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L'inFO du 62

Tests salivaires : le postillon qui fait déborder le vase.

Tranche de vie de directeur.trice. Réalisé sans trucage.

lundi : 20h47 (sic), message. Tests jeudi...faire le nécessaire.

mardi : 115 volontaires. Organisation des tests.

mercredi : collecte des consentements et autres documents, particulièrement pour les ½ pensionnaires

mercredi : le laboratoire prévenu tardivement par le Rectorat ne peut mettre qu'une personne sur ces tests

jeudi : une trentaine d'élèves testés...

De qui se moque-t-on ? Sous couvert de « protéger » les élèves et les personnels ce qui se joue, c'est plutôt la campagne de communication du gouvernement, entre autres.

Le scandale, c'est que ce soit nos directeurs et directrices ou les adjoint.es qui soient utilisés et mobilisés en fin de soirée et tout un mercredi pour quasi rien.

Remettre les directeurs et directrices au service strict des élèves à l'école et non au service des territoires, des campagnes de com', des carrières de l'un ou l'autre, c'est toute la revendication du SNUDI-FO.

=> Respect du décret de 1989 sur les missions des directeurs.trices, respect des personnels.

=> Abandon immédiat de la loi Rilhac qui fait des directeurs.trices des factotums des communes, des DASEN et des Conseils d’École.

Le communiqué intersyndical FO FSU SUD CGT ici

Organiser les tests n'est pas le rôle des directrices et directeurs.

Si ramasser des documents peut s'entendre, il est inacceptable que les personnels soient utilisés pour :

=> vérifier ces documents à caractère confidentiel, leur remplissage, leur validité, vérifier leur transmission

=> organiser l'accueil, la désinfection des locaux ou toute autre tâche périphérique à ces tests, du ressort des mairies ou de personnels de santé.

Ni les enseignant.es, ni les AESH ne peuvent pallier le manque de personnels de la médecine scolaire. La confusion des rôles et des missions sous couvert de bienveillance et de solidarité, c'est NON.

Pour le SNUDI-FO et les médecins et infirmier.es scolaires FO, les revendications demeurent :

=> recrutement de personnels médecins scolaires et infirmier.es scolaires qui manquent cruellement en ces temps de pandémie

=> maintien des personnels de santé dans l’Éducation Nationale

=> recrutement de médecins dans les rectorats pour une vraie Médecine du Travail.

Non, les directrices et directeurs ne peuvent pas gérer toutes les carences du Ministère, sur fond d'économies perpétuelles.


RIS d'Athies (Arras) modification de date : 10 avril.

La date qui était décalée au 3 est redécalée au 10 avril.

Le 3 sera le premier week-end de « liberté » (de 3 jours qui plus est) et le Pas-de-Calais ne ressemblera plus à camp de travail géant. Du moins faut-il l'espérer.

De sérieuses études menées après les rave-parties sauvages et la Fête de la Musique 2020 (sans masque à l'époque), entre autres montrent que la propagation du virus en plein air est nulle.

L’État d'Urgence (qui n'a de sanitaire que le nom) qui permet au premier ministre ou au président de décider unilatéralement de confiner en réduisant à néant la liberté de circulation doit être abandonné !

Dates de RIS ici

Fiche à destination de l'IEN ici


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Rejoignez un véritable syndicat de défense des salaires, des postes et des conditions de travail, libre et indépendant. 100% tourné vers les personnels.

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Tests salivaires : le postillon qui fait déborder le vase.

Tranche de vie de directeur.trice. Réalisé sans trucage.

lundi : 20h47 (sic), message. Tests jeudi...faire le nécessaire.

mardi : 115 volontaires. Organisation des tests.

mercredi : collecte des consentements et autres documents, particulièrement pour les ½ pensionnaires

mercredi : le laboratoire prévenu tardivement par le Rectorat ne peut mettre qu'une personne sur ces tests

jeudi : une trentaine d'élèves testés...

De qui se moque-t-on ? Sous couvert de « protéger » les élèves et les personnels ce qui se joue, c'est plutôt la campagne de communication du gouvernement, entre autres.

Le scandale, c'est que ce soit nos directeurs et directrices ou les adjoint.es qui soient utilisés et mobilisés en fin de soirée et tout un mercredi pour quasi rien.

Remettre les directeurs et directrices au service strict des élèves à l'école et non au service des territoires, des campagnes de com', des carrières de l'un ou l'autre, c'est toute la revendication du SNUDI-FO.

=> Respect du décret de 1989 sur les missions des directeurs.trices, respect des personnels.

=> Abandon immédiat de la loi Rilhac qui fait des directeurs.trices des factotums des communes, des DASEN et des Conseils d’École.

Le communiqué intersyndical FO FSU SUD CGT ici

Organiser les tests n'est pas le rôle des directrices et directeurs.

Si ramasser des documents peut s'entendre, il est inacceptable que les personnels soient utilisés pour :

=> vérifier ces documents à caractère confidentiel, leur remplissage, leur validité, vérifier leur transmission

=> organiser l'accueil, la désinfection des locaux ou toute autre tâche périphérique à ces tests, du ressort des mairies ou de personnels de santé.

Ni les enseignant.es, ni les AESH ne peuvent pallier le manque de personnels de la médecine scolaire. La confusion des rôles et des missions sous couvert de bienveillance et de solidarité, c'est NON.

Pour le SNUDI-FO et les médecins et infirmier.es scolaires FO, les revendications demeurent :

=> recrutement de personnels médecins scolaires et infirmier.es scolaires qui manquent cruellement en ces temps de pandémie

=> maintien des personnels de santé dans l’Éducation Nationale

=> recrutement de médecins dans les rectorats pour une vraie Médecine du Travail.

Non, les directrices et directeurs ne peuvent pas gérer toutes les carences du Ministère, sur fond d'économies perpétuelles.


RIS d'Athies (Arras) modification de date : 10 avril.

La date qui était décalée au 3 est redécalée au 10 avril.

Le 3 sera le premier week-end de « liberté » (de 3 jours qui plus est) et le Pas-de-Calais ne ressemblera plus à camp de travail géant. Du moins faut-il l'espérer.

De sérieuses études menées après les rave-parties sauvages et la Fête de la Musique 2020 (sans masque à l'époque), entre autres montrent que la propagation du virus en plein air est nulle.

L’État d'Urgence (qui n'a de sanitaire que le nom) qui permet au premier ministre ou au président de décider unilatéralement de confiner en réduisant à néant la liberté de circulation doit être abandonné !

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