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L'inFO du 62

ASA : le point.

Le DASEN l'a confirmé lors de la CAPD « Hors-Classe », les dispositions pour garde d'enfants sont prolongées à l'identique à ce jour et ce jusqu'au 22 juin, date à laquelle le gouvernement devrait faire de nouvelles annonces. En cas de problème, contactez votre syndicat.

Mouvement.

De nombreux-ses collègues nous ont contactés pour faire part d'erreurs de barème dans leur fiche. Vérifiez votre barème si vous participez. Téléchargez le PDF et retournez-le.

Attention : contrairement aux années précédentes, tous les participant-es doivent renvoyer l'accusé de réception avec leur barème, que celui-ci soit correct ou erroné, avant le 12 juin aux services du mouvement, à l'adresse ce.i62dp-a2@ac-lille.fr à partir de leur adresse professionnelle.


 

La hors-classe : les dégâts de PPCR chez les ex-instituteurs-trices continuent.

En 2018, toute une « génération » de collègues était évaluée au débotté, sur dossier, livrée en pâture à l'avis subjectif de l'IEN avec des abus inqualifiables. Au rang de ces évalués, nombre d'ex-instituteurs et institutrices.

  • Ces collègues n'ont jamais pu faire valoir de recours car les avis étaient contingentés 20% « excellent », 40% « très satisfaisant », 40% « satisfaisant ». Faire monter un collègue d'une catégorie signifiait en rétrograder un autre pour respecter les taux. C'était l'argument qui nous était opposé quand nous avons demandé le réexamen des appréciations.

  • Certain-es, avec 20 de note et au 11ème échelon, n'obtenant que l'avis satisfaisant ont perdu un voire deux ans de promotion.

  • L'AGS ne concerne que le temps effectué dans le corps des PE. Le SNUDI a de suite revendiqué la prise en compte des années d'instituteur-trice, suivi par les autres organisations syndicales. Un point qui fait l'unanimité des 4 organisations siégeant en CAPD tant l'injustice est flagrante.

    En 2019 les avis n'étaient plus contingentés et les taux étaient de 30%, 46 et 22%. Les recours étaient facilités.

    En 2020, les taux sont de 33%, 56% et 10%.

    Non seulement les ex-instituteurs et institutrices ont été contingentés, mais de surcroît ils sont susceptibles d'être « doublés » par un nombre de plus en plus important de collègues (+13% d'avis d'excellent en 2 ans).

    Notre hiérarchie nous explique aujourd'hui qu'un avis « satisfaisant » en 2020 est une alerte pour un collègue sur « sa manière de travailler » (10% de collègues en 2020). Or, en 2018, un avis satisfaisant reconnaissait un bon travail. C'est une dépréciation des avis rendus en 2018.

    Un IEN qui a face à lui un-e PE évalué-e « satisfaisant » doit savoir en quelle année il-elle a été évalué-e. En 2018, c'était un professionnel à la valeur reconnue, en 2020 un collègue en difficulté.

    Les avis doivent être révisables à la hausse, et non gravés dans le marbre.

    Pour le SNUDI-FO, il faut en finir avec PPCR ! Il s'agit avec ce protocole d'empêcher les ex-instituteurs et institutrices de partir en retraite plus tôt en minimisant leur carrière et en ayant contingenté les avis rendus en 2018.

    Rappelons-le, ces collègues ont souvent commencé leur carrière à 20 ou 21 ans.

PPCR permet aussi des dispositifs d'accompagnement pour des collègues ou des écoles ciblés mais qui ne permettent aucune progression. PPCR, c'est l'inspection permanente mais sans possibilité de progrès !

Carrières, promotions, salaires, tout sur PPCR ici

Vote lors de la CAPD hors-classe

Pour : SE                Abstention : SNU-iPP et SNE                      Contre : SNUDI-FO

Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui s'appuie sur une évaluation sans recours, figée et appuyée sur une grille où les compétences professionnelles sont reléguées au deuxième plan face à des compétences "relationnelles" avec les mairies, les parents, les associations.

PPCR c'est l'école des territoires contre l'Ecole de la République !

Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui acte le gel du point d'indice qui serait relevé "en fonction des indicateurs macro-économiques". La crise sanitaire nous a donné raison : ces indicateurs ne sont jamais au vert pour les salariés.

Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui portait les prémices de la fin des CAPD (et donc de la défense collective de nos droits) en imposant "la simplification des instances représentatives du personnel".

La déclaration du SNUDI-FO ici

Quelques chiffres : 465 collègues sont promus cette année, contre 388 à la même époque l'année passée. Un ajustement aura lieu en septembre en fonction des départs en retraites, changements de corps des promus. Cette hausse est due à l'alignement 1er/2nd degré du taux de promus, revendication du SNUDI-FO. Depuis la création de la Hors-Classe (sous Jospin, ça ne date pas d'hier), les PE étaient lésés.

La première promue a un barème de 210, la dernière 150 avec une ancienneté de 12 ans dans le corps des PE.

La Hors-Classe : comment ça marche ? Le lien ici.

Plus que jamais, adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !

Réadhérez et faites adhérer au SNUDI !

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ASA : le point.

Le DASEN l'a confirmé lors de la CAPD « Hors-Classe », les dispositions pour garde d'enfants sont prolongées à l'identique à ce jour et ce jusqu'au 22 juin, date à laquelle le gouvernement devrait faire de nouvelles annonces. En cas de problème, contactez votre syndicat.

Mouvement.

De nombreux-ses collègues nous ont contactés pour faire part d'erreurs de barème dans leur fiche. Vérifiez votre barème si vous participez. Téléchargez le PDF et retournez-le.

Attention : contrairement aux années précédentes, tous les participant-es doivent renvoyer l'accusé de réception avec leur barème, que celui-ci soit correct ou erroné, avant le 12 juin aux services du mouvement, à l'adresse ce.i62dp-a2@ac-lille.fr à partir de leur adresse professionnelle.


 

La hors-classe : les dégâts de PPCR chez les ex-instituteurs-trices continuent.

En 2018, toute une « génération » de collègues était évaluée au débotté, sur dossier, livrée en pâture à l'avis subjectif de l'IEN avec des abus inqualifiables. Au rang de ces évalués, nombre d'ex-instituteurs et institutrices.

  • Ces collègues n'ont jamais pu faire valoir de recours car les avis étaient contingentés 20% « excellent », 40% « très satisfaisant », 40% « satisfaisant ». Faire monter un collègue d'une catégorie signifiait en rétrograder un autre pour respecter les taux. C'était l'argument qui nous était opposé quand nous avons demandé le réexamen des appréciations.

  • Certain-es, avec 20 de note et au 11ème échelon, n'obtenant que l'avis satisfaisant ont perdu un voire deux ans de promotion.

  • L'AGS ne concerne que le temps effectué dans le corps des PE. Le SNUDI a de suite revendiqué la prise en compte des années d'instituteur-trice, suivi par les autres organisations syndicales. Un point qui fait l'unanimité des 4 organisations siégeant en CAPD tant l'injustice est flagrante.

    En 2019 les avis n'étaient plus contingentés et les taux étaient de 30%, 46 et 22%. Les recours étaient facilités.

    En 2020, les taux sont de 33%, 56% et 10%.

    Non seulement les ex-instituteurs et institutrices ont été contingentés, mais de surcroît ils sont susceptibles d'être « doublés » par un nombre de plus en plus important de collègues (+13% d'avis d'excellent en 2 ans).

    Notre hiérarchie nous explique aujourd'hui qu'un avis « satisfaisant » en 2020 est une alerte pour un collègue sur « sa manière de travailler » (10% de collègues en 2020). Or, en 2018, un avis satisfaisant reconnaissait un bon travail. C'est une dépréciation des avis rendus en 2018.

    Un IEN qui a face à lui un-e PE évalué-e « satisfaisant » doit savoir en quelle année il-elle a été évalué-e. En 2018, c'était un professionnel à la valeur reconnue, en 2020 un collègue en difficulté.

    Les avis doivent être révisables à la hausse, et non gravés dans le marbre.

    Pour le SNUDI-FO, il faut en finir avec PPCR ! Il s'agit avec ce protocole d'empêcher les ex-instituteurs et institutrices de partir en retraite plus tôt en minimisant leur carrière et en ayant contingenté les avis rendus en 2018.

    Rappelons-le, ces collègues ont souvent commencé leur carrière à 20 ou 21 ans.

PPCR permet aussi des dispositifs d'accompagnement pour des collègues ou des écoles ciblés mais qui ne permettent aucune progression. PPCR, c'est l'inspection permanente mais sans possibilité de progrès !

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Pour : SE                Abstention : SNU-iPP et SNE                      Contre : SNUDI-FO

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Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui acte le gel du point d'indice qui serait relevé "en fonction des indicateurs macro-économiques". La crise sanitaire nous a donné raison : ces indicateurs ne sont jamais au vert pour les salariés.

Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui portait les prémices de la fin des CAPD (et donc de la défense collective de nos droits) en imposant "la simplification des instances représentatives du personnel".

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Quelques chiffres : 465 collègues sont promus cette année, contre 388 à la même époque l'année passée. Un ajustement aura lieu en septembre en fonction des départs en retraites, changements de corps des promus. Cette hausse est due à l'alignement 1er/2nd degré du taux de promus, revendication du SNUDI-FO. Depuis la création de la Hors-Classe (sous Jospin, ça ne date pas d'hier), les PE étaient lésés.

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En 2018, toute une « génération » de collègues était évaluée au débotté, sur dossier, livrée en pâture à l'avis subjectif de l'IEN avec des abus inqualifiables. Au rang de ces évalués, nombre d'ex-instituteurs et institutrices.

  • Ces collègues n'ont jamais pu faire valoir de recours car les avis étaient contingentés 20% « excellent », 40% « très satisfaisant », 40% « satisfaisant ». Faire monter un collègue d'une catégorie signifiait en rétrograder un autre pour respecter les taux. C'était l'argument qui nous était opposé quand nous avons demandé le réexamen des appréciations.

  • Certain-es, avec 20 de note et au 11ème échelon, n'obtenant que l'avis satisfaisant ont perdu un voire deux ans de promotion.

  • L'AGS ne concerne que le temps effectué dans le corps des PE. Le SNUDI a de suite revendiqué la prise en compte des années d'instituteur-trice, suivi par les autres organisations syndicales. Un point qui fait l'unanimité des 4 organisations siégeant en CAPD tant l'injustice est flagrante.

    En 2019 les avis n'étaient plus contingentés et les taux étaient de 30%, 46 et 22%. Les recours étaient facilités.

    En 2020, les taux sont de 33%, 56% et 10%.

    Non seulement les ex-instituteurs et institutrices ont été contingentés, mais de surcroît ils sont susceptibles d'être « doublés » par un nombre de plus en plus important de collègues (+13% d'avis d'excellent en 2 ans).

    Notre hiérarchie nous explique aujourd'hui qu'un avis « satisfaisant » en 2020 est une alerte pour un collègue sur « sa manière de travailler » (10% de collègues en 2020). Or, en 2018, un avis satisfaisant reconnaissait un bon travail. C'est une dépréciation des avis rendus en 2018.

    Un IEN qui a face à lui un-e PE évalué-e « satisfaisant » doit savoir en quelle année il-elle a été évalué-e. En 2018, c'était un professionnel à la valeur reconnue, en 2020 un collègue en difficulté.

    Les avis doivent être révisables à la hausse, et non gravés dans le marbre.

    Pour le SNUDI-FO, il faut en finir avec PPCR ! Il s'agit avec ce protocole d'empêcher les ex-instituteurs et institutrices de partir en retraite plus tôt en minimisant leur carrière et en ayant contingenté les avis rendus en 2018.

    Rappelons-le, ces collègues ont souvent commencé leur carrière à 20 ou 21 ans.

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PPCR c'est l'école des territoires contre l'Ecole de la République !

Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui acte le gel du point d'indice qui serait relevé "en fonction des indicateurs macro-économiques". La crise sanitaire nous a donné raison : ces indicateurs ne sont jamais au vert pour les salariés.

Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui portait les prémices de la fin des CAPD (et donc de la défense collective de nos droits) en imposant "la simplification des instances représentatives du personnel".

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Quelques chiffres : 465 collègues sont promus cette année, contre 388 à la même époque l'année passée. Un ajustement aura lieu en septembre en fonction des départs en retraites, changements de corps des promus. Cette hausse est due à l'alignement 1er/2nd degré du taux de promus, revendication du SNUDI-FO. Depuis la création de la Hors-Classe (sous Jospin, ça ne date pas d'hier), les PE étaient lésés.

La première promue a un barème de 210, la dernière 150 avec une ancienneté de 12 ans dans le corps des PE.

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Mouvement.

De nombreux-ses collègues nous ont contactés pour faire part d'erreurs de barème dans leur fiche. Vérifiez votre barème si vous participez. Téléchargez le PDF et retournez-le.

Attention : contrairement aux années précédentes, tous les participant-es doivent renvoyer l'accusé de réception avec leur barème, que celui-ci soit correct ou erroné, avant le 12 juin aux services du mouvement, à l'adresse ce.i62dp-a2@ac-lille.fr à partir de leur adresse professionnelle.


 

La hors-classe : les dégâts de PPCR chez les ex-instituteurs-trices continuent.

En 2018, toute une « génération » de collègues était évaluée au débotté, sur dossier, livrée en pâture à l'avis subjectif de l'IEN avec des abus inqualifiables. Au rang de ces évalués, nombre d'ex-instituteurs et institutrices.

  • Ces collègues n'ont jamais pu faire valoir de recours car les avis étaient contingentés 20% « excellent », 40% « très satisfaisant », 40% « satisfaisant ». Faire monter un collègue d'une catégorie signifiait en rétrograder un autre pour respecter les taux. C'était l'argument qui nous était opposé quand nous avons demandé le réexamen des appréciations.

  • Certain-es, avec 20 de note et au 11ème échelon, n'obtenant que l'avis satisfaisant ont perdu un voire deux ans de promotion.

  • L'AGS ne concerne que le temps effectué dans le corps des PE. Le SNUDI a de suite revendiqué la prise en compte des années d'instituteur-trice, suivi par les autres organisations syndicales. Un point qui fait l'unanimité des 4 organisations siégeant en CAPD tant l'injustice est flagrante.

    En 2019 les avis n'étaient plus contingentés et les taux étaient de 30%, 46 et 22%. Les recours étaient facilités.

    En 2020, les taux sont de 33%, 56% et 10%.

    Non seulement les ex-instituteurs et institutrices ont été contingentés, mais de surcroît ils sont susceptibles d'être « doublés » par un nombre de plus en plus important de collègues (+13% d'avis d'excellent en 2 ans).

    Notre hiérarchie nous explique aujourd'hui qu'un avis « satisfaisant » en 2020 est une alerte pour un collègue sur « sa manière de travailler » (10% de collègues en 2020). Or, en 2018, un avis satisfaisant reconnaissait un bon travail. C'est une dépréciation des avis rendus en 2018.

    Un IEN qui a face à lui un-e PE évalué-e « satisfaisant » doit savoir en quelle année il-elle a été évalué-e. En 2018, c'était un professionnel à la valeur reconnue, en 2020 un collègue en difficulté.

    Les avis doivent être révisables à la hausse, et non gravés dans le marbre.

    Pour le SNUDI-FO, il faut en finir avec PPCR ! Il s'agit avec ce protocole d'empêcher les ex-instituteurs et institutrices de partir en retraite plus tôt en minimisant leur carrière et en ayant contingenté les avis rendus en 2018.

    Rappelons-le, ces collègues ont souvent commencé leur carrière à 20 ou 21 ans.

PPCR permet aussi des dispositifs d'accompagnement pour des collègues ou des écoles ciblés mais qui ne permettent aucune progression. PPCR, c'est l'inspection permanente mais sans possibilité de progrès !

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Vote lors de la CAPD hors-classe

Pour : SE                Abstention : SNU-iPP et SNE                      Contre : SNUDI-FO

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PPCR c'est l'école des territoires contre l'Ecole de la République !

Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui acte le gel du point d'indice qui serait relevé "en fonction des indicateurs macro-économiques". La crise sanitaire nous a donné raison : ces indicateurs ne sont jamais au vert pour les salariés.

Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui portait les prémices de la fin des CAPD (et donc de la défense collective de nos droits) en imposant "la simplification des instances représentatives du personnel".

La déclaration du SNUDI-FO ici

Quelques chiffres : 465 collègues sont promus cette année, contre 388 à la même époque l'année passée. Un ajustement aura lieu en septembre en fonction des départs en retraites, changements de corps des promus. Cette hausse est due à l'alignement 1er/2nd degré du taux de promus, revendication du SNUDI-FO. Depuis la création de la Hors-Classe (sous Jospin, ça ne date pas d'hier), les PE étaient lésés.

La première promue a un barème de 210, la dernière 150 avec une ancienneté de 12 ans dans le corps des PE.

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La crise du Covid : une aubaine pour détruire l'Ecole Républicaine.

La volonté de destruction des statuts, des missions, la mise sous tutelle par les mairies, rien ne nous serait épargné.

  • L'école mise sous la coupe des mairies : de nombreux-ses maires se sont immiscés dans le fonctionnement de l'école : horaires, jours d'ouverture, élèves accueillis, leur nombre. La territorialisation de l'école, nous n'en voulons pas !

  • Faire classe avec moins d'enseignant-es, c'est le but du 2S2C. Sur le temps scolaire, des intervenant-es mal payé-es, sans statut prendraient en charge des élèves. C'est la volonté de nous retirer ce qui fait l'essence de notre métier : la pluridisciplinarité. Nous n'aurions plus qu'à suivre les guides du Ministre toute la journée ?

  • La numérisation de l'enseignement: JM Blanquer l'a dit sur France-Inter, l'école de demain s'appuiera largement sur l'enseignement à distance. La belle affaire. Quand un enseignant suit 50 élèves il n'a pas d'autre choix que d'envoyer des fiches toutes prêtes pondues par des sites, on réalise alors des économies d'envergure. C'est l'expérience de nombre de nos collègues.

    • A l'initiative de FO, un vœu d'abandon de ce projet a été voté par FO, FSU et UNSA lors du CHSCT ministériel.

    Un groupe de hauts-fonctionnaires (DASEN, Recteurs, IEN, Inspecteurs Généraux) s'est d'ailleurs fendu d'une tribune dans laquelle il dénonce la destruction de l’École Républicaine par le Ministre Blanquer.

  • Le SNUDI-FO demande l'arrêt immédiat des projets 2S2C, des projets d'école autonome avec un sous-chef à sa tête.


Prime COVID : pas pour tout le monde...

Une prime, quelle qu'elle soit, ne masque pas les 18% de pouvoir d'achat perdus en 20 ans, le gel du point d'indice acté dans PPCR (les salaires seront réévalués en fonction des indicateurs macro-économiques, citation du protocole), l'indigence des primes de direction.

De plus, comme c'est la règle maintenant, cette prime de « surcroît de travail » oublie des catégories de personnels :

  • quid des directeurs-trices harassés de travail ? Rappelons qu'un de nos collègues à quelques semaines de la retraite s'est suicidé sur son lieu de travail à Saint-Laurent-du-Var.

  • Quid des collègues qui ont effectué 6 ou 7 demi-journées, qui ont quitté leur confinement 6 ou 7 fois au plus fort de la crise et qui percevront zéro euro ?

La prime Covid n'efface pas les revendications salariales !

Direction : communiqué des directeurs-trices du SNUDI-FO 62.

La crise du Covid a mis les directeurs-trices en première ligne : plus de 1000 courriels à traiter, des protocoles à mettre en place, subir la pression de certains IEN préférant «presser» nos collègues pour obtenir du Maire une réouverture que de décrocher leur propre téléphone...C'en est trop !

Les directeurs-trices sont des PE chargé-es de direction, pas des «femmes et hommes à tout faire » au service de l'IEN ou du Maire, ce que préfigure le statut.

Lire le communiqué des directrices et directeurs du SNUDI-FO 62 ici


AESH, toujours pas suffisamment de matériel.

Nos collègues AESH ne sont pas mieux loti-es, loin s'en faut. A ce jour, le matériel de protection promis n'est pas arrivé. On demande donc de « prioriser » les collègues AESH qui auraient à intervenir « physiquement » auprès des élèves en difficulté.

Un nouveau symptôme de l'impossibilité de tenir ce protocole qui nous prive de masques homologués, de dépistage mais aussi des matériels de base.

Le SNUDI-FO demande que nos collègues AESH soient équipés comme il l'avait été prévu.


ASA, protocole après le 2 juin : hâte et impréparation.

De nombreux collègues nous contactent pour savoir ce qu'il adviendra des autorisations d'absence, du télétravail après le 2 juin.

Notre fédération a posé la question au Ministère, réponse : à ce jour, on ne sait pas... Voilà qui coupe court au dialogue social et qui marque l'impréparation de la reprise du 2 juin. On en revient toujours à la même conclusion : ce gouvernement excelle à détruire (missions, statuts, l'école républicaine) mais peine à construire des réponse et protéger ses personnels.

Annoncer le jeudi 28 en soirée une réouverture le 2 juin en sachant que le lundi 1er est férié présage encore de ratés, dysfonctionnements mais aussi de courriels à toute heure du jour, de la nuit, du week-end.



Infos administratives : mouvement, Hors-Classe.

Mouvement : des modifications

  •  consultation du barème : à compter du vendredi 29 mai 16h00

  •  phase d'échange avec le service concernant le barème : du 29 mai au 12 juin

  •  retour du barème pour tous les participants (même si le candidat n'a pas fait de demande de modification) : au plus tard le 12 juin

  •  consultation du barème final : à partir du 16 juin

  •  consultation de l'affectation : à compter du mercredi 24 juin

Hors-Classe

La CAPD se tient le 2 juin, 14h30 et le Groupe de Travail s'est tenu hier. Nous reviendrons en détail sur le scandale des promotions de type « PPCR » : arbitraire, instituteur-trices doublement voire triplement lésés.

N'hésitez surtout pas à nous contacter pour vous renseigner sur les règles, les promotions.


 

Note : nous nous étions adressés au DASEN le vendredi 15 pour obtenir des réponses sur les questions autour du protocole, toujours pas de réponse malgré notre relance ce mardi...le dialogue social serait-il rompu à tous les étages de la hiérarchie ? Qu'on ne s'y trompe pas, ce ne sont pas QUE les syndicats qui sont méprisés, ce sont aussi tous les collègues dont nous relayons les questions, revendications et inquiétudes. Le nouveau monde ?

Le DASEN accorde une visio-conférence aux organisations syndicales cette après-midi ! Peut-être des réponses 15 jours plus tard.


 

Aujourd'hui, comment défendre les statuts, les salaires, les conditions de travail et les retraites, se défendre et ne pas rester isolé ?

En adhérant au SNUDI-FO !

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La crise du Covid : une aubaine pour détruire l'Ecole Républicaine.

La volonté de destruction des statuts, des missions, la mise sous tutelle par les mairies, rien ne nous serait épargné.

  • L'école mise sous la coupe des mairies : de nombreux-ses maires se sont immiscés dans le fonctionnement de l'école : horaires, jours d'ouverture, élèves accueillis, leur nombre. La territorialisation de l'école, nous n'en voulons pas !

  • Faire classe avec moins d'enseignant-es, c'est le but du 2S2C. Sur le temps scolaire, des intervenant-es mal payé-es, sans statut prendraient en charge des élèves. C'est la volonté de nous retirer ce qui fait l'essence de notre métier : la pluridisciplinarité. Nous n'aurions plus qu'à suivre les guides du Ministre toute la journée ?

  • La numérisation de l'enseignement: JM Blanquer l'a dit sur France-Inter, l'école de demain s'appuiera largement sur l'enseignement à distance. La belle affaire. Quand un enseignant suit 50 élèves il n'a pas d'autre choix que d'envoyer des fiches toutes prêtes pondues par des sites, on réalise alors des économies d'envergure. C'est l'expérience de nombre de nos collègues.

    • A l'initiative de FO, un vœu d'abandon de ce projet a été voté par FO, FSU et UNSA lors du CHSCT ministériel.

    Un groupe de hauts-fonctionnaires (DASEN, Recteurs, IEN, Inspecteurs Généraux) s'est d'ailleurs fendu d'une tribune dans laquelle il dénonce la destruction de l’École Républicaine par le Ministre Blanquer.

  • Le SNUDI-FO demande l'arrêt immédiat des projets 2S2C, des projets d'école autonome avec un sous-chef à sa tête.


Prime COVID : pas pour tout le monde...

Une prime, quelle qu'elle soit, ne masque pas les 18% de pouvoir d'achat perdus en 20 ans, le gel du point d'indice acté dans PPCR (les salaires seront réévalués en fonction des indicateurs macro-économiques, citation du protocole), l'indigence des primes de direction.

De plus, comme c'est la règle maintenant, cette prime de « surcroît de travail » oublie des catégories de personnels :

  • quid des directeurs-trices harassés de travail ? Rappelons qu'un de nos collègues à quelques semaines de la retraite s'est suicidé sur son lieu de travail à Saint-Laurent-du-Var.

  • Quid des collègues qui ont effectué 6 ou 7 demi-journées, qui ont quitté leur confinement 6 ou 7 fois au plus fort de la crise et qui percevront zéro euro ?

La prime Covid n'efface pas les revendications salariales !

Direction : communiqué des directeurs-trices du SNUDI-FO 62.

La crise du Covid a mis les directeurs-trices en première ligne : plus de 1000 courriels à traiter, des protocoles à mettre en place, subir la pression de certains IEN préférant «presser» nos collègues pour obtenir du Maire une réouverture que de décrocher leur propre téléphone...C'en est trop !

Les directeurs-trices sont des PE chargé-es de direction, pas des «femmes et hommes à tout faire » au service de l'IEN ou du Maire, ce que préfigure le statut.

Lire le communiqué des directrices et directeurs du SNUDI-FO 62 ici


AESH, toujours pas suffisamment de matériel.

Nos collègues AESH ne sont pas mieux loti-es, loin s'en faut. A ce jour, le matériel de protection promis n'est pas arrivé. On demande donc de « prioriser » les collègues AESH qui auraient à intervenir « physiquement » auprès des élèves en difficulté.

Un nouveau symptôme de l'impossibilité de tenir ce protocole qui nous prive de masques homologués, de dépistage mais aussi des matériels de base.

Le SNUDI-FO demande que nos collègues AESH soient équipés comme il l'avait été prévu.


ASA, protocole après le 2 juin : hâte et impréparation.

De nombreux collègues nous contactent pour savoir ce qu'il adviendra des autorisations d'absence, du télétravail après le 2 juin.

Notre fédération a posé la question au Ministère, réponse : à ce jour, on ne sait pas... Voilà qui coupe court au dialogue social et qui marque l'impréparation de la reprise du 2 juin. On en revient toujours à la même conclusion : ce gouvernement excelle à détruire (missions, statuts, l'école républicaine) mais peine à construire des réponse et protéger ses personnels.

Annoncer le jeudi 28 en soirée une réouverture le 2 juin en sachant que le lundi 1er est férié présage encore de ratés, dysfonctionnements mais aussi de courriels à toute heure du jour, de la nuit, du week-end.



Infos administratives : mouvement, Hors-Classe.

Mouvement : des modifications

  •  consultation du barème : à compter du vendredi 29 mai 16h00

  •  phase d'échange avec le service concernant le barème : du 29 mai au 12 juin

  •  retour du barème pour tous les participants (même si le candidat n'a pas fait de demande de modification) : au plus tard le 12 juin

  •  consultation du barème final : à partir du 16 juin

  •  consultation de l'affectation : à compter du mercredi 24 juin

Hors-Classe

La CAPD se tient le 2 juin, 14h30 et le Groupe de Travail s'est tenu hier. Nous reviendrons en détail sur le scandale des promotions de type « PPCR » : arbitraire, instituteur-trices doublement voire triplement lésés.

N'hésitez surtout pas à nous contacter pour vous renseigner sur les règles, les promotions.


 

Note : nous nous étions adressés au DASEN le vendredi 15 pour obtenir des réponses sur les questions autour du protocole, toujours pas de réponse malgré notre relance ce mardi...le dialogue social serait-il rompu à tous les étages de la hiérarchie ? Qu'on ne s'y trompe pas, ce ne sont pas QUE les syndicats qui sont méprisés, ce sont aussi tous les collègues dont nous relayons les questions, revendications et inquiétudes. Le nouveau monde ?

Le DASEN accorde une visio-conférence aux organisations syndicales cette après-midi ! Peut-être des réponses 15 jours plus tard.


 

Aujourd'hui, comment défendre les statuts, les salaires, les conditions de travail et les retraites, se défendre et ne pas rester isolé ?

En adhérant au SNUDI-FO !

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Le SNUDI-FO 62 s'adresse au DASEN : la défense des personnels comme seul  objectif.

Adjoint-es, directeurs-trices, CPC, ASH, personne n'échappe à la déréglementation !

A l'issue des premières journées de reprise en présentiel (et non pas des vacances), un nombre important de collègues nous a fait remonter des situations inquiétantes, tendant à balayer nos droits et nos statuts. Ici, ce sont des collègues d'IME appelés à faire le ménage à l'issue d'une journée continue de 6h30, là ce sont des IEN qui sollicitent quotidiennement les directeurs-trices afin qu'ils-elles obtiennent du une réouverture d'école.

Lire notre courrier ici

Le SNUDI est intervenu également auprès d'IEN pour que soient respectés les affectations (dans les RPI, notamment) et les temps partiels : aucun-e collègue ne peut être contraint-e de travailler les jours où il-elle n'est pas en classe ordinairement.

Ce lundi marque la réouverture de nombre d'écoles. Nous vous engageons à contacter le SNUDI-FO pour que nous intervenions sur toutes les situations anormales, tant sur le plan des droits et des statuts que sur le plan sanitaire.

Les CPC travaillent-ils chez UPS ? Nombre de nos collègues CPC se retrouvent obligés de livrer des cartons de masques à travers les circonscriptions sans indemnités kilométriques. Déjà privés d'ISAE, jusqu'où entend-on spolier ces personnels ? Le SNUDI-FO interviendra pour que ces personnels obtiennent les indemnités kilométriques qui leur sont dues.

La « souplesse » du protocole ne doit pas être utilisée contre les personnels.

Le SNUDI demande aussi l'extension du télétravail après le 2 juin et la possibilité de garder ses enfants, que ce soit par choix ou par contrainte.


 

Hors-Classe : les revendications demeurent.

Le Groupe de Travail sur la Hors-Classe se tiendra le jeudi 28 mai à 14h et la CAPD entérinant la liste des collègues promus le 2 juin à 14h, en visio-conférence. Les promotions à la Hors-Classe sont automatiques. N'hésitez pas à nous contacter pour tout renseignement à ce sujet.

La revendication du SNUDI-FO reste entière sur l'abrogation de PPCR. La hausse du taux de promu-es est l'arbre qui cache la forêt : destruction des statuts, évaluation à la tête du client, recours rendu extrêmement difficile, création d'un grade inatteignable pour l'écrasante majorité des PE, premières attaques contre la représentation des salarié-es...

Nous ne voulons pas d'une évaluation sur une grille dans laquelle notre « cœur de métier » est relégué au deuxième plan derrière la déontologie, les rapports avec la mairie, les parents : il s'agit d'évaluer notre servilité plus que nos compétences d'enseignant-e.

Nous ne voulons pas non plus de cette grille figée dès le neuvième échelon. Les avis restent gravés dans le marbre, les recours favorables se comptent en unités. Dès lors, toutes les inspections, suivis, visites, accompagnements se font sans espoir d'amélioration de l'évaluation. Pour le SNUDI-FO, les évaluations doivent être révisables à la hausse.

Nous demandons la reprise des années de service en qualité d'instituteur-trice dans l'ancienneté. A ce jour, seules les années de PE sont comptées. Ce sont de années de carrière gommées par PPCR qui font des instituteur-trices les grands perdants de PPCR.

La revendication reste entière également sur le retour des CAPD. Si le gouvernement s'entête dans sa volonté de détruire tous les recours possibles en détruisant nos garanties collectives, toutes les CAPD auront disparu en 2021.

Notons que si FO a refusé PPCR, c'est que son axe 3 prévoyait « la simplification des instances représentatives du personnel ». Nous n'avons pas scié la branche sur laquelle nous étions assis et qui nous permettait d'assurer le suivi et la défense des personnels.

Dussopt a enfoncé le clou avec « la loi de transformation de la fonction publique ».

Tout ce que vous devez savoir sur PPCR ici


 

Mouvement : envoyez vos fiches.

Même si les CAPD sur la mobilité des personnels sont d'ores et déjà supprimées, les recours restent possibles. Ils seront individuels et non collectifs. C'est la ligne de conduite de ce gouvernement : isoler les personnels face à l'administration et la hiérarchie en supprimant les droits collectifs et détruisant le lien entre les élus du personnel et les collègues.

Aucune attaque de cette envergure n'avait eu lieu contre les syndicats et les salarié-es qu'ils représentent depuis 1941. Le SNUDI-FO réclame le rétablissement immédiat des CAPD. On nous a couverts de louanges, il faut maintenant passer à l'acte et traduire les louanges en faits.

Renvoyez-nous vos fiches de synthèse !

Tout sur la liquidation des CAPD et de nos droits ici.


 

On nous ressort le statut du-de la directeur-trice : 89% des directeurs-trices n'en veulent pas !

Toujours guidé par sa volonté de destruction des statuts, le gouvernement ressort par la voix de ses député-es la carte du statut rejeté à une majorité écrasante des directeurs-trices.

Devenir un-e petit-e chef-fe local-e n'est pas le rêve de tout-e directeur-trice, loin s'en faut. A la faveur de la crise, le Ministère se rend compte qu'il faut un fusible supplémentaire à faire sauter en cas de coup dur. Pour l'instant le statut du directeur ne permet pas d'être fusible, on change la donne !

Aujourd'hui, notre employeur et notre supérieur hiérarchique sont garants de notre santé et de notre sécurité au travail. Demain, ce sera le directeur et sans aucun moyen.

Pour le SNUDI-FO, les directeur-trices ont besoin sans modification de leur statut (entre autres)

  • d'un temps de décharge amélioré

  • de 100 points d'indice tout de suite !

Lire notre communiqué "statut" ici

Notre 8 pages spécial "direction" en téléchargement ici !

Télé-RIS

Nous tiendrons une RIS pour tous les collègues du département par l'application Skype à 9h30 le 27 mai. Inscriptions avant mardi 26, 16h svp.

Inscrivez vous par mail contact@snudifo62.fr en précisant votre nom sur Skype et l'avatar ou identifiant en cas d'homonymie.

Aujourd'hui, comment défendre les statuts, les salaires, les conditions de travail et les retraites, se défendre et ne pas rester isolé ?

En adhérant au SNUDI-FO !

(l'adhésion est en année civile, contactez-nous pour toute adhésion en cours d'année)

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Le SNUDI-FO 62 s'adresse au DASEN : la défense des personnels comme seul  objectif.

Adjoint-es, directeurs-trices, CPC, ASH, personne n'échappe à la déréglementation !

A l'issue des premières journées de reprise en présentiel (et non pas des vacances), un nombre important de collègues nous a fait remonter des situations inquiétantes, tendant à balayer nos droits et nos statuts. Ici, ce sont des collègues d'IME appelés à faire le ménage à l'issue d'une journée continue de 6h30, là ce sont des IEN qui sollicitent quotidiennement les directeurs-trices afin qu'ils-elles obtiennent du une réouverture d'école.

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Le SNUDI est intervenu également auprès d'IEN pour que soient respectés les affectations (dans les RPI, notamment) et les temps partiels : aucun-e collègue ne peut être contraint-e de travailler les jours où il-elle n'est pas en classe ordinairement.

Ce lundi marque la réouverture de nombre d'écoles. Nous vous engageons à contacter le SNUDI-FO pour que nous intervenions sur toutes les situations anormales, tant sur le plan des droits et des statuts que sur le plan sanitaire.

Les CPC travaillent-ils chez UPS ? Nombre de nos collègues CPC se retrouvent obligés de livrer des cartons de masques à travers les circonscriptions sans indemnités kilométriques. Déjà privés d'ISAE, jusqu'où entend-on spolier ces personnels ? Le SNUDI-FO interviendra pour que ces personnels obtiennent les indemnités kilométriques qui leur sont dues.

La « souplesse » du protocole ne doit pas être utilisée contre les personnels.

Le SNUDI demande aussi l'extension du télétravail après le 2 juin et la possibilité de garder ses enfants, que ce soit par choix ou par contrainte.


 

Hors-Classe : les revendications demeurent.

Le Groupe de Travail sur la Hors-Classe se tiendra le jeudi 28 mai à 14h et la CAPD entérinant la liste des collègues promus le 2 juin à 14h, en visio-conférence. Les promotions à la Hors-Classe sont automatiques. N'hésitez pas à nous contacter pour tout renseignement à ce sujet.

La revendication du SNUDI-FO reste entière sur l'abrogation de PPCR. La hausse du taux de promu-es est l'arbre qui cache la forêt : destruction des statuts, évaluation à la tête du client, recours rendu extrêmement difficile, création d'un grade inatteignable pour l'écrasante majorité des PE, premières attaques contre la représentation des salarié-es...

Nous ne voulons pas d'une évaluation sur une grille dans laquelle notre « cœur de métier » est relégué au deuxième plan derrière la déontologie, les rapports avec la mairie, les parents : il s'agit d'évaluer notre servilité plus que nos compétences d'enseignant-e.

Nous ne voulons pas non plus de cette grille figée dès le neuvième échelon. Les avis restent gravés dans le marbre, les recours favorables se comptent en unités. Dès lors, toutes les inspections, suivis, visites, accompagnements se font sans espoir d'amélioration de l'évaluation. Pour le SNUDI-FO, les évaluations doivent être révisables à la hausse.

Nous demandons la reprise des années de service en qualité d'instituteur-trice dans l'ancienneté. A ce jour, seules les années de PE sont comptées. Ce sont de années de carrière gommées par PPCR qui font des instituteur-trices les grands perdants de PPCR.

La revendication reste entière également sur le retour des CAPD. Si le gouvernement s'entête dans sa volonté de détruire tous les recours possibles en détruisant nos garanties collectives, toutes les CAPD auront disparu en 2021.

Notons que si FO a refusé PPCR, c'est que son axe 3 prévoyait « la simplification des instances représentatives du personnel ». Nous n'avons pas scié la branche sur laquelle nous étions assis et qui nous permettait d'assurer le suivi et la défense des personnels.

Dussopt a enfoncé le clou avec « la loi de transformation de la fonction publique ».

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Mouvement : envoyez vos fiches.

Même si les CAPD sur la mobilité des personnels sont d'ores et déjà supprimées, les recours restent possibles. Ils seront individuels et non collectifs. C'est la ligne de conduite de ce gouvernement : isoler les personnels face à l'administration et la hiérarchie en supprimant les droits collectifs et détruisant le lien entre les élus du personnel et les collègues.

Aucune attaque de cette envergure n'avait eu lieu contre les syndicats et les salarié-es qu'ils représentent depuis 1941. Le SNUDI-FO réclame le rétablissement immédiat des CAPD. On nous a couverts de louanges, il faut maintenant passer à l'acte et traduire les louanges en faits.

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On nous ressort le statut du-de la directeur-trice : 89% des directeurs-trices n'en veulent pas !

Toujours guidé par sa volonté de destruction des statuts, le gouvernement ressort par la voix de ses député-es la carte du statut rejeté à une majorité écrasante des directeurs-trices.

Devenir un-e petit-e chef-fe local-e n'est pas le rêve de tout-e directeur-trice, loin s'en faut. A la faveur de la crise, le Ministère se rend compte qu'il faut un fusible supplémentaire à faire sauter en cas de coup dur. Pour l'instant le statut du directeur ne permet pas d'être fusible, on change la donne !

Aujourd'hui, notre employeur et notre supérieur hiérarchique sont garants de notre santé et de notre sécurité au travail. Demain, ce sera le directeur et sans aucun moyen.

Pour le SNUDI-FO, les directeur-trices ont besoin sans modification de leur statut (entre autres)

  • d'un temps de décharge amélioré

  • de 100 points d'indice tout de suite !

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Télé-RIS

Nous tiendrons une RIS pour tous les collègues du département par l'application Skype à 9h30 le 27 mai. Inscriptions avant mardi 26, 16h svp.

Inscrivez vous par mail contact@snudifo62.fr en précisant votre nom sur Skype et l'avatar ou identifiant en cas d'homonymie.

Aujourd'hui, comment défendre les statuts, les salaires, les conditions de travail et les retraites, se défendre et ne pas rester isolé ?

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ASA : le SNUDI et sa fédération interviennent, des avancées notables.

Depuis plusieurs jours, vous êtes (très) nombreux-ses à faire remonter des complications à faire valoir des ASA pour garde d'enfants. Trop souvent, la bienveillance et les louanges n'ont pas dépassé le cadre du discours convenu télévisuel. On refuserait aux enseignant-es les mêmes droits qu'aux autres salariés : pouvoir ne pas rescolariser nos enfants. 

 

Lors du CHSCT Ministériel du 5 mai, le DGRH (directeur général des ressources humaines) suite aux revendications et questions de la FNEC-FP-FO, a répondu en précisant quels personnels sont susceptibles de continuer le télétravail, et donc de bénéficier d'ASA.

1 - Les personnels (ou un membre de leur entourage) vulnérables au sens du décret n°2020-521 du 5 mai 2020 (consulter ici). Ces personnels doivent être obligatoirement autorisés à travailler en distanciel par l’IEN / DASEN / Recteur.

2 - Les personnels « anxieux » à l’idée de reprendre en présentiel ou ayant une pathologie autre que celle du champ défini par le décret n°2020-521 du 5 mai 2020 peuvent obtenir une autorisation de poursuivre leurs missions à distance. Ils présenteront à leur IEN / DASEN / Recteur un certificat médical de leur généraliste stipulant simplement « personne fragile devant restée éloignée de l’école/du poste de travail ». Le Ministre a confirmé lors de son audience avec la FNEC FP FO qu’il y aurait une bienveillance à l’égard de ces personnels.

3 - Les personnels qui n’ont pas de moyen de garde car l’école ou le niveau de classe de leur enfant est fermé ou qui décident de ne pas remettre leur enfant à l’école peuvent continuer le travail à distance.


En cas d'injonctions contraires aux réponses ministérielles, contactez-nous !

Réouverture des écoles / CTSD réouverture du 7 mai.

Pour le SNUDI-FO, nombre de revendications restent prégnantes et sans satisfaction dont les plus importantes sont la fourniture de vrais masques FFP2 (filtrant à 95% les virus contre 70% aux masques « ordinaires ») et le dépistage systématique des personnels.

Retrouvez l'intervention de notre Secrétaire Général sur France-Info

Pour le SNUDI-FO 62, la déclaration du ministre Véran sur France-Info « à vos ciseaux ! » est purement scandaleuse et tend à déresponsabiliser un peu plus les employeurs.

Le SNUDI-FO 62 a soumis un vœu au vote formulé en ces termes :

« Compte-tenu des risques encourus et afin de ramener la sérénité et la confiance nécessaires pour les enseignants, les élèves et les familles, le CTSD demande pour la reprise de l’école, que toutes les conditions sanitaires soient remplies : le dépistage systématique des élèves et des personnels, ainsi que la présence pour tous des équipements de protection réglementaires : masques homologués FFP, gants, gels, accès à l’eau, savon et serviettes jetables pour le lavage des mains, comme préalable »

Résultats du vote :

- pour : 4 voix FO + FSU

- refus de vote : 6 : SE-UNSA + SNE-SNALC

En outre, l'Inspecteur d'Académie nous a répondu lors de ce CTSD que 92 communes ont voté un arrêté de fermeture. D'autres communes ont annoncé qu'elle n'ouvriraient pas les écoles le 11 sans avoir encore transmis d'arrêté à l'IA. Selon l'IA cela représenterait environ 25% des écoles du Pas-de-Calais.

Notons que dans la plupart des écoles pour lesquelles nous avons des remontées, le nombre de familles volontaires et très restreint. L'absence de confiance dans ce protocole sanitaire est largement partagée par les familles.

Direction.

Le Ministre nous dit : « nous sommes en train d'inventer un système ». De quel système s'agit-il ? Un système dans lequel les directeurs-trices se verraient imposer un statut de fusible qu'ils-elles rejettent. Un système dans lequel des maires omnipotents imposeraient leurs décisions, réduisant à néant l'indépendance du Service Public vis à vis des politiques, ouvrant la porte au copinage politique ?

Non à la territorialisation de l'école, sous quelque forme que ce soit, non à un statut de "chef", ultime fusible des irresponsables qui, soulignons-le, projettent des lois d’auto-amnistie avec effet rétroactif.

Notre lettre au Ministre sur la direction ici

AESH.

Il y a un cadre !

Vous trouverez ici la note de service AESH de la Rectrice sur le travail des AESH. En cas de consignes qui vous sembleraient en contradiction avec cette note, contactez le SNUDI-FO.

Mouvement.

Nous vous engageons à envoyer copie de votre fiche mouvement au SNUDI-FO, avec votre barème. Même si le gouvernement a supprimé les CAPD, le SNUDI-FO continuera à défendre les intérêts des PE, clé de notre engagement auprès de vous.

Télé-RIS

Comme chaque mercredi, nous tiendrons une RIS pour tous les collègues du département par l'application Skype à 9h30 le 13 mai. Inscriptions avant mardi 12, 16h svp.

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Une question ?  Une information vous manque ? Adressez vous à vos délégué-es du SNUDI-FO !

Retrouvez nous sur notre site et sur Facebook !

Plus que jamais, adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !

Prenez soin de vous et de vos proches.

Adhérez via PayPal : nous ne pouvons pas nous rendre dans les bureaux F.O pour y retirer le courrier. Ils sont bien sûr fermés.

Rappel : ce mail est envoyé via une liste modérée, ne pas utiliser la fonction « répondre » qui est inopérante.

N’hésitez pas à faire appel à vos élus du SNUDI-FO pour tout problème :

Pour la CAPD : Adam BRICARD, Tél. 06 13 77 43 84 / Lucie ROZANES, Tél. 06 86 45 00 25

Pour le CTSD : Jean-Paul ROZANES, Tél. 06 33 05 50 58

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ASA : le SNUDI et sa fédération interviennent, des avancées notables.

Depuis plusieurs jours, vous êtes (très) nombreux-ses à faire remonter des complications à faire valoir des ASA pour garde d'enfants. Trop souvent, la bienveillance et les louanges n'ont pas dépassé le cadre du discours convenu télévisuel. On refuserait aux enseignant-es les mêmes droits qu'aux autres salariés : pouvoir ne pas rescolariser nos enfants. 

 

Lors du CHSCT Ministériel du 5 mai, le DGRH (directeur général des ressources humaines) suite aux revendications et questions de la FNEC-FP-FO, a répondu en précisant quels personnels sont susceptibles de continuer le télétravail, et donc de bénéficier d'ASA.

1 - Les personnels (ou un membre de leur entourage) vulnérables au sens du décret n°2020-521 du 5 mai 2020 (consulter ici). Ces personnels doivent être obligatoirement autorisés à travailler en distanciel par l’IEN / DASEN / Recteur.

2 - Les personnels « anxieux » à l’idée de reprendre en présentiel ou ayant une pathologie autre que celle du champ défini par le décret n°2020-521 du 5 mai 2020 peuvent obtenir une autorisation de poursuivre leurs missions à distance. Ils présenteront à leur IEN / DASEN / Recteur un certificat médical de leur généraliste stipulant simplement « personne fragile devant restée éloignée de l’école/du poste de travail ». Le Ministre a confirmé lors de son audience avec la FNEC FP FO qu’il y aurait une bienveillance à l’égard de ces personnels.

3 - Les personnels qui n’ont pas de moyen de garde car l’école ou le niveau de classe de leur enfant est fermé ou qui décident de ne pas remettre leur enfant à l’école peuvent continuer le travail à distance.


En cas d'injonctions contraires aux réponses ministérielles, contactez-nous !

Réouverture des écoles / CTSD réouverture du 7 mai.

Pour le SNUDI-FO, nombre de revendications restent prégnantes et sans satisfaction dont les plus importantes sont la fourniture de vrais masques FFP2 (filtrant à 95% les virus contre 70% aux masques « ordinaires ») et le dépistage systématique des personnels.

Retrouvez l'intervention de notre Secrétaire Général sur France-Info

Pour le SNUDI-FO 62, la déclaration du ministre Véran sur France-Info « à vos ciseaux ! » est purement scandaleuse et tend à déresponsabiliser un peu plus les employeurs.

Le SNUDI-FO 62 a soumis un vœu au vote formulé en ces termes :

« Compte-tenu des risques encourus et afin de ramener la sérénité et la confiance nécessaires pour les enseignants, les élèves et les familles, le CTSD demande pour la reprise de l’école, que toutes les conditions sanitaires soient remplies : le dépistage systématique des élèves et des personnels, ainsi que la présence pour tous des équipements de protection réglementaires : masques homologués FFP, gants, gels, accès à l’eau, savon et serviettes jetables pour le lavage des mains, comme préalable »

Résultats du vote :

- pour : 4 voix FO + FSU

- refus de vote : 6 : SE-UNSA + SNE-SNALC

En outre, l'Inspecteur d'Académie nous a répondu lors de ce CTSD que 92 communes ont voté un arrêté de fermeture. D'autres communes ont annoncé qu'elle n'ouvriraient pas les écoles le 11 sans avoir encore transmis d'arrêté à l'IA. Selon l'IA cela représenterait environ 25% des écoles du Pas-de-Calais.

Notons que dans la plupart des écoles pour lesquelles nous avons des remontées, le nombre de familles volontaires et très restreint. L'absence de confiance dans ce protocole sanitaire est largement partagée par les familles.

Direction.

Le Ministre nous dit : « nous sommes en train d'inventer un système ». De quel système s'agit-il ? Un système dans lequel les directeurs-trices se verraient imposer un statut de fusible qu'ils-elles rejettent. Un système dans lequel des maires omnipotents imposeraient leurs décisions, réduisant à néant l'indépendance du Service Public vis à vis des politiques, ouvrant la porte au copinage politique ?

Non à la territorialisation de l'école, sous quelque forme que ce soit, non à un statut de "chef", ultime fusible des irresponsables qui, soulignons-le, projettent des lois d’auto-amnistie avec effet rétroactif.

Notre lettre au Ministre sur la direction ici

AESH.

Il y a un cadre !

Vous trouverez ici la note de service AESH de la Rectrice sur le travail des AESH. En cas de consignes qui vous sembleraient en contradiction avec cette note, contactez le SNUDI-FO.

Mouvement.

Nous vous engageons à envoyer copie de votre fiche mouvement au SNUDI-FO, avec votre barème. Même si le gouvernement a supprimé les CAPD, le SNUDI-FO continuera à défendre les intérêts des PE, clé de notre engagement auprès de vous.

Télé-RIS

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Rappel : ce mail est envoyé via une liste modérée, ne pas utiliser la fonction « répondre » qui est inopérante.

N’hésitez pas à faire appel à vos élus du SNUDI-FO pour tout problème :

Pour la CAPD : Adam BRICARD, Tél. 06 13 77 43 84 / Lucie ROZANES, Tél. 06 86 45 00 25

Pour le CTSD : Jean-Paul ROZANES, Tél. 06 33 05 50 58

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Non à la réouverture des écoles, ce protocole est dangereux !

En l'état, le protocole de reprise du travail présenté par le ministère ne garantit pas une sécurité totale et les raisons en sont multiples, et entre autres:

> absence des masques FFP2, qui lors de l'épidémie de H1N1 devaient être distribués au personnels en cas de reprise de l'épidémie. Le Covid est bien plus virulent et dangereux. Comment se passer de ces masques ?

> Impossibilité de fait de contrôler le respect de la distanciation sociale chez les jeunes enfants. Pourquoi 10 enfants en crèche et 15 à l'école ?

Le 11 mai ou après… Pas de reprise sans dépistage systématique, sans tous les moyens de protection nécessaires !

C'est dans ce contexte que les enseignant-es doivent reprendre leur classe, emmenant avec eux-elles leurs propres enfants puisqu'on nous explique que nous ne pourrons plus rester en télé-travail pour garder nos enfants.

Ce serait donc à nous et à nos enfants de payer l'incurie et l'incompétence du gouvernement, qui, averti dès janvier de ces risques, va mettre plus de 4 mois pour nous donner des masques non réglementaires, voire nous annoncer le 11 qu'il n'en a pas et de nous tourner vers les supermarchés.

Des IEN tentent de bourrer les classes, 15 élèves, tous niveaux, dès le 12 mai, d'autres prétendent contraindre les collègues à exercer le télétravail depuis l'école et non leur domicile ! Contactez le SNUDI si des injonctions aussi stupides et dangereuses au regard de la situation sanitaire vous sont faites, contactez le SNUDI-FO.

Ce serait donc à nous d'organiser une garderie sans objectif pédagogique pour refaire redémarrer l'économie en jouant nos vies et celles de nos enfants ? 

Le SNUDI-FO n'accompagnera pas ce protocole, ni aujourd'hui, ni plus tard.

Face à cette décision mortifère, angoissante et mal préparée, le SNUDI-FO agit. Le SNUDI-FO

  • s'est adressé aux maires du département pour leur demander de ne pas engager leur responsabilité et celle des directeur-trices en ne rouvrant pas les écoles : lisez et faites circuler la lettre aux maires ici

  • met à votre disposition la fiche réglementaire. Tout manquement évident à la sécurité sanitaire doit être consigné, transmis à l'IEN par la voie hiérarchique et copie envoyée au SNUDI-FO (contact@snudifo62). Il faut remettre les IEN dans la chaîne hiérarchique ! 

C'est une première étape indispensable. La fiche est en page 3 du document. 

Accédez aux fiches ici. Ce registre doit être disponible dans votre école !

  • vous accompagnera, le cas échéant, dans une procédure de droit de retrait. Il s'agit d'une procédure très codifiée, ne vous passez pas du syndicat !

Se laver les mains : une injonction d'actualité bien comprise...les directeur-trices en première ligne.

D'entrée, le Covid-19 que nous contracterions sur notre lieu de travail ne sera pas considéré systématiquement comme maladie professionnelle. 

Celles et ceux qui subiraient des séquelles lourdes et des absences nombreuses ne seraient donc pas couvert-es par la maladie professionnelle. Le Ministère se lave les mains.

En rejetant sur les directeurs-trices et les maires la responsabilité de l'organisation du protocole sanitaire, toute la chaîne hiérarchique se dédouane d'éventuelles conséquences funestes.

La modification de la note de service de notre Dasen illustre parfaitement cela :

« les protocoles mis en œuvre en concertation avec les municipalités sont validés par l'IEN» devient : « les protocoles seront mis en œuvre avec la municipalité. Si des difficultés sont rencontrées, elles seront communiquées à l'IEN ».

C'est donc clair : les IEN ont obtenu qu'ils-elles ne soient pas les garant-es de ce protocole inapplicable. Nous comprenons parfaitement qu'eux-elles aussi revendiquent d'être tenu-es le plus à l'écart possible de ce capharnaüm dangereux.

Pour le SNUDI-FO, c'est une preuve supplémentaire que ce protocole est inapplicable et de nature à engager la responsabilité de celles et ceux qui le mettront en œuvre.

On cerne ainsi mieux ce que serait un statut de directeur-trice en cas de crise : l'ultime fusible d'une chaîne hiérarchique qui contraint et contrôle mais se déleste des responsabilités les plus lourdes: ce sont nos statuts qui volent en éclat.


 

Des maires sonnent l'alerte.

Conscients de l'irresponsabilité du gouvernement prêt à tous les sacrifices pour relancer la sacro-sainte économie, des maires de toute obédience politique refusent de rouvrir les écoles.

Dans notre département, la CALL (Communauté d'Agglomération Lens-Liévin, 36 communes et près de 250 000 habitants) a décidé de fermer les écoles. Bien sûr, les maires subissent les pressions de certains IEN pour ouvrir coûte que coûte, même si le coût, c'est notre santé. Des maires de communes rurales, en RPI ont également décidé de fermer. Ils mesurent l'impossibilité d'appliquer ce protocole.

Les 316 maires d’Île-de-France, dont celle de Paris, refusent d'ouvrir leurs écoles et demandent un report sine die pour les zones rouges. Ce sont des décisions empruntes de sagesse, qui visent à garantir notre sécurité et celle des usagers.


 

Mouvement intra 2020 : la zizanie.

Réduire les effectifs dans les hôpitaux a eu les conséquences qu'on a vues. Réduire les effectifs de nos collègues administratifs dans les DSDEN et Rectorats a également un impact.

Nous vous engageons à envoyer copie de votre fiche mouvement au SNUDI-FO même si le gouvernement dans sa folie destructrices des droits et des instances a supprimé les CAPD. Nous interviendrons sur toutes les remarques et contestations que vous voudriez émettre, ne restez pas seul-es.

Télé-RIS mercredi 6 à 9h30 via Skype.

Inscrivez-vous avant mardi 5 jusque 16h en communiquant le nom sous lequel vous êtes inscrit sur Skype voire votre avatar en cas d'homonymie. Pour une discussion efficace, le nombre de participant-es est limité.

Une question ?  Une information vous manque ? Adressez vous à vos délégué-es du SNUDI-FO !

Retrouvez nous sur notre site et sur Facebook !

Plus que jamais, adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !

Prenez soin de vous et de vos proches.

Adhérez via PayPal : nous ne pouvons pas nous rendre dans les bureaux F.O pour y retirer le courrier. Ils sont bien sûr fermés.

Rappel : ce mail est envoyé via une liste modérée, ne pas utiliser la fonction « répondre » qui est inopérante.

N’hésitez pas à faire appel à vos élus du SNUDI-FO pour tout problème :

Pour la CAPD : Adam BRICARD, Tél. 06 13 77 43 84 / Lucie ROZANES, Tél. 06 86 45 00 25

Pour le CTSD : Jean-Paul ROZANES, Tél. 06 33 05 50 58

Lire la suite Lire la suite

Non à la réouverture des écoles, ce protocole est dangereux !

En l'état, le protocole de reprise du travail présenté par le ministère ne garantit pas une sécurité totale et les raisons en sont multiples, et entre autres:

> absence des masques FFP2, qui lors de l'épidémie de H1N1 devaient être distribués au personnels en cas de reprise de l'épidémie. Le Covid est bien plus virulent et dangereux. Comment se passer de ces masques ?

> Impossibilité de fait de contrôler le respect de la distanciation sociale chez les jeunes enfants. Pourquoi 10 enfants en crèche et 15 à l'école ?

Le 11 mai ou après… Pas de reprise sans dépistage systématique, sans tous les moyens de protection nécessaires !

C'est dans ce contexte que les enseignant-es doivent reprendre leur classe, emmenant avec eux-elles leurs propres enfants puisqu'on nous explique que nous ne pourrons plus rester en télé-travail pour garder nos enfants.

Ce serait donc à nous et à nos enfants de payer l'incurie et l'incompétence du gouvernement, qui, averti dès janvier de ces risques, va mettre plus de 4 mois pour nous donner des masques non réglementaires, voire nous annoncer le 11 qu'il n'en a pas et de nous tourner vers les supermarchés.

Des IEN tentent de bourrer les classes, 15 élèves, tous niveaux, dès le 12 mai, d'autres prétendent contraindre les collègues à exercer le télétravail depuis l'école et non leur domicile ! Contactez le SNUDI si des injonctions aussi stupides et dangereuses au regard de la situation sanitaire vous sont faites, contactez le SNUDI-FO.

Ce serait donc à nous d'organiser une garderie sans objectif pédagogique pour refaire redémarrer l'économie en jouant nos vies et celles de nos enfants ? 

Le SNUDI-FO n'accompagnera pas ce protocole, ni aujourd'hui, ni plus tard.

Face à cette décision mortifère, angoissante et mal préparée, le SNUDI-FO agit. Le SNUDI-FO

  • s'est adressé aux maires du département pour leur demander de ne pas engager leur responsabilité et celle des directeur-trices en ne rouvrant pas les écoles : lisez et faites circuler la lettre aux maires ici

  • met à votre disposition la fiche réglementaire. Tout manquement évident à la sécurité sanitaire doit être consigné, transmis à l'IEN par la voie hiérarchique et copie envoyée au SNUDI-FO (contact@snudifo62). Il faut remettre les IEN dans la chaîne hiérarchique ! 

C'est une première étape indispensable. La fiche est en page 3 du document. 

Accédez aux fiches ici. Ce registre doit être disponible dans votre école !

  • vous accompagnera, le cas échéant, dans une procédure de droit de retrait. Il s'agit d'une procédure très codifiée, ne vous passez pas du syndicat !

Se laver les mains : une injonction d'actualité bien comprise...les directeur-trices en première ligne.

D'entrée, le Covid-19 que nous contracterions sur notre lieu de travail ne sera pas considéré systématiquement comme maladie professionnelle. 

Celles et ceux qui subiraient des séquelles lourdes et des absences nombreuses ne seraient donc pas couvert-es par la maladie professionnelle. Le Ministère se lave les mains.

En rejetant sur les directeurs-trices et les maires la responsabilité de l'organisation du protocole sanitaire, toute la chaîne hiérarchique se dédouane d'éventuelles conséquences funestes.

La modification de la note de service de notre Dasen illustre parfaitement cela :

« les protocoles mis en œuvre en concertation avec les municipalités sont validés par l'IEN» devient : « les protocoles seront mis en œuvre avec la municipalité. Si des difficultés sont rencontrées, elles seront communiquées à l'IEN ».

C'est donc clair : les IEN ont obtenu qu'ils-elles ne soient pas les garant-es de ce protocole inapplicable. Nous comprenons parfaitement qu'eux-elles aussi revendiquent d'être tenu-es le plus à l'écart possible de ce capharnaüm dangereux.

Pour le SNUDI-FO, c'est une preuve supplémentaire que ce protocole est inapplicable et de nature à engager la responsabilité de celles et ceux qui le mettront en œuvre.

On cerne ainsi mieux ce que serait un statut de directeur-trice en cas de crise : l'ultime fusible d'une chaîne hiérarchique qui contraint et contrôle mais se déleste des responsabilités les plus lourdes: ce sont nos statuts qui volent en éclat.


 

Des maires sonnent l'alerte.

Conscients de l'irresponsabilité du gouvernement prêt à tous les sacrifices pour relancer la sacro-sainte économie, des maires de toute obédience politique refusent de rouvrir les écoles.

Dans notre département, la CALL (Communauté d'Agglomération Lens-Liévin, 36 communes et près de 250 000 habitants) a décidé de fermer les écoles. Bien sûr, les maires subissent les pressions de certains IEN pour ouvrir coûte que coûte, même si le coût, c'est notre santé. Des maires de communes rurales, en RPI ont également décidé de fermer. Ils mesurent l'impossibilité d'appliquer ce protocole.

Les 316 maires d’Île-de-France, dont celle de Paris, refusent d'ouvrir leurs écoles et demandent un report sine die pour les zones rouges. Ce sont des décisions empruntes de sagesse, qui visent à garantir notre sécurité et celle des usagers.


 

Mouvement intra 2020 : la zizanie.

Réduire les effectifs dans les hôpitaux a eu les conséquences qu'on a vues. Réduire les effectifs de nos collègues administratifs dans les DSDEN et Rectorats a également un impact.

Nous vous engageons à envoyer copie de votre fiche mouvement au SNUDI-FO même si le gouvernement dans sa folie destructrices des droits et des instances a supprimé les CAPD. Nous interviendrons sur toutes les remarques et contestations que vous voudriez émettre, ne restez pas seul-es.

Télé-RIS mercredi 6 à 9h30 via Skype.

Inscrivez-vous avant mardi 5 jusque 16h en communiquant le nom sous lequel vous êtes inscrit sur Skype voire votre avatar en cas d'homonymie. Pour une discussion efficace, le nombre de participant-es est limité.

Une question ?  Une information vous manque ? Adressez vous à vos délégué-es du SNUDI-FO !

Retrouvez nous sur notre site et sur Facebook !

Plus que jamais, adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !

Prenez soin de vous et de vos proches.

Adhérez via PayPal : nous ne pouvons pas nous rendre dans les bureaux F.O pour y retirer le courrier. Ils sont bien sûr fermés.

Rappel : ce mail est envoyé via une liste modérée, ne pas utiliser la fonction « répondre » qui est inopérante.

N’hésitez pas à faire appel à vos élus du SNUDI-FO pour tout problème :

Pour la CAPD : Adam BRICARD, Tél. 06 13 77 43 84 / Lucie ROZANES, Tél. 06 86 45 00 25

Pour le CTSD : Jean-Paul ROZANES, Tél. 06 33 05 50 58

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Vers un Ministère de la Garderie Nationale ?

Les crèches, l'école primaire, ses enseignant-es et ses élèves sont sacrifiés sur l'autel de l'économie et de la finance. Les collégiens de 3ème ne reprendront pas, l'année du brevet mais les 6èmes oui alors qu’ils ont 3 ans pour combler le temps du confinement. 

Le projet de déconfinement n'est pas social : il ne privilégie pas les zones en éducation prioritaire ou l'ASH. Il s'agit en fait de garder les jeunes enfants ne pouvant pas se garder seuls, rien de plus, rien de moins.

Le 11 mai ou après… Pas de reprise sans dépistage systématique, sans tous les moyens de protection nécessaires !

Le projet de déconfinement permet aux patrons de contraindre les salarié-es à revenir travailler, les enfants étant « gardés ». Cette contrainte pèse sur nous également et pourrait nous priver du choix de scolariser ou pas nos propres enfants. L'égalité entre les citoyens est rompue. Notre secrétaire général Y.Veyrier a posé la question à Pénicaud qui n'a pas répondu.

Notons une fois de plus que les dernières informations du gouvernement étaient une vaste « fake new » avec un plan échelonné pour le retour des primaires sur 3 semaines et par demi-groupe qui s'est avéré contredit, comme c'était prévisible.

Très fort dans le domaine de la destruction (du Code du Travail, des retraites, de la liberté pédagogique...), ce gouvernement est incapable de construire des réponses cohérentes socialement et sanitairement efficaces en cas de crise.

La FNEC-FP-FO a lancé une procédure d'alerte lors du CHSCT ministériel permettant aux personnels d'exercer leur droit de retrait le cas échéant.

Lire ici la procédure d'alerte

Lire ici les premières analyses suite aux annonces du 1er ministre

Dernière minute : le maire de Liévin refuserait d'ouvrir les écoles de sa commune (information à confirmer)


 

Une organisation qui pèse sur les enseignant-es.

En rejetant l'organisation du déconfinement à « l'échelon local » sur les enseignant-es, la chaîne hiérarchique s'exonère des responsabilités pour lesquelles elle est rémunérée et son rôle se restreint au contrôle et à la contrainte.

C'est ainsi qu'on va faire reposer sur les directeur-trices et leurs équipes la responsabilité de l'accueil des élèves en toute sécurité, l'évaluation de la situation sanitaire, et en faire les boucs émissaires en cas de problème.

Dernière minute : une nouvelle forme du Covid semble s'attaquer aux jeunes enfants de 5 à 10 ans, le gouvernement doit revoir absolument sa copie sur la question de la réouverture des écoles ! Nous ne voulons pas endosser la responsabilité de la reprise si cette information est confirmée !

Lire cette nouvelle info ici : France Info

En faisant reprendre les élèves sur la base du volontariat, ce sont les parents qui doivent estimer si les conditions sanitaires sont remplies. Va-t-il nous falloir travailler une double journée pour ceux qui seront à l'école et ceux qui n'y seront pas ? Pour le SNUDI-FO, c'est inenvisageable.

Déjà 52 000 signatures à notre pétition : ajoutez la vôtre ! Pas de reprise sans garantie !


 

Enquêtes intrusives et personnels à risque(s).

Les enquêtes se multiplient pour savoir qui sera présent-e dans les écoles le 11.

Réglementairement, seuls les médecins de prévention sont habilités à enquêter et poser des questions sur votre santé, celle de vos enfants, de votre conjoint-e.

Vous pouvez indiquer que vous êtes personnel à risque mais ne remplissez pas les colonnes « observation », vous n'avez pas à divulguer à qui que ce soit, hors médecine de prévention, les raisons pour lesquelles vous êtes « personnel à risque ». Non au traçage !


 

Un avertissement venu de l'Ariège.

Dans le genre traçage, le DASEN de l'Ariège a demandé à ses IEN de constituer un fichier des enseignant-es les plus méritant-es lors du confinement et des autres.

Des fiches qui permettront de « garder mémoire nominative des engagements remarquables et remarqués ; l’inverse est aussi vrai… » (citation)

A l'inverse des annonces du Ministre Blanquer assurant bienveillance et recours au volontariat, nos collègues de l'Ariège pourraient ainsi se retrouver fichés au mépris des possibilités individuelles d'assurer le suivi à distance (maladie, garde d'enfants, disponibilité de matériel informatique, qualité de la connexion domestique, parents isolés...)

Certain-es utilisent donc la possibilité de constituer fichiers et bases de données. Pour les utiliser lors des rendez-vous de carrière ou de procédures de licenciement déguisées en ruptures conventionnelles ?

Rien de tel dans notre département mais nous vous invitons à nous faire remonter toute enquête, question ou questionnaire qui vous paraît inutile ou de nature à constituer un fichier.

Les méthodes managériales de la « start-up nation » nuisent gravement au service public et à ses agents. Ce sont ces méthodes néo-libérales brutales et hostiles aux fonctionnaires qui ont fait de la France un des pays les plus touchés par le virus.

Le SNUDI-FO s'engage pour que nos droits, nos statuts et l'obligation faite à notre employeur de garantir notre sécurité ne soient pas définitivement pulvérisés sous couvert d'urgence sanitaire.

Plus que jamais, adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !

Prenez soin de vous et de vos proches.

Adhérez via PayPal : nous ne pouvons pas nous rendre dans les bureaux F.O pour y retirer le courrier. Ils sont bien sûr fermés.

Rappel : ce mail est envoyé via une liste modérée, ne pas utiliser la fonction « répondre » qui est inopérante.

N’hésitez pas à faire appel à vos élus du SNUDI-FO pour tout problème :

Pour la CAPD : Adam BRICARD, Tél. 06 13 77 43 84 / Lucie ROZANES, Tél. 06 86 45 00 25

Pour le CTSD : Jean-Paul ROZANES, Tél. 06 33 05 50 58

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Vers un Ministère de la Garderie Nationale ?

Les crèches, l'école primaire, ses enseignant-es et ses élèves sont sacrifiés sur l'autel de l'économie et de la finance. Les collégiens de 3ème ne reprendront pas, l'année du brevet mais les 6èmes oui alors qu’ils ont 3 ans pour combler le temps du confinement. 

Le projet de déconfinement n'est pas social : il ne privilégie pas les zones en éducation prioritaire ou l'ASH. Il s'agit en fait de garder les jeunes enfants ne pouvant pas se garder seuls, rien de plus, rien de moins.

Le 11 mai ou après… Pas de reprise sans dépistage systématique, sans tous les moyens de protection nécessaires !

Le projet de déconfinement permet aux patrons de contraindre les salarié-es à revenir travailler, les enfants étant « gardés ». Cette contrainte pèse sur nous également et pourrait nous priver du choix de scolariser ou pas nos propres enfants. L'égalité entre les citoyens est rompue. Notre secrétaire général Y.Veyrier a posé la question à Pénicaud qui n'a pas répondu.

Notons une fois de plus que les dernières informations du gouvernement étaient une vaste « fake new » avec un plan échelonné pour le retour des primaires sur 3 semaines et par demi-groupe qui s'est avéré contredit, comme c'était prévisible.

Très fort dans le domaine de la destruction (du Code du Travail, des retraites, de la liberté pédagogique...), ce gouvernement est incapable de construire des réponses cohérentes socialement et sanitairement efficaces en cas de crise.

La FNEC-FP-FO a lancé une procédure d'alerte lors du CHSCT ministériel permettant aux personnels d'exercer leur droit de retrait le cas échéant.

Lire ici la procédure d'alerte

Lire ici les premières analyses suite aux annonces du 1er ministre

Dernière minute : le maire de Liévin refuserait d'ouvrir les écoles de sa commune (information à confirmer)


 

Une organisation qui pèse sur les enseignant-es.

En rejetant l'organisation du déconfinement à « l'échelon local » sur les enseignant-es, la chaîne hiérarchique s'exonère des responsabilités pour lesquelles elle est rémunérée et son rôle se restreint au contrôle et à la contrainte.

C'est ainsi qu'on va faire reposer sur les directeur-trices et leurs équipes la responsabilité de l'accueil des élèves en toute sécurité, l'évaluation de la situation sanitaire, et en faire les boucs émissaires en cas de problème.

Dernière minute : une nouvelle forme du Covid semble s'attaquer aux jeunes enfants de 5 à 10 ans, le gouvernement doit revoir absolument sa copie sur la question de la réouverture des écoles ! Nous ne voulons pas endosser la responsabilité de la reprise si cette information est confirmée !

Lire cette nouvelle info ici : France Info

En faisant reprendre les élèves sur la base du volontariat, ce sont les parents qui doivent estimer si les conditions sanitaires sont remplies. Va-t-il nous falloir travailler une double journée pour ceux qui seront à l'école et ceux qui n'y seront pas ? Pour le SNUDI-FO, c'est inenvisageable.

Déjà 52 000 signatures à notre pétition : ajoutez la vôtre ! Pas de reprise sans garantie !


 

Enquêtes intrusives et personnels à risque(s).

Les enquêtes se multiplient pour savoir qui sera présent-e dans les écoles le 11.

Réglementairement, seuls les médecins de prévention sont habilités à enquêter et poser des questions sur votre santé, celle de vos enfants, de votre conjoint-e.

Vous pouvez indiquer que vous êtes personnel à risque mais ne remplissez pas les colonnes « observation », vous n'avez pas à divulguer à qui que ce soit, hors médecine de prévention, les raisons pour lesquelles vous êtes « personnel à risque ». Non au traçage !


 

Un avertissement venu de l'Ariège.

Dans le genre traçage, le DASEN de l'Ariège a demandé à ses IEN de constituer un fichier des enseignant-es les plus méritant-es lors du confinement et des autres.

Des fiches qui permettront de « garder mémoire nominative des engagements remarquables et remarqués ; l’inverse est aussi vrai… » (citation)

A l'inverse des annonces du Ministre Blanquer assurant bienveillance et recours au volontariat, nos collègues de l'Ariège pourraient ainsi se retrouver fichés au mépris des possibilités individuelles d'assurer le suivi à distance (maladie, garde d'enfants, disponibilité de matériel informatique, qualité de la connexion domestique, parents isolés...)

Certain-es utilisent donc la possibilité de constituer fichiers et bases de données. Pour les utiliser lors des rendez-vous de carrière ou de procédures de licenciement déguisées en ruptures conventionnelles ?

Rien de tel dans notre département mais nous vous invitons à nous faire remonter toute enquête, question ou questionnaire qui vous paraît inutile ou de nature à constituer un fichier.

Les méthodes managériales de la « start-up nation » nuisent gravement au service public et à ses agents. Ce sont ces méthodes néo-libérales brutales et hostiles aux fonctionnaires qui ont fait de la France un des pays les plus touchés par le virus.

Le SNUDI-FO s'engage pour que nos droits, nos statuts et l'obligation faite à notre employeur de garantir notre sécurité ne soient pas définitivement pulvérisés sous couvert d'urgence sanitaire.

Plus que jamais, adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !

Prenez soin de vous et de vos proches.

Adhérez via PayPal : nous ne pouvons pas nous rendre dans les bureaux F.O pour y retirer le courrier. Ils sont bien sûr fermés.

Rappel : ce mail est envoyé via une liste modérée, ne pas utiliser la fonction « répondre » qui est inopérante.

N’hésitez pas à faire appel à vos élus du SNUDI-FO pour tout problème :

Pour la CAPD : Adam BRICARD, Tél. 06 13 77 43 84 / Lucie ROZANES, Tél. 06 86 45 00 25

Pour le CTSD : Jean-Paul ROZANES, Tél. 06 33 05 50 58

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Le 11 mai ou après… Pas de reprise sans dépistage systématique, sans tous les moyens de protection nécessaires !

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Le 11 mai ou après… Pas de reprise sans dépistage systématique, sans tous les moyens de protection nécessaires !

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L'école n'est pas la garderie du MEDEF !

Roux-de Bézieux, patron du MEDEF, s'illustre tristement depuis le confinement. D'abord en appelant de ses vœux une démocratie plus coercitive, à l'image de ce qui se passe en Chine pour faire appliquer le confinement (Ouest-France, 25 mars).

Ensuite en multipliant les voyages entre Paris et son manoir du Croisic (id), violant sans vergogne le confinement.

Finalement, il préconise le démantèlement total du Code du Travail, en demandant aux catégories sociales les plus éprouvées de travailler encore plus.

Il est aujourd'hui celui qui souffle à l'oreille du gouvernement en préconisant une sortie du confinement rapide.

Bien sûr, il faudra garder les enfants, lesquels deviendront le principal vecteur épidémique. Pour preuve, l'enseignement supérieur en a fini avec l'année scolaire en présentiel: les étudiants peuvent « se garder » seuls …

Évidemment, on nous met en danger sciemment puisqu'on interdit dans le même temps la réouverture des restaurants, salles de sport...

C'est la vision de l'école de ce gouvernement : un outil au service du MEDEF et les intérêts privés alors qu'hier le sinistre record de morts du Covid a été battu.

La FNEC-FP-FO engage d'ores et déjà celles et ceux qui estimeront ne pas être en sécurité lors de la reprise à faire valoir leur droit de retrait.

Notre fédération a aussi déposé un préavis de grève jusqu'au 30 mai.

Lire le communiqué de notre fédération ici


 

Nos vies et notre santé d'abord.

Aucune reprise ne pourra se faire sans masques, sans savon ou gel hydroalcoolique, sans gants, sans protection digne de ce nom, sans nettoyage des locaux avec des produits adaptés.

Aucune reprise ne pourra se faire non plus sans dépistage massif.

Comment planifier l'accueil de classes complètes ou partielles, de petits de 2 ou 3 ans (dont certains ont été terrorisés par la vision de leur maîtresse avec un masque), le fonctionnement des transports scolaires, la restauration collective, les garderies, la reprise des élèves à la sortie...Autant de questions qui restent sans réponse.

Les irresponsables d'hier peuvent-ils devenir les garants de notre santé aujourd'hui ? Le doute est légitime.

Notre déclaration au Comité Hygiène et Sécurité Ministériel


 

Direction : en vacances !

Et puis quoi encore ?

Le temps de la bienveillance est-il révolu ? Après avoir reçu louanges et remerciements, les enquêtes semblent continuer durant les vacances.

Prenons acte du message de Mme Cabuil, Rectrice « prenez un peu de repos ! ». Un peu, c'est deux semaines durant lesquelles nombre d'entre nous, directeur-trices ou adjoint-es vont préparer leur classe "distancielle".

Le premier repos, après avoir passé pour la plupart d'entre nous, de longues heures devant des écrans, c'est le droit à la déconnexion.

Adressez vous à vos délégué-es du SNUDI-FO en cas de problème.


 

Les jours heureux... l'imposture télévisée.

L'allocution présidentielle contenait en sa fin l'étonnant « nous retrouverons les jours heureux ».

Le programme du Conseil National de la Résistance (CNR) s'appelait à l'origine « les jours heureux ». Il mettait en place la retraite par répartition, un service public indépendant, l'indemnisation du chômage, la Sécu...

C'est précisément tout ce que ce gouvernement veut détruire reprenant à son compte une fois encore l'idée du MEDEF. (Denis Kessler, vice-président du MEDEF en octobre 2007 : "il s'agit de défaire méthodiquement le programme du CNR", revue Challenges)

Chef de l’État ou ministre du gouvernement précédent, E. Macron a continué et accentué la casse du service public engagée par ses prédécesseurs.

De l'hôpital au lycée en passant par les préfectures, aucun service de l’État n'a échappé à la folie destructrice néo-libérale.

L'actuel président a été l'instigateur de la loi El Khomri, il a voulu la loi Dussopt qui désosse la Fonction Publique, il a voulu la casse du système de retraite par répartition, et le prochain chantier reste la privatisation de la Sécurité Sociale.

Qu'il reprenne aujourd'hui à son compte ce que nos prédécesseurs ont créé, ce que nous défendons depuis toujours est scandaleux.

IL N'Y A PAS DE REPUBLIQUE SANS SERVICE PUBLIC reste le leitmotiv de Force Ouvrière.

Pour défendre la Fonction Publique, les conquêtes sociales, notre statut, il y a Force Ouvrière.

Dégel du point d'indice pour toutes et tous.

Création de postes à hauteur des besoins.

Une vraie médecine du travail.

Abandon de la loi scélérate sur les retraites.

A l'heure où les économistes annoncent une baisse du PIB de 6 à 8 %, on mesure quel serait l'impact sur nos retraites de cette baisse. (rappel : le projet de loi prévoit de limiter la masse des retraites à 13,8% du PIB, quels que soient le nombre de retraités et la valeur du PIB)


 

Plus que jamais, adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !

Vous pouvez compter sur le SNUDI-FO !

Vos délégué-es de secteur SNUDI-FO restent à votre entière disposition y compris durant les vacances.

Prenez soin de vous et de vos proches.


Adhérez via PayPal : nous ne pouvons pas nous rendre dans les bureaux F.O pour y retirer le courrier. Ils sont bien sûr fermés.

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L'école n'est pas la garderie du MEDEF !

Roux-de Bézieux, patron du MEDEF, s'illustre tristement depuis le confinement. D'abord en appelant de ses vœux une démocratie plus coercitive, à l'image de ce qui se passe en Chine pour faire appliquer le confinement (Ouest-France, 25 mars).

Ensuite en multipliant les voyages entre Paris et son manoir du Croisic (id), violant sans vergogne le confinement.

Finalement, il préconise le démantèlement total du Code du Travail, en demandant aux catégories sociales les plus éprouvées de travailler encore plus.

Il est aujourd'hui celui qui souffle à l'oreille du gouvernement en préconisant une sortie du confinement rapide.

Bien sûr, il faudra garder les enfants, lesquels deviendront le principal vecteur épidémique. Pour preuve, l'enseignement supérieur en a fini avec l'année scolaire en présentiel: les étudiants peuvent « se garder » seuls …

Évidemment, on nous met en danger sciemment puisqu'on interdit dans le même temps la réouverture des restaurants, salles de sport...

C'est la vision de l'école de ce gouvernement : un outil au service du MEDEF et les intérêts privés alors qu'hier le sinistre record de morts du Covid a été battu.

La FNEC-FP-FO engage d'ores et déjà celles et ceux qui estimeront ne pas être en sécurité lors de la reprise à faire valoir leur droit de retrait.

Notre fédération a aussi déposé un préavis de grève jusqu'au 30 mai.

Lire le communiqué de notre fédération ici


 

Nos vies et notre santé d'abord.

Aucune reprise ne pourra se faire sans masques, sans savon ou gel hydroalcoolique, sans gants, sans protection digne de ce nom, sans nettoyage des locaux avec des produits adaptés.

Aucune reprise ne pourra se faire non plus sans dépistage massif.

Comment planifier l'accueil de classes complètes ou partielles, de petits de 2 ou 3 ans (dont certains ont été terrorisés par la vision de leur maîtresse avec un masque), le fonctionnement des transports scolaires, la restauration collective, les garderies, la reprise des élèves à la sortie...Autant de questions qui restent sans réponse.

Les irresponsables d'hier peuvent-ils devenir les garants de notre santé aujourd'hui ? Le doute est légitime.

Notre déclaration au Comité Hygiène et Sécurité Ministériel


 

Direction : en vacances !

Et puis quoi encore ?

Le temps de la bienveillance est-il révolu ? Après avoir reçu louanges et remerciements, les enquêtes semblent continuer durant les vacances.

Prenons acte du message de Mme Cabuil, Rectrice « prenez un peu de repos ! ». Un peu, c'est deux semaines durant lesquelles nombre d'entre nous, directeur-trices ou adjoint-es vont préparer leur classe "distancielle".

Le premier repos, après avoir passé pour la plupart d'entre nous, de longues heures devant des écrans, c'est le droit à la déconnexion.

Adressez vous à vos délégué-es du SNUDI-FO en cas de problème.


 

Les jours heureux... l'imposture télévisée.

L'allocution présidentielle contenait en sa fin l'étonnant « nous retrouverons les jours heureux ».

Le programme du Conseil National de la Résistance (CNR) s'appelait à l'origine « les jours heureux ». Il mettait en place la retraite par répartition, un service public indépendant, l'indemnisation du chômage, la Sécu...

C'est précisément tout ce que ce gouvernement veut détruire reprenant à son compte une fois encore l'idée du MEDEF. (Denis Kessler, vice-président du MEDEF en octobre 2007 : "il s'agit de défaire méthodiquement le programme du CNR", revue Challenges)

Chef de l’État ou ministre du gouvernement précédent, E. Macron a continué et accentué la casse du service public engagée par ses prédécesseurs.

De l'hôpital au lycée en passant par les préfectures, aucun service de l’État n'a échappé à la folie destructrice néo-libérale.

L'actuel président a été l'instigateur de la loi El Khomri, il a voulu la loi Dussopt qui désosse la Fonction Publique, il a voulu la casse du système de retraite par répartition, et le prochain chantier reste la privatisation de la Sécurité Sociale.

Qu'il reprenne aujourd'hui à son compte ce que nos prédécesseurs ont créé, ce que nous défendons depuis toujours est scandaleux.

IL N'Y A PAS DE REPUBLIQUE SANS SERVICE PUBLIC reste le leitmotiv de Force Ouvrière.

Pour défendre la Fonction Publique, les conquêtes sociales, notre statut, il y a Force Ouvrière.

Dégel du point d'indice pour toutes et tous.

Création de postes à hauteur des besoins.

Une vraie médecine du travail.

Abandon de la loi scélérate sur les retraites.

A l'heure où les économistes annoncent une baisse du PIB de 6 à 8 %, on mesure quel serait l'impact sur nos retraites de cette baisse. (rappel : le projet de loi prévoit de limiter la masse des retraites à 13,8% du PIB, quels que soient le nombre de retraités et la valeur du PIB)


 

Plus que jamais, adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !

Vous pouvez compter sur le SNUDI-FO !

Vos délégué-es de secteur SNUDI-FO restent à votre entière disposition y compris durant les vacances.

Prenez soin de vous et de vos proches.


Adhérez via PayPal : nous ne pouvons pas nous rendre dans les bureaux F.O pour y retirer le courrier. Ils sont bien sûr fermés.

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Vacances apprenantes : encore culpabiliser l'Ecole et ses enseignant-es !

Dans la logique du « en même temps » qui permet de dire dans une même phrase tout et son contraire, le Ministère lance les « vacances apprenantes ».

La crise sanitaire permet de se rendre compte que l'hôpital a été sacrifié sur l'autel de la rentabilité.

La crise sanitaire permet à la hiérarchie de se rendre compte que 15% des français vivent sous le seuil de pauvreté (un peu plus de 20% dans le Pas-de-Calais, cinquième département le plus pauvre de France métropolitaine selon l'INSEE). Avec bien sûr les conséquences pour nos élèves et leurs familles : fracture numérique, difficultés d'accompagnement...

Le travail durant les vacances ne résoudra pas précarité et fracture numérique !

La formulation "ne laissons personne au bord du chemin" vise à nous culpabiliser alors que depuis 4 semaines chacun se démène avec son matériel personnel et sa situation particulière, parfois difficile.

Ce genre de pratique culpabilisante est tout bonnement scandaleux !

L’École et ses enseignant-es doivent-ils (encore) résoudre un problème qu'ils n'ont pas créé qui vient des injustices des politiques publiques ?

Creuser le fossé : c'est tout ce que peuvent permettre les « vacances apprenantes ».

Nos revendications restent prégnantes: des postes, des politiques publiques justes, des moyens de travailler avec des classes moins chargées, le respect de la liberté pédagogique.

En cas de pression, n'hésitez pas à contacter vos délégués SNUDI-FO, y compris durant les vacances.


 

Direction : encore une promesse qui vole en éclat.

En hiver, le Ministre promet le gel des enquêtes, c'est de saison. Mais au printemps, c'est le dégel...

Le temps des promesses est révolu: certain-es ont pu croire que les conditions de travail des directeur-trices constituaient une préoccupation pour notre Ministère.

Hélas non. La crise sanitaire est non seulement une aubaine pour la déréglementation, mais elle est aussi génératrice d'enquêtes souvent chronophages et d'une utilité toute relative.

Histoire de s'assurer que les directeur-trices sont bien au travail...

Ces enquêtes ne peuvent pas avoir de caractère réglementaire.

Quand il s'agit de gérer les coups durs, on renvoie immédiatement à l'échelon local : toute la responsabilité pèse alors sur les directeur-trices. Les directeur-trices sont donc aptes à juger lesquelles de ces enquêtes sont indispensables à la bonne marche de l'école et lesquelles constituent une charge de travail inutile.

Lire le communiqué du SNUDI-FO ici

CTSD

Au CTM (Comité Technique Ministériel), les représentants Force Ouvrière n'ont cessé de réclamer l'abandon des fermetures, d'autant plus que la crise du Covid-19 nécessitera des moyens à la rentrée 2020.

Le Pas-de-Calais devait souffrir d'un retrait de 53 postes. Il n'y aura en fait aucun retrait d'emploi.

Néanmoins, les ouvertures à un endroit devront être compensées par des fermetures ailleurs. Ce n'est donc pas un abandon total des fermetures.

Nous avons été partiellement entendus. Partiellement, puisque le maintien n'améliorera pas la situation du remplacement, par exemple, qui a été très difficile cet hiver. Nous demandions l'abandon des fermetures.

Affaire à suivre aussi l'année prochaine: paierons-nous cash cette « largesse » en septembre 2021 ?

Le CTSD se tient le 17 avril. Vous en retrouverez le compte-rendu sur notre site.

Lire le communiqué "postes" ici

Force Ouvrière s'adresse à la Rectrice: nos revendications sont légitimes.

Une visioconférence s'est tenue avec la Rectrice jeudi 3 avril. Le SNUDI-FO a transmis à la Rectrice nombre de remontées de terrain et de revendications.

La Rectrice a reconnu qu'elles étaient légitimes et que certaines consignes posaient problème :

  • divulgation des numéros de téléphone des directeur-trices et/ou adjoint-es

  • la connexion depuis des outils personnels

  • la fracture numérique dans certaines familles...

La position du SNUDI-FO reste la même : on fait ce qu'on peut, quand on le peut, avec les moyens dont on dispose.

Nul-le n'est tenu-e de communiquer avec son téléphone personnel, de devoir divulguer son numéro pour recevoir des SMS. Ce serait exposer inutilement les personnels au harcèlement, aux coups de fils impromptus hors temps de travail.

En cas de doute, de question, de consignes abusives, adressez-vous à vos délégué-es du SNUDI-FO.

Vos délégué-es de secteur SNUDI-FO restent à votre entière disposition y compris durant les vacances.

Les vacances militantes !

Prenez soin de vous et de vos proches.


Adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !

Adhérez via PayPal : nous ne pouvons pas nous rendre dans les bureaux F.O pour y retirer le courrier. Ils sont bien sûr fermés.

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Vacances apprenantes : encore culpabiliser l'Ecole et ses enseignant-es !

Dans la logique du « en même temps » qui permet de dire dans une même phrase tout et son contraire, le Ministère lance les « vacances apprenantes ».

La crise sanitaire permet de se rendre compte que l'hôpital a été sacrifié sur l'autel de la rentabilité.

La crise sanitaire permet à la hiérarchie de se rendre compte que 15% des français vivent sous le seuil de pauvreté (un peu plus de 20% dans le Pas-de-Calais, cinquième département le plus pauvre de France métropolitaine selon l'INSEE). Avec bien sûr les conséquences pour nos élèves et leurs familles : fracture numérique, difficultés d'accompagnement...

Le travail durant les vacances ne résoudra pas précarité et fracture numérique !

La formulation "ne laissons personne au bord du chemin" vise à nous culpabiliser alors que depuis 4 semaines chacun se démène avec son matériel personnel et sa situation particulière, parfois difficile.

Ce genre de pratique culpabilisante est tout bonnement scandaleux !

L’École et ses enseignant-es doivent-ils (encore) résoudre un problème qu'ils n'ont pas créé qui vient des injustices des politiques publiques ?

Creuser le fossé : c'est tout ce que peuvent permettre les « vacances apprenantes ».

Nos revendications restent prégnantes: des postes, des politiques publiques justes, des moyens de travailler avec des classes moins chargées, le respect de la liberté pédagogique.

En cas de pression, n'hésitez pas à contacter vos délégués SNUDI-FO, y compris durant les vacances.


 

Direction : encore une promesse qui vole en éclat.

En hiver, le Ministre promet le gel des enquêtes, c'est de saison. Mais au printemps, c'est le dégel...

Le temps des promesses est révolu: certain-es ont pu croire que les conditions de travail des directeur-trices constituaient une préoccupation pour notre Ministère.

Hélas non. La crise sanitaire est non seulement une aubaine pour la déréglementation, mais elle est aussi génératrice d'enquêtes souvent chronophages et d'une utilité toute relative.

Histoire de s'assurer que les directeur-trices sont bien au travail...

Ces enquêtes ne peuvent pas avoir de caractère réglementaire.

Quand il s'agit de gérer les coups durs, on renvoie immédiatement à l'échelon local : toute la responsabilité pèse alors sur les directeur-trices. Les directeur-trices sont donc aptes à juger lesquelles de ces enquêtes sont indispensables à la bonne marche de l'école et lesquelles constituent une charge de travail inutile.

Lire le communiqué du SNUDI-FO ici

CTSD

Au CTM (Comité Technique Ministériel), les représentants Force Ouvrière n'ont cessé de réclamer l'abandon des fermetures, d'autant plus que la crise du Covid-19 nécessitera des moyens à la rentrée 2020.

Le Pas-de-Calais devait souffrir d'un retrait de 53 postes. Il n'y aura en fait aucun retrait d'emploi.

Néanmoins, les ouvertures à un endroit devront être compensées par des fermetures ailleurs. Ce n'est donc pas un abandon total des fermetures.

Nous avons été partiellement entendus. Partiellement, puisque le maintien n'améliorera pas la situation du remplacement, par exemple, qui a été très difficile cet hiver. Nous demandions l'abandon des fermetures.

Affaire à suivre aussi l'année prochaine: paierons-nous cash cette « largesse » en septembre 2021 ?

Le CTSD se tient le 17 avril. Vous en retrouverez le compte-rendu sur notre site.

Lire le communiqué "postes" ici

Force Ouvrière s'adresse à la Rectrice: nos revendications sont légitimes.

Une visioconférence s'est tenue avec la Rectrice jeudi 3 avril. Le SNUDI-FO a transmis à la Rectrice nombre de remontées de terrain et de revendications.

La Rectrice a reconnu qu'elles étaient légitimes et que certaines consignes posaient problème :

  • divulgation des numéros de téléphone des directeur-trices et/ou adjoint-es

  • la connexion depuis des outils personnels

  • la fracture numérique dans certaines familles...

La position du SNUDI-FO reste la même : on fait ce qu'on peut, quand on le peut, avec les moyens dont on dispose.

Nul-le n'est tenu-e de communiquer avec son téléphone personnel, de devoir divulguer son numéro pour recevoir des SMS. Ce serait exposer inutilement les personnels au harcèlement, aux coups de fils impromptus hors temps de travail.

En cas de doute, de question, de consignes abusives, adressez-vous à vos délégué-es du SNUDI-FO.

Vos délégué-es de secteur SNUDI-FO restent à votre entière disposition y compris durant les vacances.

Les vacances militantes !

Prenez soin de vous et de vos proches.


Adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !

Adhérez via PayPal : nous ne pouvons pas nous rendre dans les bureaux F.O pour y retirer le courrier. Ils sont bien sûr fermés.

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