
PPCR c'est l'école des territoires contre l'Ecole de la République !
Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui acte le gel du point d'indice qui serait relevé "en fonction des indicateurs macro-économiques". La crise sanitaire nous a donné raison : ces indicateurs ne sont jamais au vert pour les salariés.
Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui portait les prémices de la fin des CAPD (et donc de la défense collective de nos droits) en imposant "la simplification des instances représentatives du personnel".
La déclaration du SNUDI-FO ici
Quelques chiffres : 465 collègues sont promus cette année, contre 388 à la même époque l'année passée. Un ajustement aura lieu en septembre en fonction des départs en retraites, changements de corps des promus. Cette hausse est due à l'alignement 1er/2nd degré du taux de promus, revendication du SNUDI-FO. Depuis la création de la Hors-Classe (sous Jospin, ça ne date pas d'hier), les PE étaient lésés.
La première promue a un barème de 210, la dernière 150 avec une ancienneté de 12 ans dans le corps des PE.
La Hors-Classe : comment ça marche ? Le lien ici.
Plus que jamais, adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !
Réadhérez et faites adhérer au SNUDI !
La crise du Covid : une aubaine pour détruire l'Ecole Républicaine.
La volonté de destruction des statuts, des missions, la mise sous tutelle par les mairies, rien ne nous serait épargné.
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L'école mise sous la coupe des mairies : de nombreux-ses maires se sont immiscés dans le fonctionnement de l'école : horaires, jours d'ouverture, élèves accueillis, leur nombre. La territorialisation de l'école, nous n'en voulons pas !
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Faire classe avec moins d'enseignant-es, c'est le but du 2S2C. Sur le temps scolaire, des intervenant-es mal payé-es, sans statut prendraient en charge des élèves. C'est la volonté de nous retirer ce qui fait l'essence de notre métier : la pluridisciplinarité. Nous n'aurions plus qu'à suivre les guides du Ministre toute la journée ?
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La numérisation de l'enseignement: JM Blanquer l'a dit sur France-Inter, l'école de demain s'appuiera largement sur l'enseignement à distance. La belle affaire. Quand un enseignant suit 50 élèves il n'a pas d'autre choix que d'envoyer des fiches toutes prêtes pondues par des sites, on réalise alors des économies d'envergure. C'est l'expérience de nombre de nos collègues.
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A l'initiative de FO, un vœu d'abandon de ce projet a été voté par FO, FSU et UNSA lors du CHSCT ministériel.
Un groupe de hauts-fonctionnaires (DASEN, Recteurs, IEN, Inspecteurs Généraux) s'est d'ailleurs fendu d'une tribune dans laquelle il dénonce la destruction de l’École Républicaine par le Ministre Blanquer.
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Le SNUDI-FO demande l'arrêt immédiat des projets 2S2C, des projets d'école autonome avec un sous-chef à sa tête.
Prime COVID : pas pour tout le monde...
Une prime, quelle qu'elle soit, ne masque pas les 18% de pouvoir d'achat perdus en 20 ans, le gel du point d'indice acté dans PPCR (les salaires seront réévalués en fonction des indicateurs macro-économiques, citation du protocole), l'indigence des primes de direction.
De plus, comme c'est la règle maintenant, cette prime de « surcroît de travail » oublie des catégories de personnels :
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quid des directeurs-trices harassés de travail ? Rappelons qu'un de nos collègues à quelques semaines de la retraite s'est suicidé sur son lieu de travail à Saint-Laurent-du-Var.
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Quid des collègues qui ont effectué 6 ou 7 demi-journées, qui ont quitté leur confinement 6 ou 7 fois au plus fort de la crise et qui percevront zéro euro ?
Direction : communiqué des directeurs-trices du SNUDI-FO 62.
La crise du Covid a mis les directeurs-trices en première ligne : plus de 1000 courriels à traiter, des protocoles à mettre en place, subir la pression de certains IEN préférant «presser» nos collègues pour obtenir du Maire une réouverture que de décrocher leur propre téléphone...C'en est trop !
Les directeurs-trices sont des PE chargé-es de direction, pas des «femmes et hommes à tout faire » au service de l'IEN ou du Maire, ce que préfigure le statut.
Lire le communiqué des directrices et directeurs du SNUDI-FO 62 ici
AESH, toujours pas suffisamment de matériel.
Nos collègues AESH ne sont pas mieux loti-es, loin s'en faut. A ce jour, le matériel de protection promis n'est pas arrivé. On demande donc de « prioriser » les collègues AESH qui auraient à intervenir « physiquement » auprès des élèves en difficulté.
Un nouveau symptôme de l'impossibilité de tenir ce protocole qui nous prive de masques homologués, de dépistage mais aussi des matériels de base.
Le SNUDI-FO demande que nos collègues AESH soient équipés comme il l'avait été prévu.
ASA, protocole après le 2 juin : hâte et impréparation.
De nombreux collègues nous contactent pour savoir ce qu'il adviendra des autorisations d'absence, du télétravail après le 2 juin.
Notre fédération a posé la question au Ministère, réponse : à ce jour, on ne sait pas... Voilà qui coupe court au dialogue social et qui marque l'impréparation de la reprise du 2 juin. On en revient toujours à la même conclusion : ce gouvernement excelle à détruire (missions, statuts, l'école républicaine) mais peine à construire des réponse et protéger ses personnels.
Annoncer le jeudi 28 en soirée une réouverture le 2 juin en sachant que le lundi 1er est férié présage encore de ratés, dysfonctionnements mais aussi de courriels à toute heure du jour, de la nuit, du week-end.
Infos administratives : mouvement, Hors-Classe.
Mouvement : des modifications
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consultation du barème : à compter du vendredi 29 mai 16h00
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phase d'échange avec le service concernant le barème : du 29 mai au 12 juin
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retour du barème pour tous les participants (même si le candidat n'a pas fait de demande de modification) : au plus tard le 12 juin
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consultation du barème final : à partir du 16 juin
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consultation de l'affectation : à compter du mercredi 24 juin
Hors-Classe
La CAPD se tient le 2 juin, 14h30 et le Groupe de Travail s'est tenu hier. Nous reviendrons en détail sur le scandale des promotions de type « PPCR » : arbitraire, instituteur-trices doublement voire triplement lésés.
N'hésitez surtout pas à nous contacter pour vous renseigner sur les règles, les promotions.
Note : nous nous étions adressés au DASEN le vendredi 15 pour obtenir des réponses sur les questions autour du protocole, toujours pas de réponse malgré notre relance ce mardi...le dialogue social serait-il rompu à tous les étages de la hiérarchie ? Qu'on ne s'y trompe pas, ce ne sont pas QUE les syndicats qui sont méprisés, ce sont aussi tous les collègues dont nous relayons les questions, revendications et inquiétudes. Le nouveau monde ?
Le DASEN accorde une visio-conférence aux organisations syndicales cette après-midi ! Peut-être des réponses 15 jours plus tard.
Aujourd'hui, comment défendre les statuts, les salaires, les conditions de travail et les retraites, se défendre et ne pas rester isolé ?
En adhérant au SNUDI-FO !
La crise du Covid : une aubaine pour détruire l'Ecole Républicaine.
La volonté de destruction des statuts, des missions, la mise sous tutelle par les mairies, rien ne nous serait épargné.
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L'école mise sous la coupe des mairies : de nombreux-ses maires se sont immiscés dans le fonctionnement de l'école : horaires, jours d'ouverture, élèves accueillis, leur nombre. La territorialisation de l'école, nous n'en voulons pas !
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Faire classe avec moins d'enseignant-es, c'est le but du 2S2C. Sur le temps scolaire, des intervenant-es mal payé-es, sans statut prendraient en charge des élèves. C'est la volonté de nous retirer ce qui fait l'essence de notre métier : la pluridisciplinarité. Nous n'aurions plus qu'à suivre les guides du Ministre toute la journée ?
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La numérisation de l'enseignement: JM Blanquer l'a dit sur France-Inter, l'école de demain s'appuiera largement sur l'enseignement à distance. La belle affaire. Quand un enseignant suit 50 élèves il n'a pas d'autre choix que d'envoyer des fiches toutes prêtes pondues par des sites, on réalise alors des économies d'envergure. C'est l'expérience de nombre de nos collègues.
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A l'initiative de FO, un vœu d'abandon de ce projet a été voté par FO, FSU et UNSA lors du CHSCT ministériel.
Un groupe de hauts-fonctionnaires (DASEN, Recteurs, IEN, Inspecteurs Généraux) s'est d'ailleurs fendu d'une tribune dans laquelle il dénonce la destruction de l’École Républicaine par le Ministre Blanquer.
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Le SNUDI-FO demande l'arrêt immédiat des projets 2S2C, des projets d'école autonome avec un sous-chef à sa tête.
Prime COVID : pas pour tout le monde...
Une prime, quelle qu'elle soit, ne masque pas les 18% de pouvoir d'achat perdus en 20 ans, le gel du point d'indice acté dans PPCR (les salaires seront réévalués en fonction des indicateurs macro-économiques, citation du protocole), l'indigence des primes de direction.
De plus, comme c'est la règle maintenant, cette prime de « surcroît de travail » oublie des catégories de personnels :
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quid des directeurs-trices harassés de travail ? Rappelons qu'un de nos collègues à quelques semaines de la retraite s'est suicidé sur son lieu de travail à Saint-Laurent-du-Var.
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Quid des collègues qui ont effectué 6 ou 7 demi-journées, qui ont quitté leur confinement 6 ou 7 fois au plus fort de la crise et qui percevront zéro euro ?
Direction : communiqué des directeurs-trices du SNUDI-FO 62.
La crise du Covid a mis les directeurs-trices en première ligne : plus de 1000 courriels à traiter, des protocoles à mettre en place, subir la pression de certains IEN préférant «presser» nos collègues pour obtenir du Maire une réouverture que de décrocher leur propre téléphone...C'en est trop !
Les directeurs-trices sont des PE chargé-es de direction, pas des «femmes et hommes à tout faire » au service de l'IEN ou du Maire, ce que préfigure le statut.
Lire le communiqué des directrices et directeurs du SNUDI-FO 62 ici
AESH, toujours pas suffisamment de matériel.
Nos collègues AESH ne sont pas mieux loti-es, loin s'en faut. A ce jour, le matériel de protection promis n'est pas arrivé. On demande donc de « prioriser » les collègues AESH qui auraient à intervenir « physiquement » auprès des élèves en difficulté.
Un nouveau symptôme de l'impossibilité de tenir ce protocole qui nous prive de masques homologués, de dépistage mais aussi des matériels de base.
Le SNUDI-FO demande que nos collègues AESH soient équipés comme il l'avait été prévu.
ASA, protocole après le 2 juin : hâte et impréparation.
De nombreux collègues nous contactent pour savoir ce qu'il adviendra des autorisations d'absence, du télétravail après le 2 juin.
Notre fédération a posé la question au Ministère, réponse : à ce jour, on ne sait pas... Voilà qui coupe court au dialogue social et qui marque l'impréparation de la reprise du 2 juin. On en revient toujours à la même conclusion : ce gouvernement excelle à détruire (missions, statuts, l'école républicaine) mais peine à construire des réponse et protéger ses personnels.
Annoncer le jeudi 28 en soirée une réouverture le 2 juin en sachant que le lundi 1er est férié présage encore de ratés, dysfonctionnements mais aussi de courriels à toute heure du jour, de la nuit, du week-end.
Infos administratives : mouvement, Hors-Classe.
Mouvement : des modifications
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consultation du barème : à compter du vendredi 29 mai 16h00
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phase d'échange avec le service concernant le barème : du 29 mai au 12 juin
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retour du barème pour tous les participants (même si le candidat n'a pas fait de demande de modification) : au plus tard le 12 juin
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consultation du barème final : à partir du 16 juin
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consultation de l'affectation : à compter du mercredi 24 juin
Hors-Classe
La CAPD se tient le 2 juin, 14h30 et le Groupe de Travail s'est tenu hier. Nous reviendrons en détail sur le scandale des promotions de type « PPCR » : arbitraire, instituteur-trices doublement voire triplement lésés.
N'hésitez surtout pas à nous contacter pour vous renseigner sur les règles, les promotions.
Note : nous nous étions adressés au DASEN le vendredi 15 pour obtenir des réponses sur les questions autour du protocole, toujours pas de réponse malgré notre relance ce mardi...le dialogue social serait-il rompu à tous les étages de la hiérarchie ? Qu'on ne s'y trompe pas, ce ne sont pas QUE les syndicats qui sont méprisés, ce sont aussi tous les collègues dont nous relayons les questions, revendications et inquiétudes. Le nouveau monde ?
Le DASEN accorde une visio-conférence aux organisations syndicales cette après-midi ! Peut-être des réponses 15 jours plus tard.
Aujourd'hui, comment défendre les statuts, les salaires, les conditions de travail et les retraites, se défendre et ne pas rester isolé ?
En adhérant au SNUDI-FO !
Le SNUDI-FO 62 s'adresse au DASEN : la défense des personnels comme seul objectif.
Adjoint-es, directeurs-trices, CPC, ASH, personne n'échappe à la déréglementation !
A l'issue des premières journées de reprise en présentiel (et non pas des vacances), un nombre important de collègues nous a fait remonter des situations inquiétantes, tendant à balayer nos droits et nos statuts. Ici, ce sont des collègues d'IME appelés à faire le ménage à l'issue d'une journée continue de 6h30, là ce sont des IEN qui sollicitent quotidiennement les directeurs-trices afin qu'ils-elles obtiennent du une réouverture d'école.
Le SNUDI est intervenu également auprès d'IEN pour que soient respectés les affectations (dans les RPI, notamment) et les temps partiels : aucun-e collègue ne peut être contraint-e de travailler les jours où il-elle n'est pas en classe ordinairement.
Ce lundi marque la réouverture de nombre d'écoles. Nous vous engageons à contacter le SNUDI-FO pour que nous intervenions sur toutes les situations anormales, tant sur le plan des droits et des statuts que sur le plan sanitaire.
Les CPC travaillent-ils chez UPS ? Nombre de nos collègues CPC se retrouvent obligés de livrer des cartons de masques à travers les circonscriptions sans indemnités kilométriques. Déjà privés d'ISAE, jusqu'où entend-on spolier ces personnels ? Le SNUDI-FO interviendra pour que ces personnels obtiennent les indemnités kilométriques qui leur sont dues.
La « souplesse » du protocole ne doit pas être utilisée contre les personnels.
Le SNUDI demande aussi l'extension du télétravail après le 2 juin et la possibilité de garder ses enfants, que ce soit par choix ou par contrainte.
Hors-Classe : les revendications demeurent.
La revendication du SNUDI-FO reste entière sur l'abrogation de PPCR. La hausse du taux de promu-es est l'arbre qui cache la forêt : destruction des statuts, évaluation à la tête du client, recours rendu extrêmement difficile, création d'un grade inatteignable pour l'écrasante majorité des PE, premières attaques contre la représentation des salarié-es...
Nous ne voulons pas d'une évaluation sur une grille dans laquelle notre « cœur de métier » est relégué au deuxième plan derrière la déontologie, les rapports avec la mairie, les parents : il s'agit d'évaluer notre servilité plus que nos compétences d'enseignant-e.
Nous ne voulons pas non plus de cette grille figée dès le neuvième échelon. Les avis restent gravés dans le marbre, les recours favorables se comptent en unités. Dès lors, toutes les inspections, suivis, visites, accompagnements se font sans espoir d'amélioration de l'évaluation. Pour le SNUDI-FO, les évaluations doivent être révisables à la hausse.
Nous demandons la reprise des années de service en qualité d'instituteur-trice dans l'ancienneté. A ce jour, seules les années de PE sont comptées. Ce sont de années de carrière gommées par PPCR qui font des instituteur-trices les grands perdants de PPCR.
La revendication reste entière également sur le retour des CAPD. Si le gouvernement s'entête dans sa volonté de détruire tous les recours possibles en détruisant nos garanties collectives, toutes les CAPD auront disparu en 2021.
Notons que si FO a refusé PPCR, c'est que son axe 3 prévoyait « la simplification des instances représentatives du personnel ». Nous n'avons pas scié la branche sur laquelle nous étions assis et qui nous permettait d'assurer le suivi et la défense des personnels.
Dussopt a enfoncé le clou avec « la loi de transformation de la fonction publique ».
Tout ce que vous devez savoir sur PPCR ici
Mouvement : envoyez vos fiches.
Même si les CAPD sur la mobilité des personnels sont d'ores et déjà supprimées, les recours restent possibles. Ils seront individuels et non collectifs. C'est la ligne de conduite de ce gouvernement : isoler les personnels face à l'administration et la hiérarchie en supprimant les droits collectifs et détruisant le lien entre les élus du personnel et les collègues.
Aucune attaque de cette envergure n'avait eu lieu contre les syndicats et les salarié-es qu'ils représentent depuis 1941. Le SNUDI-FO réclame le rétablissement immédiat des CAPD. On nous a couverts de louanges, il faut maintenant passer à l'acte et traduire les louanges en faits.
Renvoyez-nous vos fiches de synthèse !
On nous ressort le statut du-de la directeur-trice : 89% des directeurs-trices n'en veulent pas !
Toujours guidé par sa volonté de destruction des statuts, le gouvernement ressort par la voix de ses député-es la carte du statut rejeté à une majorité écrasante des directeurs-trices.
Devenir un-e petit-e chef-fe local-e n'est pas le rêve de tout-e directeur-trice, loin s'en faut. A la faveur de la crise, le Ministère se rend compte qu'il faut un fusible supplémentaire à faire sauter en cas de coup dur. Pour l'instant le statut du directeur ne permet pas d'être fusible, on change la donne !
Aujourd'hui, notre employeur et notre supérieur hiérarchique sont garants de notre santé et de notre sécurité au travail. Demain, ce sera le directeur et sans aucun moyen.
Pour le SNUDI-FO, les directeur-trices ont besoin sans modification de leur statut (entre autres)
-
d'un temps de décharge amélioré
-
de 100 points d'indice tout de suite !
Lire notre communiqué "statut" ici
Notre 8 pages spécial "direction" en téléchargement ici !
Télé-RIS
Nous tiendrons une RIS pour tous les collègues du département par l'application Skype à 9h30 le 27 mai. Inscriptions avant mardi 26, 16h svp.
Inscrivez vous par mail contact@snudifo62.fr en précisant votre nom sur Skype et l'avatar ou identifiant en cas d'homonymie.
Aujourd'hui, comment défendre les statuts, les salaires, les conditions de travail et les retraites, se défendre et ne pas rester isolé ?
(l'adhésion est en année civile, contactez-nous pour toute adhésion en cours d'année)
Le SNUDI-FO 62 s'adresse au DASEN : la défense des personnels comme seul objectif.
Adjoint-es, directeurs-trices, CPC, ASH, personne n'échappe à la déréglementation !
A l'issue des premières journées de reprise en présentiel (et non pas des vacances), un nombre important de collègues nous a fait remonter des situations inquiétantes, tendant à balayer nos droits et nos statuts. Ici, ce sont des collègues d'IME appelés à faire le ménage à l'issue d'une journée continue de 6h30, là ce sont des IEN qui sollicitent quotidiennement les directeurs-trices afin qu'ils-elles obtiennent du une réouverture d'école.
Le SNUDI est intervenu également auprès d'IEN pour que soient respectés les affectations (dans les RPI, notamment) et les temps partiels : aucun-e collègue ne peut être contraint-e de travailler les jours où il-elle n'est pas en classe ordinairement.
Ce lundi marque la réouverture de nombre d'écoles. Nous vous engageons à contacter le SNUDI-FO pour que nous intervenions sur toutes les situations anormales, tant sur le plan des droits et des statuts que sur le plan sanitaire.
Les CPC travaillent-ils chez UPS ? Nombre de nos collègues CPC se retrouvent obligés de livrer des cartons de masques à travers les circonscriptions sans indemnités kilométriques. Déjà privés d'ISAE, jusqu'où entend-on spolier ces personnels ? Le SNUDI-FO interviendra pour que ces personnels obtiennent les indemnités kilométriques qui leur sont dues.
La « souplesse » du protocole ne doit pas être utilisée contre les personnels.
Le SNUDI demande aussi l'extension du télétravail après le 2 juin et la possibilité de garder ses enfants, que ce soit par choix ou par contrainte.
Hors-Classe : les revendications demeurent.
La revendication du SNUDI-FO reste entière sur l'abrogation de PPCR. La hausse du taux de promu-es est l'arbre qui cache la forêt : destruction des statuts, évaluation à la tête du client, recours rendu extrêmement difficile, création d'un grade inatteignable pour l'écrasante majorité des PE, premières attaques contre la représentation des salarié-es...
Nous ne voulons pas d'une évaluation sur une grille dans laquelle notre « cœur de métier » est relégué au deuxième plan derrière la déontologie, les rapports avec la mairie, les parents : il s'agit d'évaluer notre servilité plus que nos compétences d'enseignant-e.
Nous ne voulons pas non plus de cette grille figée dès le neuvième échelon. Les avis restent gravés dans le marbre, les recours favorables se comptent en unités. Dès lors, toutes les inspections, suivis, visites, accompagnements se font sans espoir d'amélioration de l'évaluation. Pour le SNUDI-FO, les évaluations doivent être révisables à la hausse.
Nous demandons la reprise des années de service en qualité d'instituteur-trice dans l'ancienneté. A ce jour, seules les années de PE sont comptées. Ce sont de années de carrière gommées par PPCR qui font des instituteur-trices les grands perdants de PPCR.
La revendication reste entière également sur le retour des CAPD. Si le gouvernement s'entête dans sa volonté de détruire tous les recours possibles en détruisant nos garanties collectives, toutes les CAPD auront disparu en 2021.
Notons que si FO a refusé PPCR, c'est que son axe 3 prévoyait « la simplification des instances représentatives du personnel ». Nous n'avons pas scié la branche sur laquelle nous étions assis et qui nous permettait d'assurer le suivi et la défense des personnels.
Dussopt a enfoncé le clou avec « la loi de transformation de la fonction publique ».
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Mouvement : envoyez vos fiches.
Même si les CAPD sur la mobilité des personnels sont d'ores et déjà supprimées, les recours restent possibles. Ils seront individuels et non collectifs. C'est la ligne de conduite de ce gouvernement : isoler les personnels face à l'administration et la hiérarchie en supprimant les droits collectifs et détruisant le lien entre les élus du personnel et les collègues.
Aucune attaque de cette envergure n'avait eu lieu contre les syndicats et les salarié-es qu'ils représentent depuis 1941. Le SNUDI-FO réclame le rétablissement immédiat des CAPD. On nous a couverts de louanges, il faut maintenant passer à l'acte et traduire les louanges en faits.
Renvoyez-nous vos fiches de synthèse !
On nous ressort le statut du-de la directeur-trice : 89% des directeurs-trices n'en veulent pas !
Toujours guidé par sa volonté de destruction des statuts, le gouvernement ressort par la voix de ses député-es la carte du statut rejeté à une majorité écrasante des directeurs-trices.
Devenir un-e petit-e chef-fe local-e n'est pas le rêve de tout-e directeur-trice, loin s'en faut. A la faveur de la crise, le Ministère se rend compte qu'il faut un fusible supplémentaire à faire sauter en cas de coup dur. Pour l'instant le statut du directeur ne permet pas d'être fusible, on change la donne !
Aujourd'hui, notre employeur et notre supérieur hiérarchique sont garants de notre santé et de notre sécurité au travail. Demain, ce sera le directeur et sans aucun moyen.
Pour le SNUDI-FO, les directeur-trices ont besoin sans modification de leur statut (entre autres)
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Télé-RIS
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Aujourd'hui, comment défendre les statuts, les salaires, les conditions de travail et les retraites, se défendre et ne pas rester isolé ?
(l'adhésion est en année civile, contactez-nous pour toute adhésion en cours d'année)
ASA : le SNUDI et sa fédération interviennent, des avancées notables.
Depuis plusieurs jours, vous êtes (très) nombreux-ses à faire remonter des complications à faire valoir des ASA pour garde d'enfants. Trop souvent, la bienveillance et les louanges n'ont pas dépassé le cadre du discours convenu télévisuel. On refuserait aux enseignant-es les mêmes droits qu'aux autres salariés : pouvoir ne pas rescolariser nos enfants.
Lors du CHSCT Ministériel du 5 mai, le DGRH (directeur général des ressources humaines) suite aux revendications et questions de la FNEC-FP-FO, a répondu en précisant quels personnels sont susceptibles de continuer le télétravail, et donc de bénéficier d'ASA.
1 - Les personnels (ou un membre de leur entourage) vulnérables au sens du décret n°2020-521 du 5 mai 2020 (consulter ici). Ces personnels doivent être obligatoirement autorisés à travailler en distanciel par l’IEN / DASEN / Recteur.
2 - Les personnels « anxieux » à l’idée de reprendre en présentiel ou ayant une pathologie autre que celle du champ défini par le décret n°2020-521 du 5 mai 2020 peuvent obtenir une autorisation de poursuivre leurs missions à distance. Ils présenteront à leur IEN / DASEN / Recteur un certificat médical de leur généraliste stipulant simplement « personne fragile devant restée éloignée de l’école/du poste de travail ». Le Ministre a confirmé lors de son audience avec la FNEC FP FO qu’il y aurait une bienveillance à l’égard de ces personnels.
3 - Les personnels qui n’ont pas de moyen de garde car l’école ou le niveau de classe de leur enfant est fermé ou qui décident de ne pas remettre leur enfant à l’école peuvent continuer le travail à distance.
En cas d'injonctions contraires aux réponses ministérielles, contactez-nous !
Réouverture des écoles / CTSD réouverture du 7 mai.
Pour le SNUDI-FO, nombre de revendications restent prégnantes et sans satisfaction dont les plus importantes sont la fourniture de vrais masques FFP2 (filtrant à 95% les virus contre 70% aux masques « ordinaires ») et le dépistage systématique des personnels.
Retrouvez l'intervention de notre Secrétaire Général sur France-Info
Pour le SNUDI-FO 62, la déclaration du ministre Véran sur France-Info « à vos ciseaux ! » est purement scandaleuse et tend à déresponsabiliser un peu plus les employeurs.
Le SNUDI-FO 62 a soumis un vœu au vote formulé en ces termes :
« Compte-tenu des risques encourus et afin de ramener la sérénité et la confiance nécessaires pour les enseignants, les élèves et les familles, le CTSD demande pour la reprise de l’école, que toutes les conditions sanitaires soient remplies : le dépistage systématique des élèves et des personnels, ainsi que la présence pour tous des équipements de protection réglementaires : masques homologués FFP, gants, gels, accès à l’eau, savon et serviettes jetables pour le lavage des mains, comme préalable »
Résultats du vote :
- pour : 4 voix FO + FSU
- refus de vote : 6 : SE-UNSA + SNE-SNALC
En outre, l'Inspecteur d'Académie nous a répondu lors de ce CTSD que 92 communes ont voté un arrêté de fermeture. D'autres communes ont annoncé qu'elle n'ouvriraient pas les écoles le 11 sans avoir encore transmis d'arrêté à l'IA. Selon l'IA cela représenterait environ 25% des écoles du Pas-de-Calais.
Notons que dans la plupart des écoles pour lesquelles nous avons des remontées, le nombre de familles volontaires et très restreint. L'absence de confiance dans ce protocole sanitaire est largement partagée par les familles.
Direction.
Le Ministre nous dit : « nous sommes en train d'inventer un système ». De quel système s'agit-il ? Un système dans lequel les directeurs-trices se verraient imposer un statut de fusible qu'ils-elles rejettent. Un système dans lequel des maires omnipotents imposeraient leurs décisions, réduisant à néant l'indépendance du Service Public vis à vis des politiques, ouvrant la porte au copinage politique ?
Non à la territorialisation de l'école, sous quelque forme que ce soit, non à un statut de "chef", ultime fusible des irresponsables qui, soulignons-le, projettent des lois d’auto-amnistie avec effet rétroactif.
Notre lettre au Ministre sur la direction ici
AESH.
Il y a un cadre !
Vous trouverez ici la note de service AESH de la Rectrice sur le travail des AESH. En cas de consignes qui vous sembleraient en contradiction avec cette note, contactez le SNUDI-FO.
Mouvement.
Nous vous engageons à envoyer copie de votre fiche mouvement au SNUDI-FO, avec votre barème. Même si le gouvernement a supprimé les CAPD, le SNUDI-FO continuera à défendre les intérêts des PE, clé de notre engagement auprès de vous.
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Une question ? Une information vous manque ? Adressez vous à vos délégué-es du SNUDI-FO !
Retrouvez nous sur notre site et sur Facebook !
Plus que jamais, adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !
Prenez soin de vous et de vos proches.
Adhérez via PayPal : nous ne pouvons pas nous rendre dans les bureaux F.O pour y retirer le courrier. Ils sont bien sûr fermés.
Rappel : ce mail est envoyé via une liste modérée, ne pas utiliser la fonction « répondre » qui est inopérante.
N’hésitez pas à faire appel à vos élus du SNUDI-FO pour tout problème :
Pour la CAPD : Adam BRICARD, Tél. 06 13 77 43 84 / Lucie ROZANES, Tél. 06 86 45 00 25
Pour le CTSD : Jean-Paul ROZANES, Tél. 06 33 05 50 58
ASA : le SNUDI et sa fédération interviennent, des avancées notables.
Depuis plusieurs jours, vous êtes (très) nombreux-ses à faire remonter des complications à faire valoir des ASA pour garde d'enfants. Trop souvent, la bienveillance et les louanges n'ont pas dépassé le cadre du discours convenu télévisuel. On refuserait aux enseignant-es les mêmes droits qu'aux autres salariés : pouvoir ne pas rescolariser nos enfants.
Lors du CHSCT Ministériel du 5 mai, le DGRH (directeur général des ressources humaines) suite aux revendications et questions de la FNEC-FP-FO, a répondu en précisant quels personnels sont susceptibles de continuer le télétravail, et donc de bénéficier d'ASA.
1 - Les personnels (ou un membre de leur entourage) vulnérables au sens du décret n°2020-521 du 5 mai 2020 (consulter ici). Ces personnels doivent être obligatoirement autorisés à travailler en distanciel par l’IEN / DASEN / Recteur.
2 - Les personnels « anxieux » à l’idée de reprendre en présentiel ou ayant une pathologie autre que celle du champ défini par le décret n°2020-521 du 5 mai 2020 peuvent obtenir une autorisation de poursuivre leurs missions à distance. Ils présenteront à leur IEN / DASEN / Recteur un certificat médical de leur généraliste stipulant simplement « personne fragile devant restée éloignée de l’école/du poste de travail ». Le Ministre a confirmé lors de son audience avec la FNEC FP FO qu’il y aurait une bienveillance à l’égard de ces personnels.
3 - Les personnels qui n’ont pas de moyen de garde car l’école ou le niveau de classe de leur enfant est fermé ou qui décident de ne pas remettre leur enfant à l’école peuvent continuer le travail à distance.
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Réouverture des écoles / CTSD réouverture du 7 mai.
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Le SNUDI-FO 62 a soumis un vœu au vote formulé en ces termes :
« Compte-tenu des risques encourus et afin de ramener la sérénité et la confiance nécessaires pour les enseignants, les élèves et les familles, le CTSD demande pour la reprise de l’école, que toutes les conditions sanitaires soient remplies : le dépistage systématique des élèves et des personnels, ainsi que la présence pour tous des équipements de protection réglementaires : masques homologués FFP, gants, gels, accès à l’eau, savon et serviettes jetables pour le lavage des mains, comme préalable »
Résultats du vote :
- pour : 4 voix FO + FSU
- refus de vote : 6 : SE-UNSA + SNE-SNALC
En outre, l'Inspecteur d'Académie nous a répondu lors de ce CTSD que 92 communes ont voté un arrêté de fermeture. D'autres communes ont annoncé qu'elle n'ouvriraient pas les écoles le 11 sans avoir encore transmis d'arrêté à l'IA. Selon l'IA cela représenterait environ 25% des écoles du Pas-de-Calais.
Notons que dans la plupart des écoles pour lesquelles nous avons des remontées, le nombre de familles volontaires et très restreint. L'absence de confiance dans ce protocole sanitaire est largement partagée par les familles.
Direction.
Le Ministre nous dit : « nous sommes en train d'inventer un système ». De quel système s'agit-il ? Un système dans lequel les directeurs-trices se verraient imposer un statut de fusible qu'ils-elles rejettent. Un système dans lequel des maires omnipotents imposeraient leurs décisions, réduisant à néant l'indépendance du Service Public vis à vis des politiques, ouvrant la porte au copinage politique ?
Non à la territorialisation de l'école, sous quelque forme que ce soit, non à un statut de "chef", ultime fusible des irresponsables qui, soulignons-le, projettent des lois d’auto-amnistie avec effet rétroactif.
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AESH.
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Pour la CAPD : Adam BRICARD, Tél. 06 13 77 43 84 / Lucie ROZANES, Tél. 06 86 45 00 25
Pour le CTSD : Jean-Paul ROZANES, Tél. 06 33 05 50 58