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L'inFO du 62

Une répression honteuse !

Les collègues de Christine Renon qui se sont rendu.es à ses obsèques se sont vu retirer une journée de salaire.

Le Ministère pouvait-il prendre une décision plus inhumaine ? Alors que le suicide de Christine Renon a été reconnu « imputable au service », aucune mesure de bienveillance n'est venue apaiser ses collègues. Au contraire. Mais qui en sera surpris ?

Lire notre communiqué ici



  Mort des CAPD: comment isoler les personnels face à l'administration !

La loi de « Transformation de la Fonction Publique » rend caduques les élections professionnelles de décembre 2018. Le SNUDI-FO 62 et le SNU-iPP 62 se sont opposés avec force à cette suppression, attachés à la défense des personnels, en boycottant la CAPD « promotions ».

Après lecture d'une déclaration revendicative, les élu.es du SNUDI-FO et du SNU-iPP ont quitté cet ersatz de CAPD.

La remise en cause du paritarisme marque une attaque contre les personnels, avec la volonté de nous laisser seuls face à l'administration. Elle est aussi une offensive sans précédent depuis 1940 contre les syndicats, vos élu.es et les élections professionnelles.

Le paritarisme, comme le droit à pension et la Sécurité Sociale, sont des conquêtes des salariés. C'est l'ensemble de ces conquêtes que le gouvernement veut dynamiter.

Au 1er janvier 2020, les CAPD concernant les mutations sont supprimées. Au 1er janvier 2021, ce seront les CAPD concernant les promotions.

Lire le communiqué commun SNU-ipp 62 SNUDI-FO 62 ici


Spécial direction : nos revendications sont majoritaires !
 

Un sondage édifiant

Le Ministre, profitant honteusement de l'émoi suscité par le suicide de Mme Renon, a remis sur la table la question du statut. (Pour rappel, les collègues de Mme Renon ayant assisté à ses funérailles se sont vu ôter une journée de salaire)

Seul.es 11% des sondé.es sur cette question se disent favorables à un statut.

Durant nos RIS, les collègues directeur.trices ne disent pas autre chose, florilège :

« mon ambition n'est pas de devenir chef de rayon »

« mon métier, c'est PE. Directeur, ça n'est qu'une fonction que je veux pouvoir quitter. Avec un statut, je ne sais pas si c'est possible »

« je ne suis pas un administratif, j'ai choisi de travailler avec des enfants, pas avec de la paperasse »

« je ne veux pas être accablée de nouvelles tâches en échange d'un statut »

« je ne veux pas devenir supérieure hiérarchique de collègues avec qui je travaille sereinement, en bonne intelligence, depuis quinze ans...je ne veux pas avoir à les évaluer...»

« si je voulais devenir manager, j'aurais choisi une autre voie... »

Le communiqué du SNUDI-FO ici

Les revendications des directeur.trices restent très simples, conformes à celles défendues par le SNUDI-FO depuis des années.

Le SNUDI-FO porte les revendications de la base et ne défend aucune orientation gouvernementale. Les revendications que nous portons sont celles de nos adhérent.es, rien d'autre :

  • non aux établissements du premier degré (EPEP, EPSF)
  • amélioration sensible des décharges,
  • 100 points d'indice pour toutes et tous dans un premier temps,
  • le retour d'une aide administrative sous statut,
  • la tenue de toutes les réunions sur temps scolaire avec mise à disposition d'un-e titulaire-remplaçant-e,
  • le transfert de la responsabilité du PPMS à la commune, dans le cadre du PCS (plan communal de sauvegarde),
  • l'arrêt de la territorialisation de l'école par les PedT afin de préserver directeur-trices et adjoint-es de l'ingérence des mairies,
  • la fin des postes profilés et le respect du barème pour l'octroi des postes,
  • le respect du décret de 1989 fixant les missions des directeur-trices.


Le gouvernement fait la sourde oreille (lire ici)

Téléchargez le 4 pages spécial "direction" du SNUDI-FO

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Une répression honteuse !

Les collègues de Christine Renon qui se sont rendu.es à ses obsèques se sont vu retirer une journée de salaire.

Le Ministère pouvait-il prendre une décision plus inhumaine ? Alors que le suicide de Christine Renon a été reconnu « imputable au service », aucune mesure de bienveillance n'est venue apaiser ses collègues. Au contraire. Mais qui en sera surpris ?

Lire notre communiqué ici



  Mort des CAPD: comment isoler les personnels face à l'administration !

La loi de « Transformation de la Fonction Publique » rend caduques les élections professionnelles de décembre 2018. Le SNUDI-FO 62 et le SNU-iPP 62 se sont opposés avec force à cette suppression, attachés à la défense des personnels, en boycottant la CAPD « promotions ».

Après lecture d'une déclaration revendicative, les élu.es du SNUDI-FO et du SNU-iPP ont quitté cet ersatz de CAPD.

La remise en cause du paritarisme marque une attaque contre les personnels, avec la volonté de nous laisser seuls face à l'administration. Elle est aussi une offensive sans précédent depuis 1940 contre les syndicats, vos élu.es et les élections professionnelles.

Le paritarisme, comme le droit à pension et la Sécurité Sociale, sont des conquêtes des salariés. C'est l'ensemble de ces conquêtes que le gouvernement veut dynamiter.

Au 1er janvier 2020, les CAPD concernant les mutations sont supprimées. Au 1er janvier 2021, ce seront les CAPD concernant les promotions.

Lire le communiqué commun SNU-ipp 62 SNUDI-FO 62 ici


Spécial direction : nos revendications sont majoritaires !
 

Un sondage édifiant

Le Ministre, profitant honteusement de l'émoi suscité par le suicide de Mme Renon, a remis sur la table la question du statut. (Pour rappel, les collègues de Mme Renon ayant assisté à ses funérailles se sont vu ôter une journée de salaire)

Seul.es 11% des sondé.es sur cette question se disent favorables à un statut.

Durant nos RIS, les collègues directeur.trices ne disent pas autre chose, florilège :

« mon ambition n'est pas de devenir chef de rayon »

« mon métier, c'est PE. Directeur, ça n'est qu'une fonction que je veux pouvoir quitter. Avec un statut, je ne sais pas si c'est possible »

« je ne suis pas un administratif, j'ai choisi de travailler avec des enfants, pas avec de la paperasse »

« je ne veux pas être accablée de nouvelles tâches en échange d'un statut »

« je ne veux pas devenir supérieure hiérarchique de collègues avec qui je travaille sereinement, en bonne intelligence, depuis quinze ans...je ne veux pas avoir à les évaluer...»

« si je voulais devenir manager, j'aurais choisi une autre voie... »

Le communiqué du SNUDI-FO ici

Les revendications des directeur.trices restent très simples, conformes à celles défendues par le SNUDI-FO depuis des années.

Le SNUDI-FO porte les revendications de la base et ne défend aucune orientation gouvernementale. Les revendications que nous portons sont celles de nos adhérent.es, rien d'autre :

  • non aux établissements du premier degré (EPEP, EPSF)
  • amélioration sensible des décharges,
  • 100 points d'indice pour toutes et tous dans un premier temps,
  • le retour d'une aide administrative sous statut,
  • la tenue de toutes les réunions sur temps scolaire avec mise à disposition d'un-e titulaire-remplaçant-e,
  • le transfert de la responsabilité du PPMS à la commune, dans le cadre du PCS (plan communal de sauvegarde),
  • l'arrêt de la territorialisation de l'école par les PedT afin de préserver directeur-trices et adjoint-es de l'ingérence des mairies,
  • la fin des postes profilés et le respect du barème pour l'octroi des postes,
  • le respect du décret de 1989 fixant les missions des directeur-trices.


Le gouvernement fait la sourde oreille (lire ici)

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