L'inFO du 62
31 mai, au Rectorat à 14h30.
La réforme de la voie professionnelle aura comme conséquences :
=> la mise à mort des diplômes, seuls garants d'une grille salariale d'embauche
=> la mise à mort des lycées professionnels qui seuls garantissent aux élèves souvent issus des classes populaires l'accès à une culture commune et la possibilité de décrocher des diplômes
=> la mise sur le carreaux de postes de PLP à qui on proposerait de devenir PE ou PLC...
De plus, le pacte N'Diaye-Macron conditionne une meilleure rétribution des enseignant-es à des tâches et missions supplémentaires (soutien, plus d'APC, des interventions au collège).
Travailler beaucoup plus pour des cacahuètes et se dédouaner ainsi d'une vraie revalorisation du point d'indice...inacceptable.
Derrière ça, l'idée que les enseignants de ce pays ne sont pas fatigués avec ce qu'ils produisent en classe.
Mercredi 31 mai, 14h30 au Rectorat, disons un grand NON à la mort de l'enseignement professionnel et au pacte Macron-N'Diaye.
En juin, ne lâche rien.
Pas de dernier acte, pas de baroud d'honneur. Le 6 juin, on défend deux années de vie.
=> puisque ce gouvernement prétend toujours nous voler deux années de vie, nous ne céderons pas.
Notre revendication demeure : abrogation de la retraite des morts !
Les lieux de manifestation à retrouver sur notre site.
Loi Rilhac : caporalisation en marche.
Les décrets d'application, contre l'avis des personnels encore une fois, se mettent en place, le Ministère pouvant compter sur l'appui du Se-Unsa et de la CFDT.
Les organisations FO, FSU, CGT, SNALC et SUD représentant évidemment la majorité des personnels se sont prononcées contre ce qui va créer dans les écoles des conditions de travail et des ambiances délétères.
=> responsabilité pédagogique et pilotage accru des pratiques pédagogiques
=> autorité sur tous les personnels de l'école
=> responsabilité de la formation...
Le prix à payer pour les néo-chefs
=> inspection au bout de trois ans à la nomination puis tous les 5 ans.
Le tout contre un avancement bonifié de trois mois...peanuts.
Nos revendications, qui sont celles de l'énorme majorité des PE et de leurs syndicats, doivent être entendues
=> pas de chefs dans les écoles
=> respect de la liberté pédagogique
=> aide administrative pérenne pour les directeur-trices
=> 100 points d'indice
=> abandon de la loi Rilhac.
4 pages "direction" à lire (et à faire lire) ici sans modération
31 mai, au Rectorat à 14h30.
La réforme de la voie professionnelle aura comme conséquences :
=> la mise à mort des diplômes, seuls garants d'une grille salariale d'embauche
=> la mise à mort des lycées professionnels qui seuls garantissent aux élèves souvent issus des classes populaires l'accès à une culture commune et la possibilité de décrocher des diplômes
=> la mise sur le carreaux de postes de PLP à qui on proposerait de devenir PE ou PLC...
De plus, le pacte N'Diaye-Macron conditionne une meilleure rétribution des enseignant-es à des tâches et missions supplémentaires (soutien, plus d'APC, des interventions au collège).
Travailler beaucoup plus pour des cacahuètes et se dédouaner ainsi d'une vraie revalorisation du point d'indice...inacceptable.
Derrière ça, l'idée que les enseignants de ce pays ne sont pas fatigués avec ce qu'ils produisent en classe.
Mercredi 31 mai, 14h30 au Rectorat, disons un grand NON à la mort de l'enseignement professionnel et au pacte Macron-N'Diaye.
En juin, ne lâche rien.
Pas de dernier acte, pas de baroud d'honneur. Le 6 juin, on défend deux années de vie.
=> puisque ce gouvernement prétend toujours nous voler deux années de vie, nous ne céderons pas.
Notre revendication demeure : abrogation de la retraite des morts !
Les lieux de manifestation à retrouver sur notre site.
Loi Rilhac : caporalisation en marche.
Les décrets d'application, contre l'avis des personnels encore une fois, se mettent en place, le Ministère pouvant compter sur l'appui du Se-Unsa et de la CFDT.
Les organisations FO, FSU, CGT, SNALC et SUD représentant évidemment la majorité des personnels se sont prononcées contre ce qui va créer dans les écoles des conditions de travail et des ambiances délétères.
=> responsabilité pédagogique et pilotage accru des pratiques pédagogiques
=> autorité sur tous les personnels de l'école
=> responsabilité de la formation...
Le prix à payer pour les néo-chefs
=> inspection au bout de trois ans à la nomination puis tous les 5 ans.
Le tout contre un avancement bonifié de trois mois...peanuts.
Nos revendications, qui sont celles de l'énorme majorité des PE et de leurs syndicats, doivent être entendues
=> pas de chefs dans les écoles
=> respect de la liberté pédagogique
=> aide administrative pérenne pour les directeur-trices
=> 100 points d'indice
=> abandon de la loi Rilhac.
4 pages "direction" à lire (et à faire lire) ici sans modération