L'inFO du 62
Résister à la grossièreté et au chaos organisé !
« Emm***** » est devenu un mode de gouvernance maintenant assumé. Aucun d'entre nous n'était dupe, ceci dit.
Les conditions de rentrée illustrent parfaitement cette ligne de conduite.
=> « emm***** » les salarié-es, dans le privé comme dans le public en saccageant les retraites, en bloquant le point d'indice, en refusant d'augmenter significativement le SMIC
=> « emm***** » les étudiants, les plus précaires, les chômeurs en diminuant les APL, en durcissant les conditions d'accès aux indemnités chômage
=> « emm***** » les syndicats et les personnels en criminalisant l'action syndicale, en démantelant les instances qui garantissent la transparence des carrières
=> « emm***** » les citoyens qui choisissent de ne pas se vacciner ou de différer leur vaccination...
Il serait grand temps de consacrer ce pouvoir de nuisance aux exilés fiscaux et de rétablir la justice fiscale pour pouvoir créer des postes, rouvrir des lits d'hôpitaux, embaucher des infirmières et des médecins scolaires.
Extrait de notre déclaration du 19 octobre : « Pour FO, une véritable réforme fiscale est indispensable pour préserver le consentement à l’impôt, rétablir une fiscalité plus juste et progressive, notamment sur les revenus du capital financier afin d’éviter une concentration du patrimoine et réduire les inégalités... »
Le SNUDI-FO 62, avec sa fédération, refuse toute stigmatisation d'une partie de la population, comme il refuse sanctions et mises à pied des salariés non vaccinés (psyEN, infirmières scolaires).
Extrait de notre communiqué : « FO voit (dans ces propos) le même esprit que celui stigmatisant les demandeurs d’emplois pour justifier une réforme de l’assurance chômage qui vise à pénaliser les salariés subissant les successions de contrats courts, comme celui justifiant la remise en cause des systèmes de retraites en stigmatisant les régimes existants ».
Pour FO, il s'agit d'un état d'esprit général au sommet de l'exécutif : ennuyer, humilier, cliver, en plus d'une attaque contre les personnes non vaccinées.
Après l'audience auprès de la Rectrice.
Ce mardi, nous avons pu nous exprimer et interroger les services académiques au sujet du mode de communication du Ministre Blanquer, de son incurie, de l'impréparation et du mépris de ce Ministère.
Pour Force Ouvrière, les réponses apportées restent timorées.
=> pas de masques FFP2, qui selon la Rectrice ne permettent pas de faire classe correctement. Démenti par les collègues en ayant acquis sur leurs deniers...
=> pas de purificateurs d'air dans toutes les classes
=> aucune ouverture de la liste complémentaire mais embauche de contractuels (retraités ou à partir de bac +2) possible
Quelques timides annonces ou confirmations
=> des masques transparents existent mais il faut les demander. En circonscription pour les PE, auprès des PIAL pour les AESH.
Les autotests sont dispos en circo aussi. Un p'tit drive en circo ? Ces tests et masques devraient être fournis dans les écoles !
=> abandon des formations en présentiel
=> allègement des tâches de direction, ce qui a été démenti le lundi matin avec cette enquête-flash bidon sur les absences. A suivre...
=> aucune atteinte au droit syndical (RIS, particulièrement)...A voir également
=> les ASA sont possibles pour aller se faire vacciner et en cas d'effets secondaires importants
=> pas de brassage.
Grâce à vos remontées de terrain, dès lundi, nous avons pu décrire à la Rectrice le chaos et les problèmes apparus : quelques exemples, liste non exhaustive
=> autotests non disponibles en pharmacie pour les élèves (rupture de stock)
=> refus des pharmaciens de les procurer gratuitement aux familles
=> refus de parents de pratiquer des autotests et/ou de signer des attestations tout en exigeant que leurs enfants soient scolarisés. Des IEN ont engagé les équipes à accueillir quand même ces élèves, ce qui n'est pas conforme au protocole (isolement)
=> inflation des tâches des directeur-trices relatives à la vérification des tests, des attestations sur l'honneur, l'information des parents face à ce protocole incompréhensible, la gestion du mécontentement et des crises
=> manque de remplaçants, prise en charge des classes par des ATSEM, des services civiques, des AESH (contraire à la réglementation)
=> manque de gel, de savons, de serviettes propres et jetables dans certaines écoles, désinfection aléatoire parfois.
Aucune réponse satisfaisante ne nous a été apportée.
Plus que jamais, la grève interprofessionnelle du 27 est à l'ordre du jour tant sur les salaires que sur la situation sanitaire dans les écoles (re) lire ici l'appel intersyndical
DANS TOUS LES CAS, CONTACTEZ LE SNUDI-FO 62, contact@snudifo62 ou contactez vos délégués de secteur pour faire remonter des dysfonctionnements et dangers. Nous vous accompagnerons pour préserver votre santé et vos conditions de travail, nous interpellerons les autorités hiérarchiques.
Des moyens existent (fiches RSST), on se défend, on se préserve !
Vos délégué-es ici, à solliciter sans modération !
Adhérez au SNUDI-FO / RIS !
Rejoignez un syndicat libre et indépendant dont la seule préoccupation est la défense des intérêts des personnels !
Retrouvez-nous en RIS, prochaines dates...détails en page d'accueil
18 janvier, 17h Wimereux ; 17h30 Izel-les-Esquerchin (secteur Vitry / Arras)
20 janvier 17h Calais
25 janvier 17h Hénin-Beaumont, Saint-Omer
29 janvier 9h30 Athies (secteur Arras)
3 février 17h Nouvelle-Église (secteur Audruicq)
Résister à la grossièreté et au chaos organisé !
« Emm***** » est devenu un mode de gouvernance maintenant assumé. Aucun d'entre nous n'était dupe, ceci dit.
Les conditions de rentrée illustrent parfaitement cette ligne de conduite.
=> « emm***** » les salarié-es, dans le privé comme dans le public en saccageant les retraites, en bloquant le point d'indice, en refusant d'augmenter significativement le SMIC
=> « emm***** » les étudiants, les plus précaires, les chômeurs en diminuant les APL, en durcissant les conditions d'accès aux indemnités chômage
=> « emm***** » les syndicats et les personnels en criminalisant l'action syndicale, en démantelant les instances qui garantissent la transparence des carrières
=> « emm***** » les citoyens qui choisissent de ne pas se vacciner ou de différer leur vaccination...
Il serait grand temps de consacrer ce pouvoir de nuisance aux exilés fiscaux et de rétablir la justice fiscale pour pouvoir créer des postes, rouvrir des lits d'hôpitaux, embaucher des infirmières et des médecins scolaires.
Extrait de notre déclaration du 19 octobre : « Pour FO, une véritable réforme fiscale est indispensable pour préserver le consentement à l’impôt, rétablir une fiscalité plus juste et progressive, notamment sur les revenus du capital financier afin d’éviter une concentration du patrimoine et réduire les inégalités... »
Le SNUDI-FO 62, avec sa fédération, refuse toute stigmatisation d'une partie de la population, comme il refuse sanctions et mises à pied des salariés non vaccinés (psyEN, infirmières scolaires).
Extrait de notre communiqué : « FO voit (dans ces propos) le même esprit que celui stigmatisant les demandeurs d’emplois pour justifier une réforme de l’assurance chômage qui vise à pénaliser les salariés subissant les successions de contrats courts, comme celui justifiant la remise en cause des systèmes de retraites en stigmatisant les régimes existants ».
Pour FO, il s'agit d'un état d'esprit général au sommet de l'exécutif : ennuyer, humilier, cliver, en plus d'une attaque contre les personnes non vaccinées.
Après l'audience auprès de la Rectrice.
Ce mardi, nous avons pu nous exprimer et interroger les services académiques au sujet du mode de communication du Ministre Blanquer, de son incurie, de l'impréparation et du mépris de ce Ministère.
Pour Force Ouvrière, les réponses apportées restent timorées.
=> pas de masques FFP2, qui selon la Rectrice ne permettent pas de faire classe correctement. Démenti par les collègues en ayant acquis sur leurs deniers...
=> pas de purificateurs d'air dans toutes les classes
=> aucune ouverture de la liste complémentaire mais embauche de contractuels (retraités ou à partir de bac +2) possible
Quelques timides annonces ou confirmations
=> des masques transparents existent mais il faut les demander. En circonscription pour les PE, auprès des PIAL pour les AESH.
Les autotests sont dispos en circo aussi. Un p'tit drive en circo ? Ces tests et masques devraient être fournis dans les écoles !
=> abandon des formations en présentiel
=> allègement des tâches de direction, ce qui a été démenti le lundi matin avec cette enquête-flash bidon sur les absences. A suivre...
=> aucune atteinte au droit syndical (RIS, particulièrement)...A voir également
=> les ASA sont possibles pour aller se faire vacciner et en cas d'effets secondaires importants
=> pas de brassage.
Grâce à vos remontées de terrain, dès lundi, nous avons pu décrire à la Rectrice le chaos et les problèmes apparus : quelques exemples, liste non exhaustive
=> autotests non disponibles en pharmacie pour les élèves (rupture de stock)
=> refus des pharmaciens de les procurer gratuitement aux familles
=> refus de parents de pratiquer des autotests et/ou de signer des attestations tout en exigeant que leurs enfants soient scolarisés. Des IEN ont engagé les équipes à accueillir quand même ces élèves, ce qui n'est pas conforme au protocole (isolement)
=> inflation des tâches des directeur-trices relatives à la vérification des tests, des attestations sur l'honneur, l'information des parents face à ce protocole incompréhensible, la gestion du mécontentement et des crises
=> manque de remplaçants, prise en charge des classes par des ATSEM, des services civiques, des AESH (contraire à la réglementation)
=> manque de gel, de savons, de serviettes propres et jetables dans certaines écoles, désinfection aléatoire parfois.
Aucune réponse satisfaisante ne nous a été apportée.
Plus que jamais, la grève interprofessionnelle du 27 est à l'ordre du jour tant sur les salaires que sur la situation sanitaire dans les écoles (re) lire ici l'appel intersyndical
DANS TOUS LES CAS, CONTACTEZ LE SNUDI-FO 62, contact@snudifo62 ou contactez vos délégués de secteur pour faire remonter des dysfonctionnements et dangers. Nous vous accompagnerons pour préserver votre santé et vos conditions de travail, nous interpellerons les autorités hiérarchiques.
Des moyens existent (fiches RSST), on se défend, on se préserve !
Vos délégué-es ici, à solliciter sans modération !
Adhérez au SNUDI-FO / RIS !
Rejoignez un syndicat libre et indépendant dont la seule préoccupation est la défense des intérêts des personnels !
Retrouvez-nous en RIS, prochaines dates...détails en page d'accueil
18 janvier, 17h Wimereux ; 17h30 Izel-les-Esquerchin (secteur Vitry / Arras)
20 janvier 17h Calais
25 janvier 17h Hénin-Beaumont, Saint-Omer
29 janvier 9h30 Athies (secteur Arras)
3 février 17h Nouvelle-Église (secteur Audruicq)
Le SNUDI-FO 62 vous souhaite une très belle année 2022, placée sous le signe de la résistance et de la revendication !
Crise sanitaire: l'école reste la garderie low-cost du MEDEF.
Si gouverner c'est prévoir, la gouvernance de notre ministère est nulle. Une fois de plus, c'est un dimanche soir avant la rentrée que le protocole sanitaire est dévoilé.
Nullité ou mépris ? Une fois de plus les directeur-trices d'école seront chargés de parer à la crise qui les attend sans aucun moyen, pris une fois de plus entre le mécontentement des parents et la pression hiérarchique.
Quelles sont les grandes lignes de ce protocole ?
=> au premier cas, sans distinction de variant, les élèves restent en classe avec un test PCR ou antigénique.
=> à J2 et J4, il sera à la charge des familles de pratiquer un autotest gratuit en pharmacie. Comme cet autotest ne donne pas d’attestation, une simple déclaration sur l’honneur des parents suffira.
Note : les pharmaciens déclarent d'ores et déjà qu'ils ne pourront fournir les tests en quantité suffisante...
=> pour les adultes : schéma vaccinal complet : pas d'éviction
=> ASA : les conditions d'octroi restent inchangées.
Les risques de fausses déclarations sur l'honneur sont grands puisque les tests ne seront pas disponibles en quantité suffisante. D'autre part, nous relayions le mois dernier sur notre page un dialogue hallucinant de parents élaborant des stratégies pour ne pas déclarer leurs enfants positifs et pouvoir satisfaire leur employeur.
Une fois de plus, nous sommes envoyées en première ligne, sans purificateurs d'air, sans masques FFP2 mis à disposition. L'idée de ce gouvernement n'est pas la scolarisation pour garantir la continuité du service public mais faire de l'école la garderie du MEDEF.
Nos revendications demeurent :
=> recrutement massif sur la liste complémentaire pour assurer le remplacement et alléger les classes, limitant ainsi le brassage, contre le choix du chaos fait par le ministre
=> réquisition de locaux pour dédoubler les classes autant que faire se peut
=> mise à disposition de masques FFP2
=> non à la gestion de la crise sanitaire par les directeur-trices ! Ce qui concerne la santé doit rester du ressort des professionnels de santé !
Salaires, postes, crise sanitaire : FO appelle à s'inscrire dans la grève interprofessionnelle du 27 janvier à l'appel des organisations FO, CGT, Solidaire et FSU. (note : un préavis de grève a été déposé pour tous les jours de cette période)
Lire l'appel intersyndical ici
FO en audience au Ministère : compte-rendu ici
Revalorisation de l'ISSR : FO s'adresse au ministre.
Le prix des carburants flambe. L'ISSR n'a pourtant pas été revalorisée depuis plusieurs années et cette hausse affecte les remplaçants ainsi que tous les personnels affectés sur des postes fractionnés ou non-sédentaires.
Notre fédération s'est adressée au ministre pour demander une revalorisation des ISSR et frais de déplacement.
En outre, les revendications salariales pour 2022 restent d'actualité
=> 183 euros comme obtenus par les collègues des hôpitaux. Nous aussi, nous sommes en première ligne depuis deux ans, sans la moindre considération, sans le moindre euro
=> 183 euros qui constituent un premier pas vers la perte de plus de 20% de pouvoir d'achat en 20 ans
Lire notre courrier au Ministre ici
Carte scolaire.
En privant les 4050 stagiaires de leur formation, avec un temps complet en classe, le ministre récupère 2025 ETP (emploi temps plein) de moyens d’enseignement.
Dans ces moyens pris sur le dos des stagiaires, il faut retirer la création de 60 postes d’IEN pour les évaluations d’écoles, les décharges de direction (1243 ETP), les moyens liés aux expérimentations relatives aux politiques territoriales (contrats locaux, « Grand Marseille »…).
Il n’y a donc aucune création de postes dans le 1er degré et les DASEN vont annoncer des centaines de suppressions de classes dans les comités techniques départementaux.
Si ce n'est déjà le cas, complétez votre dossier « carte scolaire » si vous craignez une fermeture.
Le SNUDI-FO 62 vous souhaite une très belle année 2022, placée sous le signe de la résistance et de la revendication !
Crise sanitaire: l'école reste la garderie low-cost du MEDEF.
Si gouverner c'est prévoir, la gouvernance de notre ministère est nulle. Une fois de plus, c'est un dimanche soir avant la rentrée que le protocole sanitaire est dévoilé.
Nullité ou mépris ? Une fois de plus les directeur-trices d'école seront chargés de parer à la crise qui les attend sans aucun moyen, pris une fois de plus entre le mécontentement des parents et la pression hiérarchique.
Quelles sont les grandes lignes de ce protocole ?
=> au premier cas, sans distinction de variant, les élèves restent en classe avec un test PCR ou antigénique.
=> à J2 et J4, il sera à la charge des familles de pratiquer un autotest gratuit en pharmacie. Comme cet autotest ne donne pas d’attestation, une simple déclaration sur l’honneur des parents suffira.
Note : les pharmaciens déclarent d'ores et déjà qu'ils ne pourront fournir les tests en quantité suffisante...
=> pour les adultes : schéma vaccinal complet : pas d'éviction
=> ASA : les conditions d'octroi restent inchangées.
Les risques de fausses déclarations sur l'honneur sont grands puisque les tests ne seront pas disponibles en quantité suffisante. D'autre part, nous relayions le mois dernier sur notre page un dialogue hallucinant de parents élaborant des stratégies pour ne pas déclarer leurs enfants positifs et pouvoir satisfaire leur employeur.
Une fois de plus, nous sommes envoyées en première ligne, sans purificateurs d'air, sans masques FFP2 mis à disposition. L'idée de ce gouvernement n'est pas la scolarisation pour garantir la continuité du service public mais faire de l'école la garderie du MEDEF.
Nos revendications demeurent :
=> recrutement massif sur la liste complémentaire pour assurer le remplacement et alléger les classes, limitant ainsi le brassage, contre le choix du chaos fait par le ministre
=> réquisition de locaux pour dédoubler les classes autant que faire se peut
=> mise à disposition de masques FFP2
=> non à la gestion de la crise sanitaire par les directeur-trices ! Ce qui concerne la santé doit rester du ressort des professionnels de santé !
Salaires, postes, crise sanitaire : FO appelle à s'inscrire dans la grève interprofessionnelle du 27 janvier à l'appel des organisations FO, CGT, Solidaire et FSU. (note : un préavis de grève a été déposé pour tous les jours de cette période)
Lire l'appel intersyndical ici
FO en audience au Ministère : compte-rendu ici
Revalorisation de l'ISSR : FO s'adresse au ministre.
Le prix des carburants flambe. L'ISSR n'a pourtant pas été revalorisée depuis plusieurs années et cette hausse affecte les remplaçants ainsi que tous les personnels affectés sur des postes fractionnés ou non-sédentaires.
Notre fédération s'est adressée au ministre pour demander une revalorisation des ISSR et frais de déplacement.
En outre, les revendications salariales pour 2022 restent d'actualité
=> 183 euros comme obtenus par les collègues des hôpitaux. Nous aussi, nous sommes en première ligne depuis deux ans, sans la moindre considération, sans le moindre euro
=> 183 euros qui constituent un premier pas vers la perte de plus de 20% de pouvoir d'achat en 20 ans
Lire notre courrier au Ministre ici
Carte scolaire.
En privant les 4050 stagiaires de leur formation, avec un temps complet en classe, le ministre récupère 2025 ETP (emploi temps plein) de moyens d’enseignement.
Dans ces moyens pris sur le dos des stagiaires, il faut retirer la création de 60 postes d’IEN pour les évaluations d’écoles, les décharges de direction (1243 ETP), les moyens liés aux expérimentations relatives aux politiques territoriales (contrats locaux, « Grand Marseille »…).
Il n’y a donc aucune création de postes dans le 1er degré et les DASEN vont annoncer des centaines de suppressions de classes dans les comités techniques départementaux.
Si ce n'est déjà le cas, complétez votre dossier « carte scolaire » si vous craignez une fermeture.
L'inspection d'école, énième avatar de PPCR.
Dans son délire de contrôle, de mise au pas et de multiplication des chefs, pilotes et autres responsables RH, le Ministère instaure les inspections d'école, potentiellement audits à charge contre les écoles et leurs enseignant-es.
PPCR le prévoyait, il s'agissait de transformer l'inspection triennale (dans notre département) en accompagnement permanent, à la demande des enseignants ou de la hiérarchie. Nous y sommes. Constellations, inspections d'écoles, statut pour de chef pour le-la directeur-trice qui permet de lui empiler les tâches administratives pour que les IEN soient de manière quasi-permanente dans les écoles.
La formation (choisie) est évidemment nécessaire. Une remise en cause permanente et anxiogène de notre « professionnalité » est elle inadmissible.
Prochaine étape, faire des CPC de « mini-IEN » pour qu'ils-elles ne soient plus nos pairs.
L'évaluation d'école c'est non !
=> non à l'entrée des parents, usagers et des élus (mise sous tutelle politique) dans l'évaluation
=> respect des prérogatives des IEN pour l'évaluation
=> non à l'auto-évaluation qui consistera à se flageller et réciter des actes de contrition
=> non à de nouveaux évaluateurs de nos carrières et notre travail (CPC, personnels du 2nd degré, dircteurs...)
=> non à l'explosion des heures de travail (sur quel temps, cette auto-flagellation?) et des statuts des PE, CPC, directeurs et IEN.
Nos revendications restent intactes :
=> retrait de PPCR et de toutes ses déclinaisons : constellations, évaluations d'école, gel du point d'indice, liquidation et fusion des CAPD, CHSCT et autres instances représentatives du personnel
=> retrait de la loi « École de la Confiance » qui n'a jamais été aussi mal nommée
=> non au pilotage par l'évaluation
Fun fact comme disent les jeunes, les évaluations des usagers donnent les notes suivantes (source avis Google) : pour le Rectorat de Lille 1,9/5 (169 avis) et pour la DSDEN du Pas-de-Calais 1,5/5 (15 avis)...Loin, très loin de la moyenne. Ce qui ne saurait bien évidemment refléter la qualité du travail de ses agents.
L'évaluation des usagers, c'est souvent « règlement de compte » plus qu'une évaluation pérenne et objective. Une école, ce n'est ni un fast-food ni un camping. Les usagers n'en sont pas des clients.
RASED: le SNUDI défend les postes et les missions.
Prochaine étape de la dislocation de l'ASH et de l'inclusion systématique et sans moyens : l'explosion des RASED.
Chacun s'en est rendu compte : nous peinons à solliciter les collègues des RASED pour des prises en charge d'élèves de nos classes.
RASED incomplets, débordés, collègues des RASED à deux doigts du burn-out, enseignant-es-référent-es harassés de dossiers, l'ASH prend l'eau de toutes parts.
Prochaine étape : transformation des RASED en pôles-ressources.
Autrement dit, plutôt que d'être au contact des élèves, plutôt que de faire profiter à nos élèves en difficulté de leur expertise, il s'agira de délester les RASED des élèves au profit d'un rôle de « conseil » auprès des enseignant-es abandonnés à leur sort avec des élèves dont l'inclusion est difficile, voire impossible.
Une attaque contre nos conditions de travail, une économie faite sur le dos des enfants en situation de handicap. Une mesure qui finalement fait sens avec la baisse des APL, des retraites, de l'indemnisation du chômage, l'augmentation du temps de travail des AESH: s'attaquer aux plus fragiles, toujours.
Une fois de plus, l'école devient son propre recours...une vieille lune du Ministre Allègre.
On s'auto-évalue, on s'auto-forme dans des visios perturbées par des problèmes techniques et chronophages, on s'auto-critique, et dernière étape, on va s'auto-débrouiller avec des conseils distillés par des collègues spécialisés qui ne le demandent pas.
Comment imaginer que cela ne va pas créer des tensions entre les "conseilleurs" détachés des élèves et les enseignant-es dans les classes ?
=> non au changement de destination des RASED
=> des RASED complets (au minimum 1 RASED pour 800 élèves)
=> non aux constellations imposées au RASED
=> réouverture des postes supprimés entre 2007 et 2012 et jamais recréés, par quelque gouvernement que ce soit !
(Re)-lire notre communiqué "RASED" ici
Crise sanitaire : des postes !
Nous ne voulons pas de fermeture des écoles. En Guadeloupe, les collègues confinés en début d'année se sont vu obligés de rattraper les jours non-travaillés. Pour 3 jours non-travaillés, la Rectrice de Guadeloupe a décidé d'écourter les vacances de 12 jours contre l'avis du SNUDI-FO. Un précédent ?
On l'a vu, l’État d'Urgence permanent permet d'un trait de plume de modifier le calendrier scolaire de manière autoritaire.
Cette année, c'est le jeudi 7 juillet que nous fermerons les portes de nos classes. Si nous n'y prenons pas garde, notre temps de travail va exploser.
A l'école comme à l'hôpital, il faut des postes !
=> la réquisition de locaux afin de dédoubler toutes les classes pour pouvoir distancier et ne pas brasser allègrement
=> l'ouverture dans tous les départements de la liste complémentaire pour ce dédoublement, pour pérenniser le remplacement. Dans certaines circos, on atteint 10, 12, 14 absences non remplacées et les élèves sont joyeusement répartis et brassés
=> réouverture des lits fermés par le Ministre Véran.
Note : le télé-enseignement n'est toujours pas statutaire...il faudra plus qu'une prime de 150 euros pour changer ça.
Carte scolaire
Un premier chiffre est tombé : -2.
Il s'agit de la dotation nationale pour le 1er degré qui sera légèrement négative. L'état démographique de notre département laisse craindre pour l'attribution des moyens pour le Pas-de-Calais.
Si vous nourrissez une quelconque crainte, renvoyez-nous d'ores et déjà votre fiche de suivi et contactez votre délégué de secteur.
Calendrier prévisionnel : 28 janvier GT / 4 février CTSD 1er degré, téléchargez notre fiche de suivi ici
L'inspection d'école, énième avatar de PPCR.
Dans son délire de contrôle, de mise au pas et de multiplication des chefs, pilotes et autres responsables RH, le Ministère instaure les inspections d'école, potentiellement audits à charge contre les écoles et leurs enseignant-es.
PPCR le prévoyait, il s'agissait de transformer l'inspection triennale (dans notre département) en accompagnement permanent, à la demande des enseignants ou de la hiérarchie. Nous y sommes. Constellations, inspections d'écoles, statut pour de chef pour le-la directeur-trice qui permet de lui empiler les tâches administratives pour que les IEN soient de manière quasi-permanente dans les écoles.
La formation (choisie) est évidemment nécessaire. Une remise en cause permanente et anxiogène de notre « professionnalité » est elle inadmissible.
Prochaine étape, faire des CPC de « mini-IEN » pour qu'ils-elles ne soient plus nos pairs.
L'évaluation d'école c'est non !
=> non à l'entrée des parents, usagers et des élus (mise sous tutelle politique) dans l'évaluation
=> respect des prérogatives des IEN pour l'évaluation
=> non à l'auto-évaluation qui consistera à se flageller et réciter des actes de contrition
=> non à de nouveaux évaluateurs de nos carrières et notre travail (CPC, personnels du 2nd degré, dircteurs...)
=> non à l'explosion des heures de travail (sur quel temps, cette auto-flagellation?) et des statuts des PE, CPC, directeurs et IEN.
Nos revendications restent intactes :
=> retrait de PPCR et de toutes ses déclinaisons : constellations, évaluations d'école, gel du point d'indice, liquidation et fusion des CAPD, CHSCT et autres instances représentatives du personnel
=> retrait de la loi « École de la Confiance » qui n'a jamais été aussi mal nommée
=> non au pilotage par l'évaluation
Fun fact comme disent les jeunes, les évaluations des usagers donnent les notes suivantes (source avis Google) : pour le Rectorat de Lille 1,9/5 (169 avis) et pour la DSDEN du Pas-de-Calais 1,5/5 (15 avis)...Loin, très loin de la moyenne. Ce qui ne saurait bien évidemment refléter la qualité du travail de ses agents.
L'évaluation des usagers, c'est souvent « règlement de compte » plus qu'une évaluation pérenne et objective. Une école, ce n'est ni un fast-food ni un camping. Les usagers n'en sont pas des clients.
RASED: le SNUDI défend les postes et les missions.
Prochaine étape de la dislocation de l'ASH et de l'inclusion systématique et sans moyens : l'explosion des RASED.
Chacun s'en est rendu compte : nous peinons à solliciter les collègues des RASED pour des prises en charge d'élèves de nos classes.
RASED incomplets, débordés, collègues des RASED à deux doigts du burn-out, enseignant-es-référent-es harassés de dossiers, l'ASH prend l'eau de toutes parts.
Prochaine étape : transformation des RASED en pôles-ressources.
Autrement dit, plutôt que d'être au contact des élèves, plutôt que de faire profiter à nos élèves en difficulté de leur expertise, il s'agira de délester les RASED des élèves au profit d'un rôle de « conseil » auprès des enseignant-es abandonnés à leur sort avec des élèves dont l'inclusion est difficile, voire impossible.
Une attaque contre nos conditions de travail, une économie faite sur le dos des enfants en situation de handicap. Une mesure qui finalement fait sens avec la baisse des APL, des retraites, de l'indemnisation du chômage, l'augmentation du temps de travail des AESH: s'attaquer aux plus fragiles, toujours.
Une fois de plus, l'école devient son propre recours...une vieille lune du Ministre Allègre.
On s'auto-évalue, on s'auto-forme dans des visios perturbées par des problèmes techniques et chronophages, on s'auto-critique, et dernière étape, on va s'auto-débrouiller avec des conseils distillés par des collègues spécialisés qui ne le demandent pas.
Comment imaginer que cela ne va pas créer des tensions entre les "conseilleurs" détachés des élèves et les enseignant-es dans les classes ?
=> non au changement de destination des RASED
=> des RASED complets (au minimum 1 RASED pour 800 élèves)
=> non aux constellations imposées au RASED
=> réouverture des postes supprimés entre 2007 et 2012 et jamais recréés, par quelque gouvernement que ce soit !
(Re)-lire notre communiqué "RASED" ici
Crise sanitaire : des postes !
Nous ne voulons pas de fermeture des écoles. En Guadeloupe, les collègues confinés en début d'année se sont vu obligés de rattraper les jours non-travaillés. Pour 3 jours non-travaillés, la Rectrice de Guadeloupe a décidé d'écourter les vacances de 12 jours contre l'avis du SNUDI-FO. Un précédent ?
On l'a vu, l’État d'Urgence permanent permet d'un trait de plume de modifier le calendrier scolaire de manière autoritaire.
Cette année, c'est le jeudi 7 juillet que nous fermerons les portes de nos classes. Si nous n'y prenons pas garde, notre temps de travail va exploser.
A l'école comme à l'hôpital, il faut des postes !
=> la réquisition de locaux afin de dédoubler toutes les classes pour pouvoir distancier et ne pas brasser allègrement
=> l'ouverture dans tous les départements de la liste complémentaire pour ce dédoublement, pour pérenniser le remplacement. Dans certaines circos, on atteint 10, 12, 14 absences non remplacées et les élèves sont joyeusement répartis et brassés
=> réouverture des lits fermés par le Ministre Véran.
Note : le télé-enseignement n'est toujours pas statutaire...il faudra plus qu'une prime de 150 euros pour changer ça.
Carte scolaire
Un premier chiffre est tombé : -2.
Il s'agit de la dotation nationale pour le 1er degré qui sera légèrement négative. L'état démographique de notre département laisse craindre pour l'attribution des moyens pour le Pas-de-Calais.
Si vous nourrissez une quelconque crainte, renvoyez-nous d'ores et déjà votre fiche de suivi et contactez votre délégué de secteur.
Calendrier prévisionnel : 28 janvier GT / 4 février CTSD 1er degré, téléchargez notre fiche de suivi ici
Revalorisation bidon des CPC, frais de déplacements non versés : l'argent est pourtant là !
Alors que le Ministre rend 75 millions d'euros cette année au budget de l’État après en avoir rendu 200 l'année passée, la paupérisation des agents de notre ministère va bon train, des AESH jusqu'aux CPC.
AESH : enveloppe explosée ! Lors des instances académiques qui se sont tenues la semaine dernière, les services nous ont expliqué que l'enveloppe était épuisée...Ainsi, le prochain versement des indemnités de déplacement des AESH sera en janvier. Une honte.
La seule solution proposée ? Se tourner vers les services sociaux de la DSDEN ou du Rectorat.
CPC : jusqu'où le mépris ? Les CPC sont toujours privé-es de l'ISAE et des primes REP et REP+ malgré des obligations de service de 1607 heures (règle commune de tous les salarié-es en France). Leurs frais de déplacement ne couvrent qu'une infime partie des frais réellement engagés.
Le Grenelle prévoit 500 euros annuels pour les CPC...Un peu plus de 30 euros mensuels...Qui peut se satisfaire de cette poignée de cacahuètes ?
Le SNUDI-FO dénonce ces économies faites sur nos salaires et indemnités :
=> un vrai statut, un vrai salaire versé en temps et en heure pour toutes les AESH avec une vraie enveloppe pérenne pour les déplacements. Accès aux primes informatique, REP et REP+
=> versement de l'ISAE et des primes REP & REP+ à tous les personnels y exerçant, dont les CPC et AESH !
Directeurs chefs de rayon, c'est toujours non !
On le constate tous les jours, les IEN sont devenus les obligés du DASEN, lui-même sans aucune marge de manœuvre face aux prescriptions de la Rectrice qu'elle tient du Ministre.
C'est du descendant brutal (cf les formations « laïcité ») et le pilotage des circonscriptions ne consiste plus qu'à appliquer le prescrit. Intelligence et réflexion sont absentes du débat. Réfléchir, c'est commencer à désobéir, semble-t-il.
Quelle place pour un-e directeur-trice « caporalisé-e » dans ce contexte ?
C'est clair, il-elle sera le dernier maillon d'une chaîne décisionnelle donc bouc-émissaire des dysfonctionnements et errements prévisibles, fusible idéal placé au cœur des incompréhensions de ses adjoint-es.
Pour le SNUDI-FO, le statut, c'est toujours non. Nos revendications pour une vraie direction apaisée et reconnue demeurent :
=> 100 points d'indice
=> amélioration conséquente des décharges de direction
=> retour d'aides administratives avec un statut pérenne
Postez vos motions d'école ici ! Stop loi Rilhac !
Crise sanitaire : on prend les mêmes et on recommence.
Augmentation de 100% du taux d'incidence dans le Pas-de-Calais comme dans de nombreux départements, le Ministère refuse toujours d'écouter nos revendications.
L’État d'Urgence permanent permet à l'exécutif de ne plus véritablement légiférer mais de multiplier les oukases. L'État d'Urgence devrait aussi permettre d'accéder à nos légitimes revendications :
=> la réquisition de locaux afin de dédoubler toutes les classes et ne plus les fermer
=> l'ouverture dans tous les départements de la liste complémentaire pour ce dédoublement, pour pérenniser le remplacement
=> retour à la gratuité des tests
=> recrutements d'infirmières scolaires et constitution d'une vraie médecine de prévention pour les élèves et les personnels
=> retour immédiat des infirmières suspendues (sans traitement) dans les services, nous en avons grand besoin.
Adhérez au SNUDI-FO / RIS !
Rejoignez un syndicat libre et indépendant dont la seule préoccupation est la défense des intérêts des personnels !
Résister, revendiquer pour toutes et tous, sans exception.
2022 année charnière ! Avec Force Ouvrière, jouez la carte de l'indépendance face au politique, face aux intérêts privés, face à l'administration et la hiérarchie.
Retrouvez-nous en RIS, adhérez, faites vivre un syndicalisme qui revendique et résiste.
Des RIS sont d'ores et déjà programmées AU PLUS PRÈS DE VOTRE ÉCOLE pour janvier, février et mars dans différents secteurs (Lens, Desvres, Arras, Hénin-Beaumont, Calais, Saint-Omer...), suivez notre calendrier en temps réel sur notre site.
Revalorisation bidon des CPC, frais de déplacements non versés : l'argent est pourtant là !
Alors que le Ministre rend 75 millions d'euros cette année au budget de l’État après en avoir rendu 200 l'année passée, la paupérisation des agents de notre ministère va bon train, des AESH jusqu'aux CPC.
AESH : enveloppe explosée ! Lors des instances académiques qui se sont tenues la semaine dernière, les services nous ont expliqué que l'enveloppe était épuisée...Ainsi, le prochain versement des indemnités de déplacement des AESH sera en janvier. Une honte.
La seule solution proposée ? Se tourner vers les services sociaux de la DSDEN ou du Rectorat.
CPC : jusqu'où le mépris ? Les CPC sont toujours privé-es de l'ISAE et des primes REP et REP+ malgré des obligations de service de 1607 heures (règle commune de tous les salarié-es en France). Leurs frais de déplacement ne couvrent qu'une infime partie des frais réellement engagés.
Le Grenelle prévoit 500 euros annuels pour les CPC...Un peu plus de 30 euros mensuels...Qui peut se satisfaire de cette poignée de cacahuètes ?
Le SNUDI-FO dénonce ces économies faites sur nos salaires et indemnités :
=> un vrai statut, un vrai salaire versé en temps et en heure pour toutes les AESH avec une vraie enveloppe pérenne pour les déplacements. Accès aux primes informatique, REP et REP+
=> versement de l'ISAE et des primes REP & REP+ à tous les personnels y exerçant, dont les CPC et AESH !
Directeurs chefs de rayon, c'est toujours non !
On le constate tous les jours, les IEN sont devenus les obligés du DASEN, lui-même sans aucune marge de manœuvre face aux prescriptions de la Rectrice qu'elle tient du Ministre.
C'est du descendant brutal (cf les formations « laïcité ») et le pilotage des circonscriptions ne consiste plus qu'à appliquer le prescrit. Intelligence et réflexion sont absentes du débat. Réfléchir, c'est commencer à désobéir, semble-t-il.
Quelle place pour un-e directeur-trice « caporalisé-e » dans ce contexte ?
C'est clair, il-elle sera le dernier maillon d'une chaîne décisionnelle donc bouc-émissaire des dysfonctionnements et errements prévisibles, fusible idéal placé au cœur des incompréhensions de ses adjoint-es.
Pour le SNUDI-FO, le statut, c'est toujours non. Nos revendications pour une vraie direction apaisée et reconnue demeurent :
=> 100 points d'indice
=> amélioration conséquente des décharges de direction
=> retour d'aides administratives avec un statut pérenne
Postez vos motions d'école ici ! Stop loi Rilhac !
Crise sanitaire : on prend les mêmes et on recommence.
Augmentation de 100% du taux d'incidence dans le Pas-de-Calais comme dans de nombreux départements, le Ministère refuse toujours d'écouter nos revendications.
L’État d'Urgence permanent permet à l'exécutif de ne plus véritablement légiférer mais de multiplier les oukases. L'État d'Urgence devrait aussi permettre d'accéder à nos légitimes revendications :
=> la réquisition de locaux afin de dédoubler toutes les classes et ne plus les fermer
=> l'ouverture dans tous les départements de la liste complémentaire pour ce dédoublement, pour pérenniser le remplacement
=> retour à la gratuité des tests
=> recrutements d'infirmières scolaires et constitution d'une vraie médecine de prévention pour les élèves et les personnels
=> retour immédiat des infirmières suspendues (sans traitement) dans les services, nous en avons grand besoin.
Adhérez au SNUDI-FO / RIS !
Rejoignez un syndicat libre et indépendant dont la seule préoccupation est la défense des intérêts des personnels !
Résister, revendiquer pour toutes et tous, sans exception.
2022 année charnière ! Avec Force Ouvrière, jouez la carte de l'indépendance face au politique, face aux intérêts privés, face à l'administration et la hiérarchie.
Retrouvez-nous en RIS, adhérez, faites vivre un syndicalisme qui revendique et résiste.
Des RIS sont d'ores et déjà programmées AU PLUS PRÈS DE VOTRE ÉCOLE pour janvier, février et mars dans différents secteurs (Lens, Desvres, Arras, Hénin-Beaumont, Calais, Saint-Omer...), suivez notre calendrier en temps réel sur notre site.
Formations « laïcité » : sur quel temps ?
Pas de formation en dehors des 18 heures prévues : le SNUDI-FO 62 vous rappelle les textes.
Ce gouvernement n'a eu de cesse de privilégier l'enseignement privé confessionnel: scolarisation à 3 ans faisant obligation aux municipalités d'investir dans l'enseignement privé, volonté d'ouvrir les CLA au privé.
D'autre part, sa campagne de promotion de la laïcité a identifié celles et ceux qui menacent la laïcité selon ce ministère : les élèves aux prénoms à consonance étrangère et à la peau mate. Une ignominie.
Dans un courrier de la Rectrice, on apprend que ces 9 heures de formation laïcité se tiendront durant des mercredis. Or, le temps consacré à la formation est de 18 heures et non 27 puisque dans la plupart des circonscriptions, le plan de 18 heures est déjà défini.
Le SNUDI-FO rappelle les textes
=> la formation, c'est 18 heures, pas une de plus. Sur ces 18 heures, vous pouvez participer à une RIS (utilement, une RIS du SNUDI-FO). Aucune obligation ne peut nous être faite de participer à plus de 18h de formation.
=> la journée de solidarité, c'est 2x3 heures, consacrées AU PROJET D'ECOLE. Cette journée n'est pas pulvérisable en heures, ni utilisable pour autre chose.
=> toute formation se fait avec un ordre de mission : pas de magouille, d'ordres « a posteriori » en cas de problème
=> les 108 heures ne sont pas une nébuleuse à la main des IEN, DASEN ou autres recteur-trice.
Et demain ? Des formations tous les mercredis ?
Eu égard aux orientations ministérielles et à la stigmatisation déroulée dans les campagnes de promotion de la laïcité par ce ministre, le SNUDI-FO sera extrêmement vigilant sur le contenu de ces formations.
Privatisation de notre santé : pour FO, c'est non !
Dans le cadre de la destruction programmée de toutes les conquêtes des salarié-es depuis 1945, le gouvernement s'attaque à l'assurance maladie pour une poignée d'euros.
Le but ? Transférer aux mutuelles les prises en charge de la « Sécu » et donc faire gonfler les cotisations déjà trop élevées et faire disparaître à terme les mutuelles construites par les salarié-es pour faire la place aux intérêts marchands.
Les moyens ?
=> 1er étage de la réforme : imposer une mutuelle à tous les agents contre 15 euros / mois que Blanquer annonce comme revalorisation salariale !
=> 2ème étage : contraindre à l'utilisation d'une mutuelle privée
=> 3ème étage de la réforme : inciter à une « sur-couverture » individuelle avec une assurance privée.
On se souvient de Delevoye, premier acteur de la réforme des retraites par points qui jouait une carte personnelle dans le dynamitage de nos retraites, puisqu'il détenait une dizaine de mandats dont des mandats d'administrateur d'assurances privées.
On les a fichus à la porte, ils reviennent par la fenêtre !
Aujourd'hui, pour plaire aux assureurs, ce sont les garanties de la Fonction Publique qui sont vendues aux margoulins des assurances.
Force Ouvrière maintient ses revendications
=> non aux déremboursements
=> non au transfert des compétences de la Sécu aux mutuelles et assureurs privés
=> les mêmes droits pour les actifs, leurs ayant-droits et les retraités.
Tous les détails ici : 4 pages indispensables pour comprendre et combattre.
Formations « laïcité » : sur quel temps ?
Pas de formation en dehors des 18 heures prévues : le SNUDI-FO 62 vous rappelle les textes.
Ce gouvernement n'a eu de cesse de privilégier l'enseignement privé confessionnel: scolarisation à 3 ans faisant obligation aux municipalités d'investir dans l'enseignement privé, volonté d'ouvrir les CLA au privé.
D'autre part, sa campagne de promotion de la laïcité a identifié celles et ceux qui menacent la laïcité selon ce ministère : les élèves aux prénoms à consonance étrangère et à la peau mate. Une ignominie.
Dans un courrier de la Rectrice, on apprend que ces 9 heures de formation laïcité se tiendront durant des mercredis. Or, le temps consacré à la formation est de 18 heures et non 27 puisque dans la plupart des circonscriptions, le plan de 18 heures est déjà défini.
Le SNUDI-FO rappelle les textes
=> la formation, c'est 18 heures, pas une de plus. Sur ces 18 heures, vous pouvez participer à une RIS (utilement, une RIS du SNUDI-FO). Aucune obligation ne peut nous être faite de participer à plus de 18h de formation.
=> la journée de solidarité, c'est 2x3 heures, consacrées AU PROJET D'ECOLE. Cette journée n'est pas pulvérisable en heures, ni utilisable pour autre chose.
=> toute formation se fait avec un ordre de mission : pas de magouille, d'ordres « a posteriori » en cas de problème
=> les 108 heures ne sont pas une nébuleuse à la main des IEN, DASEN ou autres recteur-trice.
Et demain ? Des formations tous les mercredis ?
Eu égard aux orientations ministérielles et à la stigmatisation déroulée dans les campagnes de promotion de la laïcité par ce ministre, le SNUDI-FO sera extrêmement vigilant sur le contenu de ces formations.
Privatisation de notre santé : pour FO, c'est non !
Dans le cadre de la destruction programmée de toutes les conquêtes des salarié-es depuis 1945, le gouvernement s'attaque à l'assurance maladie pour une poignée d'euros.
Le but ? Transférer aux mutuelles les prises en charge de la « Sécu » et donc faire gonfler les cotisations déjà trop élevées et faire disparaître à terme les mutuelles construites par les salarié-es pour faire la place aux intérêts marchands.
Les moyens ?
=> 1er étage de la réforme : imposer une mutuelle à tous les agents contre 15 euros / mois que Blanquer annonce comme revalorisation salariale !
=> 2ème étage : contraindre à l'utilisation d'une mutuelle privée
=> 3ème étage de la réforme : inciter à une « sur-couverture » individuelle avec une assurance privée.
On se souvient de Delevoye, premier acteur de la réforme des retraites par points qui jouait une carte personnelle dans le dynamitage de nos retraites, puisqu'il détenait une dizaine de mandats dont des mandats d'administrateur d'assurances privées.
On les a fichus à la porte, ils reviennent par la fenêtre !
Aujourd'hui, pour plaire aux assureurs, ce sont les garanties de la Fonction Publique qui sont vendues aux margoulins des assurances.
Force Ouvrière maintient ses revendications
=> non aux déremboursements
=> non au transfert des compétences de la Sécu aux mutuelles et assureurs privés
=> les mêmes droits pour les actifs, leurs ayant-droits et les retraités.
Tous les détails ici : 4 pages indispensables pour comprendre et combattre.
Formations « laïcité » : sur quel temps ?
Pas de formation en dehors des 18 heures prévues : le SNUDI-FO 62 vous rappelle les textes.
Ce gouvernement n'a eu de cesse de privilégier l'enseignement privé confessionnel: scolarisation à 3 ans faisant obligation aux municipalités d'investir dans l'enseignement privé, volonté d'ouvrir les CLA au privé.
D'autre part, sa campagne de promotion de la laïcité a identifié celles et ceux qui menacent la laïcité selon ce ministère : les élèves aux prénoms à consonance étrangère et à la peau mate. Une ignominie.
Dans un courrier de la Rectrice, on apprend que ces 9 heures de formation laïcité se tiendront durant des mercredis. Or, le temps consacré à la formation est de 18 heures et non 27 puisque dans la plupart des circonscriptions, le plan de 18 heures est déjà défini.
Le SNUDI-FO rappelle les textes
=> la formation, c'est 18 heures, pas une de plus. Sur ces 18 heures, vous pouvez participer à une RIS (utilement, une RIS du SNUDI-FO). Aucune obligation ne peut nous être faite de participer à plus de 18h de formation.
=> la journée de solidarité, c'est 2x3 heures, consacrées AU PROJET D'ECOLE. Cette journée n'est pas pulvérisable en heures, ni utilisable pour autre chose.
=> toute formation se fait avec un ordre de mission : pas de magouille, d'ordres « a posteriori » en cas de problème
=> les 108 heures ne sont pas une nébuleuse à la main des IEN, DASEN ou autres recteur-trice.
Et demain ? Des formations tous les mercredis ?
Eu égard aux orientations ministérielles et à la stigmatisation déroulée dans les campagnes de promotion de la laïcité par ce ministre, le SNUDI-FO sera extrêmement vigilant sur le contenu de ces formations.
Privatisation de notre santé : pour FO, c'est non !
Dans le cadre de la destruction programmée de toutes les conquêtes des salarié-es depuis 1945, le gouvernement s'attaque à l'assurance maladie pour une poignée d'euros.
Le but ? Transférer aux mutuelles les prises en charge de la « Sécu » et donc faire gonfler les cotisations déjà trop élevées et faire disparaître à terme les mutuelles construites par les salarié-es pour faire la place aux intérêts marchands.
Les moyens ?
=> 1er étage de la réforme : imposer une mutuelle à tous les agents contre 15 euros / mois que Blanquer annonce comme revalorisation salariale !
=> 2ème étage : contraindre à l'utilisation d'une mutuelle privée
=> 3ème étage de la réforme : inciter à une « sur-couverture » individuelle avec une assurance privée.
On se souvient de Delevoye, premier acteur de la réforme des retraites par points qui jouait une carte personnelle dans le dynamitage de nos retraites, puisqu'il détenait une dizaine de mandats dont des mandats d'administrateur d'assurances privées.
On les a fichus à la porte, ils reviennent par la fenêtre !
Aujourd'hui, pour plaire aux assureurs, ce sont les garanties de la Fonction Publique qui sont vendues aux margoulins des assurances.
Force Ouvrière maintient ses revendications
=> non aux déremboursements
=> non au transfert des compétences de la Sécu aux mutuelles et assureurs privés
=> les mêmes droits pour les actifs, leurs ayant-droits et les retraités.
Tous les détails ici : 4 pages indispensables pour comprendre et combattre.
Formations « laïcité » : sur quel temps ?
Pas de formation en dehors des 18 heures prévues : le SNUDI-FO 62 vous rappelle les textes.
Ce gouvernement n'a eu de cesse de privilégier l'enseignement privé confessionnel: scolarisation à 3 ans faisant obligation aux municipalités d'investir dans l'enseignement privé, volonté d'ouvrir les CLA au privé.
D'autre part, sa campagne de promotion de la laïcité a identifié celles et ceux qui menacent la laïcité selon ce ministère : les élèves aux prénoms à consonance étrangère et à la peau mate. Une ignominie.
Dans un courrier de la Rectrice, on apprend que ces 9 heures de formation laïcité se tiendront durant des mercredis. Or, le temps consacré à la formation est de 18 heures et non 27 puisque dans la plupart des circonscriptions, le plan de 18 heures est déjà défini.
Le SNUDI-FO rappelle les textes
=> la formation, c'est 18 heures, pas une de plus. Sur ces 18 heures, vous pouvez participer à une RIS (utilement, une RIS du SNUDI-FO). Aucune obligation ne peut nous être faite de participer à plus de 18h de formation.
=> la journée de solidarité, c'est 2x3 heures, consacrées AU PROJET D'ECOLE. Cette journée n'est pas pulvérisable en heures, ni utilisable pour autre chose.
=> toute formation se fait avec un ordre de mission : pas de magouille, d'ordres « a posteriori » en cas de problème
=> les 108 heures ne sont pas une nébuleuse à la main des IEN, DASEN ou autres recteur-trice.
Et demain ? Des formations tous les mercredis ?
Eu égard aux orientations ministérielles et à la stigmatisation déroulée dans les campagnes de promotion de la laïcité par ce ministre, le SNUDI-FO sera extrêmement vigilant sur le contenu de ces formations.
Privatisation de notre santé : pour FO, c'est non !
Dans le cadre de la destruction programmée de toutes les conquêtes des salarié-es depuis 1945, le gouvernement s'attaque à l'assurance maladie pour une poignée d'euros.
Le but ? Transférer aux mutuelles les prises en charge de la « Sécu » et donc faire gonfler les cotisations déjà trop élevées et faire disparaître à terme les mutuelles construites par les salarié-es pour faire la place aux intérêts marchands.
Les moyens ?
=> 1er étage de la réforme : imposer une mutuelle à tous les agents contre 15 euros / mois que Blanquer annonce comme revalorisation salariale !
=> 2ème étage : contraindre à l'utilisation d'une mutuelle privée
=> 3ème étage de la réforme : inciter à une « sur-couverture » individuelle avec une assurance privée.
On se souvient de Delevoye, premier acteur de la réforme des retraites par points qui jouait une carte personnelle dans le dynamitage de nos retraites, puisqu'il détenait une dizaine de mandats dont des mandats d'administrateur d'assurances privées.
On les a fichus à la porte, ils reviennent par la fenêtre !
Aujourd'hui, pour plaire aux assureurs, ce sont les garanties de la Fonction Publique qui sont vendues aux margoulins des assurances.
Force Ouvrière maintient ses revendications
=> non aux déremboursements
=> non au transfert des compétences de la Sécu aux mutuelles et assureurs privés
=> les mêmes droits pour les actifs, leurs ayant-droits et les retraités.
Tous les détails ici : 4 pages indispensables pour comprendre et combattre.
RASED : toujours faire plus avec moins.
Co-intervention, conseil aux collègues, personnels ressources, pilotage par l'évaluation, l'avenir des RASED et de leurs personnels s'obscurcit .
L’École doit devenir son propre recours face aux problématiques d'inclusion systématique sans moyens, face aux difficultés des collègues abandonné-es dans des situations ingérables.
Les collègues des RASED vont devoir pallier les terribles conséquences de l'inclusion systématique sans moyen supplémentaire en prodiguant des conseils, en devenant une personne ressource toujours un peu plus éloignée des élèves.
Un rapport prévoit de redéfinir les missions des RASED. Encore une attaque prévisible sur les postes, la charge de travail.
En prévision, la participation des membres des RASED aux inénarrables "Constellations".
Pour le SNUDI-FO, les revendications demeurent
=> un RASED complet pour 800 élèves.
=> création de postes spécialisés dans toutes les options
=> départs en stage CAPPEI pour tou-tes les candidat-es
La lutte pour la préservation des RASED et de leurs missions, c'est avec le SNUDI-FO !
Retrouvez le communiqué du SNUDI-FO ici
Mutations interdépartementales.
Tous les ans, de moins en moins de personnels obtiennent satisfaction sur leur demande de changement de département. Cette année, nouveauté : des postes « à profil » et un nouveau mouvement interdépartemental : le « PoP ».
L'ouverture du serveur, c'est demain (9 novembre par SIAM), clôture le 30 novembre.
Pour le SNUDI-FO, dans le cadre de la création massive de postes, chacun doit pouvoir obtenir sa mutation interdépartementale !
Votre mutation "inter", c'est avec le SNUDI-FO ! => contact@snudifo62.fr pour votre suivi.
Notre dossier complet ici (calcul du barème, données 2020 par département...)
RASED : toujours faire plus avec moins.
Co-intervention, conseil aux collègues, personnels ressources, pilotage par l'évaluation, l'avenir des RASED et de leurs personnels s'obscurcit .
L’École doit devenir son propre recours face aux problématiques d'inclusion systématique sans moyens, face aux difficultés des collègues abandonné-es dans des situations ingérables.
Les collègues des RASED vont devoir pallier les terribles conséquences de l'inclusion systématique sans moyen supplémentaire en prodiguant des conseils, en devenant une personne ressource toujours un peu plus éloignée des élèves.
Un rapport prévoit de redéfinir les missions des RASED. Encore une attaque prévisible sur les postes, la charge de travail.
En prévision, la participation des membres des RASED aux inénarrables "Constellations".
Pour le SNUDI-FO, les revendications demeurent
=> un RASED complet pour 800 élèves.
=> création de postes spécialisés dans toutes les options
=> départs en stage CAPPEI pour tou-tes les candidat-es
La lutte pour la préservation des RASED et de leurs missions, c'est avec le SNUDI-FO !
Retrouvez le communiqué du SNUDI-FO ici
Mutations interdépartementales.
Tous les ans, de moins en moins de personnels obtiennent satisfaction sur leur demande de changement de département. Cette année, nouveauté : des postes « à profil » et un nouveau mouvement interdépartemental : le « PoP ».
L'ouverture du serveur, c'est demain (9 novembre par SIAM), clôture le 30 novembre.
Pour le SNUDI-FO, dans le cadre de la création massive de postes, chacun doit pouvoir obtenir sa mutation interdépartementale !
Votre mutation "inter", c'est avec le SNUDI-FO ! => contact@snudifo62.fr pour votre suivi.
Notre dossier complet ici (calcul du barème, données 2020 par département...)
Spécial « Constellations », la voie de la déréglementation.
Le droit, les règles, la réglementation organisent les rapports humains et évitent la loi de la jungle, c'est à dire celle du plus fort.
Les « constellations », c'est la jungle ! Elles ouvrent une brèche dans la réglementation qui profite toujours à celui qui exerce l'autorité (Dasen, IEN) plutôt qu'à celui qui la subit (le PE en fin de chaîne).
Quelques rappels...
=> 18 heures...c'est tout. Les plans d'animation des mercredis comptent 18 heures. Pas question d'utiliser d'autres heures sur les 108 heures. Contacté à ce sujet, le DASEN nous a répondu : les plans d'animation, c'est 18 heures.
=> Pression hiérarchique : quelques IEN (pas la majorité, heureusement) bien décidés à faire exploser nos heures et nos statuts proposent à des directeur-trices de venir mettre une « douce » pression à l'équipe pour s'inscrire à des formations hors 18 heures, portant ainsi les plans de formation des mercredis à 24 heures...c'est une honte. Cette pression reste courageusement orale, évidemment.
Un problème ? Contactez le SNUDI-FO. contact@snudifo62.fr
=> Droit syndical : non, aucune animation des 18h n'est obligatoire. Oui, toute RIS peut être prise sur ces 18 heures, à hauteur d'une par trimestre.
=> Journée de solidarité : à ce jour, cette journée de travail gratuit (sic...) n'est pas dédiée à la formation. Rappel du texte : "une journée, le cas échéant fractionnée en deux demi-journées, est consacrée hors temps scolaire à la concertation sur le projet d’école ou d’établissement. Sa date est déterminée dans le premier degré par l’inspecteur de l’éducation nationale après consultation du conseil des maîtres"
=> Passe sanitaire en animation péda : quelques organisateur-trices de « grand-messes pédagogiques » demanderaient un passe sanitaire à l'entrée de l'édifice. Niet ! Aucun PE n'a à fournir une telle pièce à l'entrée d'une animation pédagogique, qu'il-elle soit vacciné-e, testé-e ou pas ! Pire, personne n'est habilité à contrôler une telle pièce.
=> La « souplesse » dans l'organisation...elle profite pour l'instant toujours à l'administration, rarement aux PE...jusqu'à preuve du contraire.
Nous réclamons un cadre clair, départemental, voire national et non pas une cuisine locale déclinée à coup de « pressions », d'entorses à la réglementation, de menaces plus ou moins voilées.
Le SNUDI-FO réclame le retrait des constellations et de PPCR sur lequel elles sont appuyées (dixit le ministre), PPCR qui prévoit l'accompagnement permanent des équipes en lieu et place des inspections. Cet accompagnement porte un nom : "constellation".
PPCR c'est l'inspection permanente, la stagiarisation à vie, mais sans amélioration des appréciations possible.
PPCR c'est le bâton, mais sans la carotte. C'est pourquoi FO, Sud et CGT (représentant la majorité dans Fonction Publique) l'avaient refusé et que Valls l'a imposé contre les personnels avec ses soutiens syndicaux dans un 49.3 social inadmissible.
Et toujours non à la caporalisation de l'école, non au contremaître dans les écoles.
Le SNUDI-FO avec le SNU-iPP, CGT et Sud vous invite à signer l'appel contre un statut de supérieur hiérarchique dans notre école.
Spécial « Constellations », la voie de la déréglementation.
Le droit, les règles, la réglementation organisent les rapports humains et évitent la loi de la jungle, c'est à dire celle du plus fort.
Les « constellations », c'est la jungle ! Elles ouvrent une brèche dans la réglementation qui profite toujours à celui qui exerce l'autorité (Dasen, IEN) plutôt qu'à celui qui la subit (le PE en fin de chaîne).
Quelques rappels...
=> 18 heures...c'est tout. Les plans d'animation des mercredis comptent 18 heures. Pas question d'utiliser d'autres heures sur les 108 heures. Contacté à ce sujet, le DASEN nous a répondu : les plans d'animation, c'est 18 heures.
=> Pression hiérarchique : quelques IEN (pas la majorité, heureusement) bien décidés à faire exploser nos heures et nos statuts proposent à des directeur-trices de venir mettre une « douce » pression à l'équipe pour s'inscrire à des formations hors 18 heures, portant ainsi les plans de formation des mercredis à 24 heures...c'est une honte. Cette pression reste courageusement orale, évidemment.
Un problème ? Contactez le SNUDI-FO. contact@snudifo62.fr
=> Droit syndical : non, aucune animation des 18h n'est obligatoire. Oui, toute RIS peut être prise sur ces 18 heures, à hauteur d'une par trimestre.
=> Journée de solidarité : à ce jour, cette journée de travail gratuit (sic...) n'est pas dédiée à la formation. Rappel du texte : "une journée, le cas échéant fractionnée en deux demi-journées, est consacrée hors temps scolaire à la concertation sur le projet d’école ou d’établissement. Sa date est déterminée dans le premier degré par l’inspecteur de l’éducation nationale après consultation du conseil des maîtres"
=> Passe sanitaire en animation péda : quelques organisateur-trices de « grand-messes pédagogiques » demanderaient un passe sanitaire à l'entrée de l'édifice. Niet ! Aucun PE n'a à fournir une telle pièce à l'entrée d'une animation pédagogique, qu'il-elle soit vacciné-e, testé-e ou pas ! Pire, personne n'est habilité à contrôler une telle pièce.
=> La « souplesse » dans l'organisation...elle profite pour l'instant toujours à l'administration, rarement aux PE...jusqu'à preuve du contraire.
Nous réclamons un cadre clair, départemental, voire national et non pas une cuisine locale déclinée à coup de « pressions », d'entorses à la réglementation, de menaces plus ou moins voilées.
Le SNUDI-FO réclame le retrait des constellations et de PPCR sur lequel elles sont appuyées (dixit le ministre), PPCR qui prévoit l'accompagnement permanent des équipes en lieu et place des inspections. Cet accompagnement porte un nom : "constellation".
PPCR c'est l'inspection permanente, la stagiarisation à vie, mais sans amélioration des appréciations possible.
PPCR c'est le bâton, mais sans la carotte. C'est pourquoi FO, Sud et CGT (représentant la majorité dans Fonction Publique) l'avaient refusé et que Valls l'a imposé contre les personnels avec ses soutiens syndicaux dans un 49.3 social inadmissible.
Et toujours non à la caporalisation de l'école, non au contremaître dans les écoles.
Le SNUDI-FO avec le SNU-iPP, CGT et Sud vous invite à signer l'appel contre un statut de supérieur hiérarchique dans notre école.
Spécial loi Rilhac, l'appel des 50.
La loi Rilhac répond à une exigence qui n'est pas celle des personnels : instaurer un échelon supplémentaire de contrôle sans moyens pour faire de l'école une start-up managée à la sauce néo-libérale.
=> non, l'ambition de l'énorme majorité des directeur-trices de ce pays n'est pas de devenir un sous-caporal dérisoire coincé entre les injonctions du DASEN lui-même devenu simple courroie de transmission ministérielle, et le conseil d'école dont les décisions deviennent souveraines.
=> aucune contrepartie : ni argent, ni décharge, ni aide-administrative pérenne.
Directrices et directeurs, signez et faites signer l'appel des 50 qui a déjà bien gonflé au cours du week-end (plus de 2000).
Hommage à M. Samuel Paty : des larmes de crocodile.
Bidon: voilà le mot qui vient à l'esprit quand on lit le courrier du Ministre sur l'hommage à M. Paty.
=> l'administration a prôné « le temps de la réflexion » pour éviter de lancer l'enquête administrative. Le CHSCT ne pouvait se tenir faute de « feu vert du Ministre » (instance qui disparaît en 2022).
Force Ouvrière a joué pleinement son rôle d'organisation syndicale indépendante à cette occasion.
=> l'enquête est confiée à une officine privée proche de l'exécutif: comprendre => on peut faire faire de l'argent aux copains sur l'assassinat de notre collègue !
Voilà ce qui nous attend après la disparition des CHSCT ! Notre santé et notre sécurité confiées aux copains du gouvernement.
Ce gouvernement ose tout, c'est à ça qu'on le reconnaît...
Bref, la note de service du Ministre est une honte, une insulte à la mémoire de notre collègue.
Demain, une note de service sur les valeurs de la République ?
Spécial loi Rilhac, l'appel des 50.
La loi Rilhac répond à une exigence qui n'est pas celle des personnels : instaurer un échelon supplémentaire de contrôle sans moyens pour faire de l'école une start-up managée à la sauce néo-libérale.
=> non, l'ambition de l'énorme majorité des directeur-trices de ce pays n'est pas de devenir un sous-caporal dérisoire coincé entre les injonctions du DASEN lui-même devenu simple courroie de transmission ministérielle, et le conseil d'école dont les décisions deviennent souveraines.
=> aucune contrepartie : ni argent, ni décharge, ni aide-administrative pérenne.
Directrices et directeurs, signez et faites signer l'appel des 50 qui a déjà bien gonflé au cours du week-end (plus de 2000).
Hommage à M. Samuel Paty : des larmes de crocodile.
Bidon: voilà le mot qui vient à l'esprit quand on lit le courrier du Ministre sur l'hommage à M. Paty.
=> l'administration a prôné « le temps de la réflexion » pour éviter de lancer l'enquête administrative. Le CHSCT ne pouvait se tenir faute de « feu vert du Ministre » (instance qui disparaît en 2022).
Force Ouvrière a joué pleinement son rôle d'organisation syndicale indépendante à cette occasion.
=> l'enquête est confiée à une officine privée proche de l'exécutif: comprendre => on peut faire faire de l'argent aux copains sur l'assassinat de notre collègue !
Voilà ce qui nous attend après la disparition des CHSCT ! Notre santé et notre sécurité confiées aux copains du gouvernement.
Ce gouvernement ose tout, c'est à ça qu'on le reconnaît...
Bref, la note de service du Ministre est une honte, une insulte à la mémoire de notre collègue.
Demain, une note de service sur les valeurs de la République ?
Participez à nos réunions d'information syndicale (RIS).
Face aux attaques contre les salaires (issues de PPCR), les statuts, face à la frénésie du contrôle permanent et de la mise sous tutelle pédagogique (issus de PPCR également avec son dispositif d'accompagnement), il est grand temps de retrouver le sens du collectif !
Retrouvez le SNUDI-FO en RIS. Sollicitez le SNUDI-FO pour une organisation de RIS dans votre école.
Toute RIS est décomptable des 108h (hors APC et conseil d'école), y compris des 18 heures d'animations pédagogiques, le DASEN en a informé les IEN.
Les animations pédagogiques des mercredis sont d'ailleurs limitées à 18 heures (confirmé également par le DASEN). Les plans d'animation à 24h sur les mercredis sont hors réglementation.
Le SNUDI-FO demande toujours le retrait des formations en « constellations » qui sont adossées à PPCR (dixit JM Blanquer) tant au niveau local que national, ainsi qu'un respect strict des 18h du temps de formation, dans une formation CHOISIE.
Tout sur le droit à RIS ici : notre vademecum
La fiche à destination de l'IEN ici
Une question sur les RIS ? 06.13.77.43.84 ou 06.21.21.83.38 contact@
Grève du 5 octobre.
Alors que les entreprises du CAC 40 connaissent un bond phénoménal de leurs profits et que les dividendes versés aux actionnaires s’envolent, les salarié-es sont toujours à la peine.
Dans l'éducation et la fonction publique, le gel du point d'indice (confirmé dans l'axe 3 de PPCR) bloque nos salaires depuis 2010.
Pire, les hausses des coûts de l'alimentation et de l'énergie grèvent toujours un peu plus les budgets de chacun.
Force Ouvrière avec Solidaires, CGT, FSU et les organisations lycéennes et étudiantes appellent à une grève massive interprofessionnelle ce mardi 5 octobre.
=> pour l'augmentation des salaires, des retraites et le dégel du point d'indice
=> contre la pulvérisation de nos statuts
=> contre la destruction des emplois, y compris dans l'hôpital public, pas épargné
=> pour la création massive d'emplois pérennes, l'arrêt de la contractualisation, la titularisation des contractuels
=> pour l'abandon de la réforme de l'assurance chômage qui s'attaque aux chômeurs et non au chômage
=> pour l'abandon définitif du projet de réforme des retraites
=> pour le rétablissement de tous nos droits et libertés
A Calais, 9h, Place Crèvecoeur.
A Lille, 14h, Porte de Paris
Loi Rilhac : un contremaître coincé entre délégation de pouvoir et pressions locales.
Le management néo-libéral par la multiplication des contremaîtres de l'éducation, c'est NON, pour le SNUDI-FO comme pour l'écrasante majorité des PE.
Qu'est-ce ce gouvernement a retenu du suicide de notre collègue Christine Renon ? Rien !
Sous couvert de statut, il va charger encore la barque des directeur-trices en les coinçant entre "la délégation de pouvoir" du DASEN et l'application des décisions des conseils d'écoles au sein desquels les enseignant-es sont minoritaires.
Dans le but de supprimer le corps des IEN en 2023, le-la directeur-trice "bénéficiera" d'une délégation de compétences : appliquer les directives du DASEN qui lui-même est sans aucune marge de manœuvre face aux injonctions ministérielles.
Celles et ceux qui appellent de leurs vœux un nouveau chef dans les écoles ne mesurent pas le poids qui va peser sur leurs épaules. Objectifs chiffrés, comptes à rendre sur le « management » des équipes qu'ils auront choisies, devoir d'appliquer les lettres de missions intenables issues de la « délégation de pouvoir » du Dasen...
Extrait de l'art.1 de la loi Rilhac : " Le directeur de l’école préside le conseil d’école qui réunit les représentants de la communauté éducative, entérine les décisions qui y sont prises et les met en œuvre."
Quel progrès ! Un directeur à la botte des conseils d'école, coincé entre les directives du DASEN et celles des élus locaux, parents et/ou politiques. Les zélateurs de "l'école autonome" en seront pour leurs frais, il n'y aura aucune autonomie, juste des donneurs d'ordre qu'il faudra satisfaire.
Avec le SNUDI-FO, prenons position dans les RIS, les conseils de maîtres contre la loi Rilhac. L'école et ses personnels doivent rester à l'abri des pressions locales !
Motion adoptée en RIS contre un statut.
Tout sur la loi Rilhac : notre communiqué.
Adhérez au SNUDI-FO !
Nous syndiquons en année civile. L'adhésion est à tiers-tarif pour une adhésion jusqu'au 31/12/21
Rejoignez un syndicat libre, qui n'est ni un énième rouage de l'administration, ni un porte-parole du gouvernement.
Résister, revendiquer pour toutes et tous, sans exception.
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Toute RIS est décomptable des 108h (hors APC et conseil d'école), y compris des 18 heures d'animations pédagogiques, le DASEN en a informé les IEN.
Les animations pédagogiques des mercredis sont d'ailleurs limitées à 18 heures (confirmé également par le DASEN). Les plans d'animation à 24h sur les mercredis sont hors réglementation.
Le SNUDI-FO demande toujours le retrait des formations en « constellations » qui sont adossées à PPCR (dixit JM Blanquer) tant au niveau local que national, ainsi qu'un respect strict des 18h du temps de formation, dans une formation CHOISIE.
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Grève du 5 octobre.
Alors que les entreprises du CAC 40 connaissent un bond phénoménal de leurs profits et que les dividendes versés aux actionnaires s’envolent, les salarié-es sont toujours à la peine.
Dans l'éducation et la fonction publique, le gel du point d'indice (confirmé dans l'axe 3 de PPCR) bloque nos salaires depuis 2010.
Pire, les hausses des coûts de l'alimentation et de l'énergie grèvent toujours un peu plus les budgets de chacun.
Force Ouvrière avec Solidaires, CGT, FSU et les organisations lycéennes et étudiantes appellent à une grève massive interprofessionnelle ce mardi 5 octobre.
=> pour l'augmentation des salaires, des retraites et le dégel du point d'indice
=> contre la pulvérisation de nos statuts
=> contre la destruction des emplois, y compris dans l'hôpital public, pas épargné
=> pour la création massive d'emplois pérennes, l'arrêt de la contractualisation, la titularisation des contractuels
=> pour l'abandon de la réforme de l'assurance chômage qui s'attaque aux chômeurs et non au chômage
=> pour l'abandon définitif du projet de réforme des retraites
=> pour le rétablissement de tous nos droits et libertés
A Calais, 9h, Place Crèvecoeur.
A Lille, 14h, Porte de Paris
Loi Rilhac : un contremaître coincé entre délégation de pouvoir et pressions locales.
Le management néo-libéral par la multiplication des contremaîtres de l'éducation, c'est NON, pour le SNUDI-FO comme pour l'écrasante majorité des PE.
Qu'est-ce ce gouvernement a retenu du suicide de notre collègue Christine Renon ? Rien !
Sous couvert de statut, il va charger encore la barque des directeur-trices en les coinçant entre "la délégation de pouvoir" du DASEN et l'application des décisions des conseils d'écoles au sein desquels les enseignant-es sont minoritaires.
Dans le but de supprimer le corps des IEN en 2023, le-la directeur-trice "bénéficiera" d'une délégation de compétences : appliquer les directives du DASEN qui lui-même est sans aucune marge de manœuvre face aux injonctions ministérielles.
Celles et ceux qui appellent de leurs vœux un nouveau chef dans les écoles ne mesurent pas le poids qui va peser sur leurs épaules. Objectifs chiffrés, comptes à rendre sur le « management » des équipes qu'ils auront choisies, devoir d'appliquer les lettres de missions intenables issues de la « délégation de pouvoir » du Dasen...
Extrait de l'art.1 de la loi Rilhac : " Le directeur de l’école préside le conseil d’école qui réunit les représentants de la communauté éducative, entérine les décisions qui y sont prises et les met en œuvre."
Quel progrès ! Un directeur à la botte des conseils d'école, coincé entre les directives du DASEN et celles des élus locaux, parents et/ou politiques. Les zélateurs de "l'école autonome" en seront pour leurs frais, il n'y aura aucune autonomie, juste des donneurs d'ordre qu'il faudra satisfaire.
Avec le SNUDI-FO, prenons position dans les RIS, les conseils de maîtres contre la loi Rilhac. L'école et ses personnels doivent rester à l'abri des pressions locales !
Motion adoptée en RIS contre un statut.
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