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L'inFO du 62

Mascarade DIM.

Alors qu'un durcissement des règles de circulation et de regroupement s'opère partout et que les discours alarmistes se multiplient, un assouplissement général est prévu dans l’Éducation Nationale. Nous sommes envoyés au travail dans des conditions sanitaires dégradées avec des masques inefficaces : peu couvrants, élasticité insuffisante, épaisseur suffocante.

L'avis des ARS : l'ARS de la Vienne a placé des collègues porteurs du masque DIM en raison de ce masque, qu'elle a jugé inefficace. D'autres ARS sont de cet avis.

Aucune norme : ces masques ont juste une spécification AFNOR créée à la va-vite en mars alors que les masques manquaient. Ce dispositif n'est ni un dispositif médical, ni un équipement de protection individuelle au sens des règlements en vigueur. Bref, quasi rien.

Une étude scientifique l'affirme dans le British Medical Journal : pour un masque en tissu, la pénétration des particules est de 97% contre 44% pour un masque chirurgical. Il ne nous protège quasiment pas.

Traitement biocide du masque : traité à la zéolite d'argent et de cuivre, cette substance n'est pas approuvée comme biocide (tuant les virus et bactéries) dans la nomenclature européenne.

Entretien du masque : aucun détergent, aucune température de lavage n'ont été testés. Les injonctions du Ministère relèvent de la pensée magique : « on dit que ça marche, donc ça marche... »

Le SNUDI-FO demande de vrais masques, adaptés à nos besoins. Nous avons également besoin de masques transparents pour nous et nos élèves malentendants qui ont besoin de la lecture labiale.


Ailleurs dans le monde...

Exception française : il semblerait que seuls les enfants français ne soient pas des vecteurs de la maladie. Les enfants ne véhiculeraient pas le virus aux enseignant-es mais ils sont priés de rester loin de leurs grands-parents. Alors ? Contagieux ou pas les enfants ?

Aux États-Unis, 6 enfants ont contaminé 12 camarades et presque autant d'adultes dans un Child Care Center (source France-Info).

L'OMS insiste sur la nécessité du masque dès 6 ans. En France, c'est 11.

Les masques sont gratuits à Cuba, en Suisse, en Grèce...

Pour le SNUDI-FO, ce protocole doit être levé. Il faut recruter des médecins de prévention, construire une vraie médecine du travail, nous fournir de vraies protections.

Le protocole ne sert qu'à faire peser sur les personnels la responsabilité de son application pour dédouaner notre employeur et masquer (en DIM ?) l'incurie du gouvernement. Il permet aux personnels vulnérables de se retrouver au travail ! Sans cesse modifié, nous exposant un peu plus, sans cesse allégé, ce protocole doit disparaître.


C'est nouveau, ça vient de sortir...

Les classes ne ferment plus pour un seul cas de Covid. Il en faut 3, et pas dans la même fratrie.

La durée d'éviction est abaissée à 7 jours, contre 14 précédemment, enfant ou adulte...Comme une rhino-pharyngite.

Pas de nouveau test pour le retour.

Le masque DIM est reconnu aujourd'hui aux normes (voir plus haut). Il n'a pas changé. C'est un énième tour de passe-passe.

Nous exigeons toujours :

  • l'abrogation du jour de carence
  • l'imputabilité au service en cas d'infection par la Covid
  • des ASA pour les personnels vulnérables, devenus invulnérables par la promulgation d'un décret le 31 août dernier...magique.

Vous défendre, c'est adhérer au SNUDI-FO. C'est faire vivre un syndicat revendicatif qui reste centré sur l'essentiel : la défense des postes, des salaires, des conditions de travail.

Lire la suite Lire la suite

Mascarade DIM.

Alors qu'un durcissement des règles de circulation et de regroupement s'opère partout et que les discours alarmistes se multiplient, un assouplissement général est prévu dans l’Éducation Nationale. Nous sommes envoyés au travail dans des conditions sanitaires dégradées avec des masques inefficaces : peu couvrants, élasticité insuffisante, épaisseur suffocante.

L'avis des ARS : l'ARS de la Vienne a placé des collègues porteurs du masque DIM en raison de ce masque, qu'elle a jugé inefficace. D'autres ARS sont de cet avis.

Aucune norme : ces masques ont juste une spécification AFNOR créée à la va-vite en mars alors que les masques manquaient. Ce dispositif n'est ni un dispositif médical, ni un équipement de protection individuelle au sens des règlements en vigueur. Bref, quasi rien.

Une étude scientifique l'affirme dans le British Medical Journal : pour un masque en tissu, la pénétration des particules est de 97% contre 44% pour un masque chirurgical. Il ne nous protège quasiment pas.

Traitement biocide du masque : traité à la zéolite d'argent et de cuivre, cette substance n'est pas approuvée comme biocide (tuant les virus et bactéries) dans la nomenclature européenne.

Entretien du masque : aucun détergent, aucune température de lavage n'ont été testés. Les injonctions du Ministère relèvent de la pensée magique : « on dit que ça marche, donc ça marche... »

Le SNUDI-FO demande de vrais masques, adaptés à nos besoins. Nous avons également besoin de masques transparents pour nous et nos élèves malentendants qui ont besoin de la lecture labiale.


Ailleurs dans le monde...

Exception française : il semblerait que seuls les enfants français ne soient pas des vecteurs de la maladie. Les enfants ne véhiculeraient pas le virus aux enseignant-es mais ils sont priés de rester loin de leurs grands-parents. Alors ? Contagieux ou pas les enfants ?

Aux États-Unis, 6 enfants ont contaminé 12 camarades et presque autant d'adultes dans un Child Care Center (source France-Info).

L'OMS insiste sur la nécessité du masque dès 6 ans. En France, c'est 11.

Les masques sont gratuits à Cuba, en Suisse, en Grèce...

Pour le SNUDI-FO, ce protocole doit être levé. Il faut recruter des médecins de prévention, construire une vraie médecine du travail, nous fournir de vraies protections.

Le protocole ne sert qu'à faire peser sur les personnels la responsabilité de son application pour dédouaner notre employeur et masquer (en DIM ?) l'incurie du gouvernement. Il permet aux personnels vulnérables de se retrouver au travail ! Sans cesse modifié, nous exposant un peu plus, sans cesse allégé, ce protocole doit disparaître.


C'est nouveau, ça vient de sortir...

Les classes ne ferment plus pour un seul cas de Covid. Il en faut 3, et pas dans la même fratrie.

La durée d'éviction est abaissée à 7 jours, contre 14 précédemment, enfant ou adulte...Comme une rhino-pharyngite.

Pas de nouveau test pour le retour.

Le masque DIM est reconnu aujourd'hui aux normes (voir plus haut). Il n'a pas changé. C'est un énième tour de passe-passe.

Nous exigeons toujours :

  • l'abrogation du jour de carence
  • l'imputabilité au service en cas d'infection par la Covid
  • des ASA pour les personnels vulnérables, devenus invulnérables par la promulgation d'un décret le 31 août dernier...magique.

Vous défendre, c'est adhérer au SNUDI-FO. C'est faire vivre un syndicat revendicatif qui reste centré sur l'essentiel : la défense des postes, des salaires, des conditions de travail.

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Tout et son contraire, encore.

Le gouvernement veut organiser le retour de tous en classe, quel qu'en soit l'impact sur notre santé, quel que soit l'avis des scientifiques.

Le masque naguère inutile est devenu obligatoire. Les masques à laver à 60° sont devenus lavables n'importe comment. Les masques au nombre de lavages défini sont devenus utilisables jusqu'à l'usure.

La « quatorzaine » est devenue une « septaine », la santé des personnels est sacrifiée sur l'autel du retour en classe. Les premiers de corvée sont bien là.

Tout et son contraire pourvu que tout le monde soit en classe.

Pendant ce temps-là, les 2S2C actent l'intrusion des territoires dans l'enseignement, le point d'indice est gelé, les masques FFP2 ne sont pas proposés aux personnels, même les plus vulnérables : ceux qui prétendent que la rentrée s'est bien passée se moquent de nous.

Le SNUDI-FO réclame des masques FFP2 et des postes par l'ouverture de la liste complémentaire pour assurer les remplacements ou le dédoublement des classes en cas d'épidémie. Pas d'enseignement sans enseignant-es !

Le communiqué du SNUDI ici.


AESH et ASH : défendre les postes, les statuts et les salaires.

100 milliards d'euros d'aide aux entreprises (sans obligation de maintien de l'emploi : ce sont des euros pour les actionnaires) qui font suite aux 470 milliards de l'aide d'urgence post-Covid et pas un centime pour les AESH.

Ni les AESH, payé-es largement sous le seuil de pauvreté, ni les enfants en situation de handicap ne sont une priorité du gouvernement. Derrière les discours mielleux, c'est la destruction de l'enseignement spécialisé qui est une réalité : suppressions de postes en SEGPA, RASED moribonds, personnels sous-payés, inclusion à marche forcée devenue un dogme et non plus un projet pédagogique.

Pour le SNUDI-FO, les AESH doivent bénéficier d'un statut garantissant une progression indiciaire sur la carrière. Nous demandons également un temps complet pour celles-ceux qui le demandent. Les 183 euros obtenus par les agents hospitaliers doivent être versés à tous, AESH et PE.

Les postes spécialisés doivent être pérennisés : plus que jamais les élèves en situation de handicap encore fragilisés par le confinement doivent pouvoir avoir un enseignement adapté délivré par des PE spécialisé-es.

Rentrée des AESH. Le SNUDI vous défend ! (lire ici)



Constellations : déjà utilisées pour la formation sur le temps de vacances.

La formation par « constellations » semble constituer l'alpha et l'oméga de la formation. Mieux que les formations en amphi à 300 ou des animations sponsorisées par des éditeurs qui viennent vendre leur soupe ?

Pas vraiment. Ces constellations s'inscrivent dans la volonté de PPCR de faire des PE des stagiaires à vie.

D'ores et déjà, en lieu et place des 18h de formation, ce sont 30 heures prévues dans certains départements, les 12 restantes étant effectuées sur le temps de vacances.

Si rien de tel n'est prévu dans notre département, le SNUDI-FO reste vigilant.

C'est parfaitement « raccord » avec la volonté du Ministre de « repenser la vie des enseignant-es... » Il faudrait mettre les enseignant-es au boulot : quand les discussions du bar du coin font une ligne politique, l'inquiétude est grande.

Travailler plus pour gagner moins, voilà l'objectif ministériel.

Ce que réclame le SNUDI-FO : 183 euros immédiatement comme les collègues des hôpitaux, premier pas vers un rattrapage des 18% perdus en 20 ans et une formation choisie sur le temps de travail.

Constellations : une attaque contre le temps de travail et le statut. Lire ici.


Vous défendre, c'est adhérer au SNUDI-FO. C'est faire vivre un syndicat revendicatif centré sur l'essentiel : la défense des postes, des salaires, des conditions de travail.


Participez à nos RIS.

Les RIS du SNUDI-FO sont un lieu de discussion et d'information. Ne restez pas seul-e face aux protocoles, à la destruction des statuts. Les RIS se dérouleront dans le respect des règles sanitaires : port du masque, gel (fourni).

Nous vous demandons de vous inscrire, ce n'est en aucun cas un flicage, c'est une façon d'évaluer le nombre de présent-es pour gérer au mieux la nécessaire distanciation physique.

Dates de RIS et inscriptions sur la page d'accueil.

Tout sur le droit à RIS ici !

Toute RIS est décomptable des 108h, hors APC & conseils d'école, y compris les animations pédagogiques en présence ou à distance.

Pas RIS près de chez vous ? Ca peut se faire... Envoyez-nous un mail, un sms, un appel (06.13.77.43.84)

Lire la suite Lire la suite

Tout et son contraire, encore.

Le gouvernement veut organiser le retour de tous en classe, quel qu'en soit l'impact sur notre santé, quel que soit l'avis des scientifiques.

Le masque naguère inutile est devenu obligatoire. Les masques à laver à 60° sont devenus lavables n'importe comment. Les masques au nombre de lavages défini sont devenus utilisables jusqu'à l'usure.

La « quatorzaine » est devenue une « septaine », la santé des personnels est sacrifiée sur l'autel du retour en classe. Les premiers de corvée sont bien là.

Tout et son contraire pourvu que tout le monde soit en classe.

Pendant ce temps-là, les 2S2C actent l'intrusion des territoires dans l'enseignement, le point d'indice est gelé, les masques FFP2 ne sont pas proposés aux personnels, même les plus vulnérables : ceux qui prétendent que la rentrée s'est bien passée se moquent de nous.

Le SNUDI-FO réclame des masques FFP2 et des postes par l'ouverture de la liste complémentaire pour assurer les remplacements ou le dédoublement des classes en cas d'épidémie. Pas d'enseignement sans enseignant-es !

Le communiqué du SNUDI ici.


AESH et ASH : défendre les postes, les statuts et les salaires.

100 milliards d'euros d'aide aux entreprises (sans obligation de maintien de l'emploi : ce sont des euros pour les actionnaires) qui font suite aux 470 milliards de l'aide d'urgence post-Covid et pas un centime pour les AESH.

Ni les AESH, payé-es largement sous le seuil de pauvreté, ni les enfants en situation de handicap ne sont une priorité du gouvernement. Derrière les discours mielleux, c'est la destruction de l'enseignement spécialisé qui est une réalité : suppressions de postes en SEGPA, RASED moribonds, personnels sous-payés, inclusion à marche forcée devenue un dogme et non plus un projet pédagogique.

Pour le SNUDI-FO, les AESH doivent bénéficier d'un statut garantissant une progression indiciaire sur la carrière. Nous demandons également un temps complet pour celles-ceux qui le demandent. Les 183 euros obtenus par les agents hospitaliers doivent être versés à tous, AESH et PE.

Les postes spécialisés doivent être pérennisés : plus que jamais les élèves en situation de handicap encore fragilisés par le confinement doivent pouvoir avoir un enseignement adapté délivré par des PE spécialisé-es.

Rentrée des AESH. Le SNUDI vous défend ! (lire ici)



Constellations : déjà utilisées pour la formation sur le temps de vacances.

La formation par « constellations » semble constituer l'alpha et l'oméga de la formation. Mieux que les formations en amphi à 300 ou des animations sponsorisées par des éditeurs qui viennent vendre leur soupe ?

Pas vraiment. Ces constellations s'inscrivent dans la volonté de PPCR de faire des PE des stagiaires à vie.

D'ores et déjà, en lieu et place des 18h de formation, ce sont 30 heures prévues dans certains départements, les 12 restantes étant effectuées sur le temps de vacances.

Si rien de tel n'est prévu dans notre département, le SNUDI-FO reste vigilant.

C'est parfaitement « raccord » avec la volonté du Ministre de « repenser la vie des enseignant-es... » Il faudrait mettre les enseignant-es au boulot : quand les discussions du bar du coin font une ligne politique, l'inquiétude est grande.

Travailler plus pour gagner moins, voilà l'objectif ministériel.

Ce que réclame le SNUDI-FO : 183 euros immédiatement comme les collègues des hôpitaux, premier pas vers un rattrapage des 18% perdus en 20 ans et une formation choisie sur le temps de travail.

Constellations : une attaque contre le temps de travail et le statut. Lire ici.


Vous défendre, c'est adhérer au SNUDI-FO. C'est faire vivre un syndicat revendicatif centré sur l'essentiel : la défense des postes, des salaires, des conditions de travail.


Participez à nos RIS.

Les RIS du SNUDI-FO sont un lieu de discussion et d'information. Ne restez pas seul-e face aux protocoles, à la destruction des statuts. Les RIS se dérouleront dans le respect des règles sanitaires : port du masque, gel (fourni).

Nous vous demandons de vous inscrire, ce n'est en aucun cas un flicage, c'est une façon d'évaluer le nombre de présent-es pour gérer au mieux la nécessaire distanciation physique.

Dates de RIS et inscriptions sur la page d'accueil.

Tout sur le droit à RIS ici !

Toute RIS est décomptable des 108h, hors APC & conseils d'école, y compris les animations pédagogiques en présence ou à distance.

Pas RIS près de chez vous ? Ca peut se faire... Envoyez-nous un mail, un sms, un appel (06.13.77.43.84)

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Un protocole qui protège le Ministre, pas les personnels.

Alors que des collègues nous signalent peiner à obtenir des masques, du gel hydroalcoolique, les personnels en situation de fragilité sont oubliés et méprisés. L'administration n'est même pas capable de leur fournir un masque FFP2.

Quid des ASA ?

Toujours pas d'ASA ni d’imputabilité au service. Les enseignant-es, y compris les plus fragiles, sont envoyés littéralement au casse-pipe.

En cas de manquement de notre employeur à vous fournir le matériel (gel, masques, lingettes virucides), contactez le SNUDI-FO.

Jour de carence, mise à l'isolement : les réponses du ministère ici

Un protocole pour protéger...le Ministre. Lire ici.


Carte scolaire, ajustement des passages à la Hors-Classe.

Carte scolaire : le DASEN a ouvert 4 classes, dont 3 maternelles dont la moyenne par classe s'élevait nettement au-dessus de 30. Une classe a été rouverte dans un RPI.
C'est maigre au regard du nombre de dossiers que défendaient les organisations syndicales. Le DASEN a accédé à une demande défendue par le SNUDI-FO.

Que faut il retenir ?

  • le seuil des classes dédoublées prétendument aux alentours de 12 est en fait 15. La notion d'alentours est particulièrement large...
     
  • les élèves en inclusion compte pour ½ élève. Le DASEN se félicite de cette disposition qui est supérieure à ce qui se pratique dans d'autres départements, où ces élèves ne compteraient pas. Il indique que s'il les comptait à 100%, il compterait également le maître ULIS dans le nombre de classes.

    Pour le SNUDI, tous les élèves doivent compter. On nous l'a rabâché, l'ULIS est un dispositif et non une classe : aucune raison de compter un maître qui est dans un « dispositif » et non une « classe ».
     
  • le DASEN est contraint par un nombre de postes dans le département qui est insuffisant.

Pour le SNUDI-FO, 15 n'est pas aux alentours de 12. N'importe quel élève de CP vous le dira. Nous demandons que le strict seuil de 12 soit appliqué. Tous les élèves doivent compter également.

Si des postes manquent, ouvrons la liste complémentaire ! Nos collègues de La Réunion ont obtenu son ouverture par les manifestations et les mobilisations pour alléger leurs effectifs.

Votes => Pour : administration. Abstentions : UNSA, FO, SNE. Contre : FSU.
 

Hors-Classe : 14 collègues inscrit-es dans le tableau de la Hors-Classe en sont sortis pour différentes raisons (retraites, intégration d'un autre corps). 14 nouveaux collègues sont donc admis à la Hors-Classe au 1er septembre portant à 479 le nombre de promu-es.

Pour le SNUDI-FO, l'ancienneté doit rester le critère d'accès à la Hors-Classe. Aucun personnel ne doit partir sans l'avoir intégrée.

Les ex-instituteurs et institutrices restent honteusement lésés dans notre département. D'autres départements très importants (Paris, Bouches-du-Rhône, Rhône) intègrent les années dans le corps des instituteurs. C'est la rançon de PPCR dont nous demandons toujours l'abrogation.

Le SNUDI-FO a réitéré au DASEN sa revendication pour que cette disposition soit étendue au Pas-de-Calais, nulle raison que nous soyons lésés !

PPCR lèse encore plus les plus anciens d'entre-nous, et contrairement aux assertions de ses défenseurs, ne nous a pas fait gagner un centime de plus depuis sa mise en œuvre.

Pire, PPCR conditionne le dégel du point d'indice aux « indicateurs macro-économiques ».

Le rendez-vous salarial du 24 juillet a gelé le point d'indice...les indicateurs sont au rouge, nous payons la pandémie qui est le fruit de l'incurie gouvernementale.

PPCR = gel du point d'indice + gel des appréciations.

Votes => Pour : Administration, SE. Abstentions : SNU-iPP & SNE. Contre : SNUDI-FO

Note : cette CAPD était la dernière sur les promotions. Le gouvernement veut que les PE se retrouvent seul-es face à leur hiérarchie. C'est plus que jamais l'heure de participer à nos RIS et de rejoindre les rangs d'un syndicat qui revendique.



Direction, salaires, retraites : le SNUDI-FO ne pousse pas les revendications sous le tapis au profit de la crise.

Le Ministère voudrait créer une « union nationale » autour de la crise sanitaire qui enterrerait nos revendications sur les retraites ou la direction d'école. La belle affaire !

Le SNUDI-FO n'est pas un supplétif du Ministère !

Abandon de PPCR et de la loi de Transformation de la Fonction Publique, revalorisation salariale, abandon des projets de loi sur la direction et sur les retraites.

Nous gardons un cap revendicatif qui ne sera pas placé sous l'éteignoir du protocole !

Direction : signez la pétition FO FSU SUD CGT

Direction : non à la loi Rilhac ! Non au statut ! Lire notre communiqué ici.



Les revendications des CPC sont les nôtres !

Exclu-es de l'ISAE, exclu-es des primes REP et REP+, assujetti-es au 1607 heures, possiblement sur le temps de vacances, les CPC demeurent la cinquième roue du carrosse  "1er degré". Ils-elles se voient confier des tâches qui n'ont absolument rien à voir avec leur coeur de métier : assistant de prévention, pourvoyeurs de masques, inspections dans les familles ne scolarisant pas les enfants à trois ans, référent "inclusion" sans formation, suivi des 2S2C...et demain ?

C'est la même chanson que pour nos directeur-trices, on charge la barque jusqu'au naufrage !

Il ne faut pas tomber dans le piège de la division : AESH, PE, CPC, directeur-trices, tous les personnels du premier degré sont traités à la même enseigne : alourdissement des tâches, dégradation des conditions de travail, mépris de la hiérarchie, salaires indignes.

Faire avancer les revendications de toutes et tous, même sous Covid-19, reste la ligne de conduite de Force Ouvrière.

Attribution des primes REP / REP+, amélioration indiciaire, versement de l'ISAE, création d'un troisième poste de CPC dans toutes les circonscriptions, prise en compte réelle des frais de déplacement : des revendications essentielles et légitimes !



Retrouvons-nous en RIS.

Les RIS du SNUDI-FO sont un lieu de discussion et d'information. Ne restez pas seul-e face aux protocoles, à la destruction des statuts. Les RIS se dérouleront dans le respect des règles sanitaires : port du masque, gel (fourni).

Toute RIS est décomptable des 108h, hors APC & conseils d'école, y compris les animations pédagogiques en présence ou à distance.

Des RIS sont organisées dans nombre de secteurs, dès à présent (Arras, Saint-Omer, Lens, Audruicq, Calais...), retrouvez les dates sur notre site.

La fiche à destination de l'IEN ici

Tout sur nos droits à RIS ici

Les dates ici, en page d'accueil

Plus que jamais, adhérer au SNUDI-FO, c'est défendre les intérêts matériels et moraux des personnels et leurs statuts.

Plus que jamais, c'est préserver l’École de la République et garantir son indépendance.

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Un protocole qui protège le Ministre, pas les personnels.

Alors que des collègues nous signalent peiner à obtenir des masques, du gel hydroalcoolique, les personnels en situation de fragilité sont oubliés et méprisés. L'administration n'est même pas capable de leur fournir un masque FFP2.

Quid des ASA ?

Toujours pas d'ASA ni d’imputabilité au service. Les enseignant-es, y compris les plus fragiles, sont envoyés littéralement au casse-pipe.

En cas de manquement de notre employeur à vous fournir le matériel (gel, masques, lingettes virucides), contactez le SNUDI-FO.

Jour de carence, mise à l'isolement : les réponses du ministère ici

Un protocole pour protéger...le Ministre. Lire ici.


Carte scolaire, ajustement des passages à la Hors-Classe.

Carte scolaire : le DASEN a ouvert 4 classes, dont 3 maternelles dont la moyenne par classe s'élevait nettement au-dessus de 30. Une classe a été rouverte dans un RPI.
C'est maigre au regard du nombre de dossiers que défendaient les organisations syndicales. Le DASEN a accédé à une demande défendue par le SNUDI-FO.

Que faut il retenir ?

  • le seuil des classes dédoublées prétendument aux alentours de 12 est en fait 15. La notion d'alentours est particulièrement large...
     
  • les élèves en inclusion compte pour ½ élève. Le DASEN se félicite de cette disposition qui est supérieure à ce qui se pratique dans d'autres départements, où ces élèves ne compteraient pas. Il indique que s'il les comptait à 100%, il compterait également le maître ULIS dans le nombre de classes.

    Pour le SNUDI, tous les élèves doivent compter. On nous l'a rabâché, l'ULIS est un dispositif et non une classe : aucune raison de compter un maître qui est dans un « dispositif » et non une « classe ».
     
  • le DASEN est contraint par un nombre de postes dans le département qui est insuffisant.

Pour le SNUDI-FO, 15 n'est pas aux alentours de 12. N'importe quel élève de CP vous le dira. Nous demandons que le strict seuil de 12 soit appliqué. Tous les élèves doivent compter également.

Si des postes manquent, ouvrons la liste complémentaire ! Nos collègues de La Réunion ont obtenu son ouverture par les manifestations et les mobilisations pour alléger leurs effectifs.

Votes => Pour : administration. Abstentions : UNSA, FO, SNE. Contre : FSU.
 

Hors-Classe : 14 collègues inscrit-es dans le tableau de la Hors-Classe en sont sortis pour différentes raisons (retraites, intégration d'un autre corps). 14 nouveaux collègues sont donc admis à la Hors-Classe au 1er septembre portant à 479 le nombre de promu-es.

Pour le SNUDI-FO, l'ancienneté doit rester le critère d'accès à la Hors-Classe. Aucun personnel ne doit partir sans l'avoir intégrée.

Les ex-instituteurs et institutrices restent honteusement lésés dans notre département. D'autres départements très importants (Paris, Bouches-du-Rhône, Rhône) intègrent les années dans le corps des instituteurs. C'est la rançon de PPCR dont nous demandons toujours l'abrogation.

Le SNUDI-FO a réitéré au DASEN sa revendication pour que cette disposition soit étendue au Pas-de-Calais, nulle raison que nous soyons lésés !

PPCR lèse encore plus les plus anciens d'entre-nous, et contrairement aux assertions de ses défenseurs, ne nous a pas fait gagner un centime de plus depuis sa mise en œuvre.

Pire, PPCR conditionne le dégel du point d'indice aux « indicateurs macro-économiques ».

Le rendez-vous salarial du 24 juillet a gelé le point d'indice...les indicateurs sont au rouge, nous payons la pandémie qui est le fruit de l'incurie gouvernementale.

PPCR = gel du point d'indice + gel des appréciations.

Votes => Pour : Administration, SE. Abstentions : SNU-iPP & SNE. Contre : SNUDI-FO

Note : cette CAPD était la dernière sur les promotions. Le gouvernement veut que les PE se retrouvent seul-es face à leur hiérarchie. C'est plus que jamais l'heure de participer à nos RIS et de rejoindre les rangs d'un syndicat qui revendique.



Direction, salaires, retraites : le SNUDI-FO ne pousse pas les revendications sous le tapis au profit de la crise.

Le Ministère voudrait créer une « union nationale » autour de la crise sanitaire qui enterrerait nos revendications sur les retraites ou la direction d'école. La belle affaire !

Le SNUDI-FO n'est pas un supplétif du Ministère !

Abandon de PPCR et de la loi de Transformation de la Fonction Publique, revalorisation salariale, abandon des projets de loi sur la direction et sur les retraites.

Nous gardons un cap revendicatif qui ne sera pas placé sous l'éteignoir du protocole !

Direction : signez la pétition FO FSU SUD CGT

Direction : non à la loi Rilhac ! Non au statut ! Lire notre communiqué ici.



Les revendications des CPC sont les nôtres !

Exclu-es de l'ISAE, exclu-es des primes REP et REP+, assujetti-es au 1607 heures, possiblement sur le temps de vacances, les CPC demeurent la cinquième roue du carrosse  "1er degré". Ils-elles se voient confier des tâches qui n'ont absolument rien à voir avec leur coeur de métier : assistant de prévention, pourvoyeurs de masques, inspections dans les familles ne scolarisant pas les enfants à trois ans, référent "inclusion" sans formation, suivi des 2S2C...et demain ?

C'est la même chanson que pour nos directeur-trices, on charge la barque jusqu'au naufrage !

Il ne faut pas tomber dans le piège de la division : AESH, PE, CPC, directeur-trices, tous les personnels du premier degré sont traités à la même enseigne : alourdissement des tâches, dégradation des conditions de travail, mépris de la hiérarchie, salaires indignes.

Faire avancer les revendications de toutes et tous, même sous Covid-19, reste la ligne de conduite de Force Ouvrière.

Attribution des primes REP / REP+, amélioration indiciaire, versement de l'ISAE, création d'un troisième poste de CPC dans toutes les circonscriptions, prise en compte réelle des frais de déplacement : des revendications essentielles et légitimes !



Retrouvons-nous en RIS.

Les RIS du SNUDI-FO sont un lieu de discussion et d'information. Ne restez pas seul-e face aux protocoles, à la destruction des statuts. Les RIS se dérouleront dans le respect des règles sanitaires : port du masque, gel (fourni).

Toute RIS est décomptable des 108h, hors APC & conseils d'école, y compris les animations pédagogiques en présence ou à distance.

Des RIS sont organisées dans nombre de secteurs, dès à présent (Arras, Saint-Omer, Lens, Audruicq, Calais...), retrouvez les dates sur notre site.

La fiche à destination de l'IEN ici

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Plus que jamais, adhérer au SNUDI-FO, c'est défendre les intérêts matériels et moraux des personnels et leurs statuts.

Plus que jamais, c'est préserver l’École de la République et garantir son indépendance.

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Une rentrée au pain sec et à l'eau.

Les changements ministériels n'ont pas marqué une inflexion de la politique budgétaire à l'encontre des agents de la fonction publique.

Le rendez-vous salarial du 24 juillet illustre parfaitement les dégâts occasionnés par PPCR qui prévoit que les hausses de salaires soient conditionnées par « les indicateurs macro-économiques ».

FO se félicite d'avoir refusé ce protocole avec SUD et la CGT.

Pour le SNUDI-FO, la hausse de 183 euros (49 points d'indice) obtenue par les agents hospitaliers par la mobilisation et la grève constitue un point de départ pour la reconquête des 18% de pouvoir d'achat perdus en 20 ans (chiffres INSEE) par les PE. Le SNUDI-FO se bat pour que cette augmentation nous soit attribuée. 

Notre communiqué de rentrée ici


Un protocole en trompe l’œil pour attaquer le statut.

Le protocole nouveau est arrivé. Indice de protection proche de zéro.

Parfaitement scandaleux, il ne prévoit aucune ASA pour les personnels vulnérables qui sont priés de retourner au travail, quel qu'en soit le risque.

Au mieux, ce seront des masques spécifiques dont on ne sait pas à ce jour s'ils sont conformes à la norme FFP2, seule reconnue comme protectrice par le Code du Travail.

Il indique des scenarii en cas de reprise de l'épidémie qui met en place le télétravail de manière arbitraire (sans consultation des représentants du personnel) et toujours aux frais des enseignants (connexion, matériel informatique).

Il met en place les 2S2C qui délèguent aux territoires et autres collectivités locales l'enseignement : une attaque contre notre statut et une énième tentative de territorialisation de l'école.

Il met en pièce la gratuité de l'École Républicaine en faisant porter le coût de l'achat des masques pour les élèves de plus de 11 ans par les familles.

Il permet au Ministère de fonctionner par des protocoles non-soumis au CHSCT : un protocole se discute, il ne s'impose pas. Sinon, ça s'appelle un diktat ! C'est la raison pour laquelle notre fédération se désolidarise de la mascarade en n'assistant pas au CHSCT ministériel, devenu chambre d'enregistrement des décisions unilatérales du ministre.

Ainsi le Ministère se dédouane d'effectuer un suivi des agents en situation de vulnérabilité et se soustrait aux obligations de l'employeur en matière de sécurité au travail. A quand une vraie médecine du travail pour les enseignant-es ?

Il fait reposer sur les enseignant-es le poids de l'application du protocole et il en profitera pour accuser les collègues en cas de « cluster » (foyer d'infection, en français) comme ce fut le cas dans une circonscription de notre département.

Le Ministère nous abandonne à ce protocole insuffisant et culpabilisant. Protocole sanitaire ou comment se laver ainsi les mains de ses responsabilités...Au gel hydroalcoolique, bien sûr.

En lieu et place d'un protocole, nous exigeons des masques FFP2 pour tous les personnels, des ASA pour les plus vulnérables d'entre-nous, la mise en place d'une véritable médecine du travail, et l'imputabilité au service en cas de contamination (accident du travail).

Nous ne participerons pas à la mascarade (lire ici notre communiqué)

A qui profite la crise ?

Le premier Ministre Castex, en ouvrant l'université d'été du MEDEF, a rappelé qu'il était aux ordres de cette organisation : (« au chevet des patrons », selon Le Point, « câlinant les patrons » selon Le Parisien, des titres qu'on ne peut soupçonner de sympathies syndicales).

Roux de Bézieux en a remis une couche sur la nécessité de « travailler plus pour gagner moins » pour résumer sa « pensée ». Le MEDEF insiste sur la nécessité de diminuer la masse salariale des agents de la Fonction Publique...voir notre premier point de ce mail.

Du côté Éducation Nationale, la crise sanitaire permet de détruire le bac, imposer le télétravail, imposer un statut aux directeur-trices sans contrepartie de décharge. Oubliées les décharges totales pour les directeur-trices à la tête d'écoles de plus de 8 classes pour faire avaler la couleuvre.

Au menu des directeur-trices : devenir délégataire de l'autorité du DASEN (le caporalisme fait recette) et appliquer les décisions du Conseil d’École dans lequel les enseignants ne sont pas majoritaires...fin de l'indépendance de l’École, de la liberté pédagogique déjà entravée par les évaluations nationales obligatoires et les petits guides multicolores.

Retrouvez notre 4 pages "direction" ici

Pour le SNUDI-FO, le statut du directeur doit être abandonné, les évaluations ne doivent avoir aucun caractère obligatoire, c'est en ce sens que nous sommes intervenus au Ministère.

Indépendance de l'Ecole non-soumise aux politiques locales, indépendance des directeur-trices, liberté pédagogique sont aux racines de nos statuts !

Lire la suite Lire la suite

Une rentrée au pain sec et à l'eau.

Les changements ministériels n'ont pas marqué une inflexion de la politique budgétaire à l'encontre des agents de la fonction publique.

Le rendez-vous salarial du 24 juillet illustre parfaitement les dégâts occasionnés par PPCR qui prévoit que les hausses de salaires soient conditionnées par « les indicateurs macro-économiques ».

FO se félicite d'avoir refusé ce protocole avec SUD et la CGT.

Pour le SNUDI-FO, la hausse de 183 euros (49 points d'indice) obtenue par les agents hospitaliers par la mobilisation et la grève constitue un point de départ pour la reconquête des 18% de pouvoir d'achat perdus en 20 ans (chiffres INSEE) par les PE. Le SNUDI-FO se bat pour que cette augmentation nous soit attribuée. 

Notre communiqué de rentrée ici


Un protocole en trompe l’œil pour attaquer le statut.

Le protocole nouveau est arrivé. Indice de protection proche de zéro.

Parfaitement scandaleux, il ne prévoit aucune ASA pour les personnels vulnérables qui sont priés de retourner au travail, quel qu'en soit le risque.

Au mieux, ce seront des masques spécifiques dont on ne sait pas à ce jour s'ils sont conformes à la norme FFP2, seule reconnue comme protectrice par le Code du Travail.

Il indique des scenarii en cas de reprise de l'épidémie qui met en place le télétravail de manière arbitraire (sans consultation des représentants du personnel) et toujours aux frais des enseignants (connexion, matériel informatique).

Il met en place les 2S2C qui délèguent aux territoires et autres collectivités locales l'enseignement : une attaque contre notre statut et une énième tentative de territorialisation de l'école.

Il met en pièce la gratuité de l'École Républicaine en faisant porter le coût de l'achat des masques pour les élèves de plus de 11 ans par les familles.

Il permet au Ministère de fonctionner par des protocoles non-soumis au CHSCT : un protocole se discute, il ne s'impose pas. Sinon, ça s'appelle un diktat ! C'est la raison pour laquelle notre fédération se désolidarise de la mascarade en n'assistant pas au CHSCT ministériel, devenu chambre d'enregistrement des décisions unilatérales du ministre.

Ainsi le Ministère se dédouane d'effectuer un suivi des agents en situation de vulnérabilité et se soustrait aux obligations de l'employeur en matière de sécurité au travail. A quand une vraie médecine du travail pour les enseignant-es ?

Il fait reposer sur les enseignant-es le poids de l'application du protocole et il en profitera pour accuser les collègues en cas de « cluster » (foyer d'infection, en français) comme ce fut le cas dans une circonscription de notre département.

Le Ministère nous abandonne à ce protocole insuffisant et culpabilisant. Protocole sanitaire ou comment se laver ainsi les mains de ses responsabilités...Au gel hydroalcoolique, bien sûr.

En lieu et place d'un protocole, nous exigeons des masques FFP2 pour tous les personnels, des ASA pour les plus vulnérables d'entre-nous, la mise en place d'une véritable médecine du travail, et l'imputabilité au service en cas de contamination (accident du travail).

Nous ne participerons pas à la mascarade (lire ici notre communiqué)

A qui profite la crise ?

Le premier Ministre Castex, en ouvrant l'université d'été du MEDEF, a rappelé qu'il était aux ordres de cette organisation : (« au chevet des patrons », selon Le Point, « câlinant les patrons » selon Le Parisien, des titres qu'on ne peut soupçonner de sympathies syndicales).

Roux de Bézieux en a remis une couche sur la nécessité de « travailler plus pour gagner moins » pour résumer sa « pensée ». Le MEDEF insiste sur la nécessité de diminuer la masse salariale des agents de la Fonction Publique...voir notre premier point de ce mail.

Du côté Éducation Nationale, la crise sanitaire permet de détruire le bac, imposer le télétravail, imposer un statut aux directeur-trices sans contrepartie de décharge. Oubliées les décharges totales pour les directeur-trices à la tête d'écoles de plus de 8 classes pour faire avaler la couleuvre.

Au menu des directeur-trices : devenir délégataire de l'autorité du DASEN (le caporalisme fait recette) et appliquer les décisions du Conseil d’École dans lequel les enseignants ne sont pas majoritaires...fin de l'indépendance de l’École, de la liberté pédagogique déjà entravée par les évaluations nationales obligatoires et les petits guides multicolores.

Retrouvez notre 4 pages "direction" ici

Pour le SNUDI-FO, le statut du directeur doit être abandonné, les évaluations ne doivent avoir aucun caractère obligatoire, c'est en ce sens que nous sommes intervenus au Ministère.

Indépendance de l'Ecole non-soumise aux politiques locales, indépendance des directeur-trices, liberté pédagogique sont aux racines de nos statuts !

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LE SNUDI-FO, SON BUREAU, SES MILITANT-ES, VOUS SOUHAITENT D'EXCELLENTES VACANCES, AMPLEMENT MÉRITÉES.

Direction : une audience surréaliste avec le Ministre.

Complètement hors-sol. Le Ministre, confit dans une auto-satisfaction surréaliste de sa gestion de crise, refuse d'accéder aux revendications légitimes des directeur-trices et de leurs adjoint.

100 points d'indice, hausse des décharges, retour des aides administratives pérennes, tout ça est jeté aux oubliettes

Le SNUDI-FO continuera pendant les vacances à porter les revendications des personnels haut et fort.
 

Accompagnement sauce PPCR et travail durant les vacances : pour le SNUDI, c'est toujours non.

Chaque nouvelle destruction des statuts, des missions, des obligations réglementaires de service s'appuie sur PPCR, le bulldozer.

Avec ses 3 rendez-vous de carrière qui font peser toute une carrière sur trois moments, avec ses revalorisations-pipeau, avec ses accès à la hors-classe et à la classe exceptionnelle purement subjectifs, avec ses appréciations à l'arrachée et ses accompagnements-flicage qui ne vous garantissent aucune amélioration de votre appréciation, PPCR se pose en bulldozer des statuts et des missions.

Le ministère en fait encore une « brillante » démonstration.

A lire ici

 Les stupides et honteux badges "d'agilité pédagogique" pourront rentrer dans les évaluations PPCR. Comme si PPCR ne se suffisait pas en terme de bêtise et d'arbitraire.

Comme le dit Einstein : "deux choses sont infinies : l'Univers et la bêtise humaine. Mais pour l'Univers, je n'ai pas de certitude absolue". CQFD.

Les badges du mépris et PPCR...toujours plus loin dans le mépris, à lire ici.


Mouvement.

Vous pouvez exercer un recours dans les 2 mois suivant le mouvement ou simplement demander des éclaircissements sur votre affectation ou absence d'affectation.

Nous vous invitons à contacter le SNUDI-FO pour tout recours. Il y aura toujours un militant pour vous répondre.

Carte scolaire / CTSD.

Un CTSD se tiendra dès la rentrée. Nous pourrons encore y défendre votre école. Si vous craignez une fermeture (chute des effectifs) ou espérez une ouverture, renvoyez-nous la fiche en lien.

La fiche à remplir, enregistrer et envoyer ici

Notre déclaration au dernier CTSD de l'année scolaire ici

Plus que jamais, adhérer au SNUDI-FO, c'est défendre les statuts et missions.

Déjà des RIS programmées en présentiel ! Ne les loupez pas !

Lire la suite Lire la suite

LE SNUDI-FO, SON BUREAU, SES MILITANT-ES, VOUS SOUHAITENT D'EXCELLENTES VACANCES, AMPLEMENT MÉRITÉES.

Direction : une audience surréaliste avec le Ministre.

Complètement hors-sol. Le Ministre, confit dans une auto-satisfaction surréaliste de sa gestion de crise, refuse d'accéder aux revendications légitimes des directeur-trices et de leurs adjoint.

100 points d'indice, hausse des décharges, retour des aides administratives pérennes, tout ça est jeté aux oubliettes

Le SNUDI-FO continuera pendant les vacances à porter les revendications des personnels haut et fort.
 

Accompagnement sauce PPCR et travail durant les vacances : pour le SNUDI, c'est toujours non.

Chaque nouvelle destruction des statuts, des missions, des obligations réglementaires de service s'appuie sur PPCR, le bulldozer.

Avec ses 3 rendez-vous de carrière qui font peser toute une carrière sur trois moments, avec ses revalorisations-pipeau, avec ses accès à la hors-classe et à la classe exceptionnelle purement subjectifs, avec ses appréciations à l'arrachée et ses accompagnements-flicage qui ne vous garantissent aucune amélioration de votre appréciation, PPCR se pose en bulldozer des statuts et des missions.

Le ministère en fait encore une « brillante » démonstration.

A lire ici

 Les stupides et honteux badges "d'agilité pédagogique" pourront rentrer dans les évaluations PPCR. Comme si PPCR ne se suffisait pas en terme de bêtise et d'arbitraire.

Comme le dit Einstein : "deux choses sont infinies : l'Univers et la bêtise humaine. Mais pour l'Univers, je n'ai pas de certitude absolue". CQFD.

Les badges du mépris et PPCR...toujours plus loin dans le mépris, à lire ici.


Mouvement.

Vous pouvez exercer un recours dans les 2 mois suivant le mouvement ou simplement demander des éclaircissements sur votre affectation ou absence d'affectation.

Nous vous invitons à contacter le SNUDI-FO pour tout recours. Il y aura toujours un militant pour vous répondre.

Carte scolaire / CTSD.

Un CTSD se tiendra dès la rentrée. Nous pourrons encore y défendre votre école. Si vous craignez une fermeture (chute des effectifs) ou espérez une ouverture, renvoyez-nous la fiche en lien.

La fiche à remplir, enregistrer et envoyer ici

Notre déclaration au dernier CTSD de l'année scolaire ici

Plus que jamais, adhérer au SNUDI-FO, c'est défendre les statuts et missions.

Déjà des RIS programmées en présentiel ! Ne les loupez pas !

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Non à la privatisation de la difficulté scolaire.

Que la difficulté scolaire soit celle avec laquelle nous travaillons tous quotidiennement ou celle consécutive à la gestion catastrophique crise du Covid-19, le SNUDI-FO revendique que le secteur privé et marchand soit tenu à l'écart de son traitement.

L’immixtion d'associations, de lobbies qui tentent d'imposer leur loi pédagogique est intolérable.

Ce ne sont pas des vacances apprenantes sous l'égide de « think tanks » pseudo-pédagogistes qu'il faut à nos élèves.

Il faut leur garantir

  • une politique publique ambitieuse qui leur permettra de bénéficier de vraies vacances, avec des activités culturelles et sportives de qualité ;

  • des enseignants en nombre suffisant pour pouvoir travailler en petits groupes tout au long de l'année et non les salarié-es sans statut et non-formés des dispositifs 2S2C.

    Que ce soit « Agir pour l'École » ou un autre lobby, on n'en veut pas dans nos écoles. Respect de la liberté pédagogique ! 

    Ce lobby entend imposer sa méthode de lecture. Ceux qui ne réussissent pas selon ces méthodes ne sont pas des « handicapés » (citation), n'en déplaise à ses défenseurs.

     Ce lobby est hébergé par le "think tank" Institut Montaigne. Lequel « think tank » est résolument opposé au Service Public et à ses fonctionnaires. Il demande la destruction des statuts et l'accroissement des horaires de tous les fonctionnaires. Il demande la réforme des retraites, la destruction du Code du Travail, et tente de faire rentrer ces idées extrémistes au sein de l'École de la République. Il demande également la diminution des allocations familiales et des prestations de la Sécurité Sociale...Assurément de grands humanistes...L'Institut Montaigne est lui-même financé par des entreprises dont le nom n'évoque guère la philanthropie : Total, LVMH, Carrefour, Vinci avec à sa tête des anciens dirigeants d'AXA ou de la "Bank of America".

    Pour Force Ouvrière, ce dont l'école a besoin, ce sont des postes, des moyens et pas des missionnés du patronat sponsorisés par des entreprises qui s'achètent une éthique et imposent des méthodes !

  • Quelques infos sur "Agir pour l'Ecole ici"


 

On nous humilie !

Des badges... Non vous ne rêvez pas. Le Ministère déploie des trésors de d'inventivité pour nous remercier. Nos collègues hospitaliers ont eu des médailles. Nous aurons des badges d'agilité pédagogique (ne riez pas, c'est nouveau, ça vient de sortir).

Jusqu'où accepterons-nous d'être humilié-es devant la Nation entière ?

C'est un Ministère à la dérive, sans idée mais figé dans une idéologie de casse du service public, de diminution des postes et des salaires qui préside à notre destin. Immixtion du privé et distribution de bons-points (et ce n'est pas une image...)

Dégel du point d'indice pour tous les fonctionnaires !

Respect des statuts et des missions !

Voir sur Facebook ici

ou dans notre fil d'actu en page d'accueil
 

Plus que jamais, adhérer au SNUDI-FO, c'est défendre les intérêts matériels et moraux des personnels.

Plus que jamais, c'est sauver l’École de la République contre les intérêts mercantiles et garantir son indépendance.

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Non à la privatisation de la difficulté scolaire.

Que la difficulté scolaire soit celle avec laquelle nous travaillons tous quotidiennement ou celle consécutive à la gestion catastrophique crise du Covid-19, le SNUDI-FO revendique que le secteur privé et marchand soit tenu à l'écart de son traitement.

L’immixtion d'associations, de lobbies qui tentent d'imposer leur loi pédagogique est intolérable.

Ce ne sont pas des vacances apprenantes sous l'égide de « think tanks » pseudo-pédagogistes qu'il faut à nos élèves.

Il faut leur garantir

  • une politique publique ambitieuse qui leur permettra de bénéficier de vraies vacances, avec des activités culturelles et sportives de qualité ;

  • des enseignants en nombre suffisant pour pouvoir travailler en petits groupes tout au long de l'année et non les salarié-es sans statut et non-formés des dispositifs 2S2C.

    Que ce soit « Agir pour l'École » ou un autre lobby, on n'en veut pas dans nos écoles. Respect de la liberté pédagogique ! 

    Ce lobby entend imposer sa méthode de lecture. Ceux qui ne réussissent pas selon ces méthodes ne sont pas des « handicapés » (citation), n'en déplaise à ses défenseurs.

     Ce lobby est hébergé par le "think tank" Institut Montaigne. Lequel « think tank » est résolument opposé au Service Public et à ses fonctionnaires. Il demande la destruction des statuts et l'accroissement des horaires de tous les fonctionnaires. Il demande la réforme des retraites, la destruction du Code du Travail, et tente de faire rentrer ces idées extrémistes au sein de l'École de la République. Il demande également la diminution des allocations familiales et des prestations de la Sécurité Sociale...Assurément de grands humanistes...L'Institut Montaigne est lui-même financé par des entreprises dont le nom n'évoque guère la philanthropie : Total, LVMH, Carrefour, Vinci avec à sa tête des anciens dirigeants d'AXA ou de la "Bank of America".

    Pour Force Ouvrière, ce dont l'école a besoin, ce sont des postes, des moyens et pas des missionnés du patronat sponsorisés par des entreprises qui s'achètent une éthique et imposent des méthodes !

  • Quelques infos sur "Agir pour l'Ecole ici"


 

On nous humilie !

Des badges... Non vous ne rêvez pas. Le Ministère déploie des trésors de d'inventivité pour nous remercier. Nos collègues hospitaliers ont eu des médailles. Nous aurons des badges d'agilité pédagogique (ne riez pas, c'est nouveau, ça vient de sortir).

Jusqu'où accepterons-nous d'être humilié-es devant la Nation entière ?

C'est un Ministère à la dérive, sans idée mais figé dans une idéologie de casse du service public, de diminution des postes et des salaires qui préside à notre destin. Immixtion du privé et distribution de bons-points (et ce n'est pas une image...)

Dégel du point d'indice pour tous les fonctionnaires !

Respect des statuts et des missions !

Voir sur Facebook ici

ou dans notre fil d'actu en page d'accueil
 

Plus que jamais, adhérer au SNUDI-FO, c'est défendre les intérêts matériels et moraux des personnels.

Plus que jamais, c'est sauver l’École de la République contre les intérêts mercantiles et garantir son indépendance.

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Mouvement 2020 : toujours plus loin dans le mépris des personnels.

Les syndicats ont été mis hors-jeu en supprimant les CAPD. C'est une disposition consécutive à la « loi de transformation de la Fonction Publique ». Déjà PPCR prévoyait la simplification des instances (CAPD, CTSD, CHSCT) dans son axe 3. Accepter une simplification, c'était entériner l'affaiblissement de la représentation syndicale de défense des personnels.

Aujourd'hui, le Ministère prévoit que les erreurs du mouvement ne seront pas corrigées, et que peut-être on accordera une bonification exceptionnelle aux personnels nommés par erreur.

Les recours ? Il faut les faire dans les 2 mois. C'est à dire durant les vacances et vous serez convoqués durant les vacances ou votre délégué syndical le sera...une aberration qui permet de nommer n'importe qui, n'importe où.

Le mouvement devient opaque, inéquitable, arbitraire.

Nous vous invitons à contester systématiquement votre affectation si elle ne vous convient pas de manière à obtenir des explications de la part de l'administration. Contactez-nous !

Le SNUDI-FO, qui a toujours été opposé à une quelconque simplification, fusion, suppression des instances représentatives du personnel (c'est vous que nous représentons) vous propose de vous accompagner dans cette démarche.

La honte du mouvement : communiqué ici

.
Mobilisation du 24 juin : PE, AESH, toutes et tous concerné-es !

Ce sont une centaine de collègues de l’Éducation Nationale (PE, Professeurs des Lycées et Collèges, Administratifs, AESH...) qui se sont rassemblés devant le Rectorat pour défendre les statuts et les missions, dénoncer les protocoles insuffisants et la mise en danger des personnels.

Le délégué FO a rappelé nos exigences en matière de sécurité sanitaire, de dépistage systématique, de fourniture de masques FFP2. Il a rappelé que nous contestons les dispositifs 2S2C qui vont substituer aux enseignants des personnels précaires et la marche forcée vers la numérisation des enseignements.

D'autre part, il a rappelé que le prof-bashing, relayé par le Ministre, doit cesser sans délai.

Dans le cadre de la crise sanitaire, le SNUDI-FO demande notamment le réemploi de tous les collègues AESH et le maintien des accompagnements individuels.

Voir la mobilisation en page d'accueil et les revendications AESH

Direction : qui peut accepter ça ?

Un projet de loi qui tue l'école de la République et ses directeur-trices !

  1. le-la directeur-trice chargé-e d'appliquer les décisions du conseil d'école où les enseignant-es sont minoritaires !

  2. le-la directeur-trice chargé-e d'appliquer les directives du Ministre en mode « robot ». Réfléchir, ce serait commencer à désobéir...

Pas de décharge à la hausse, pas d'indemnités à la hausse. Qui pourrait cautionner une telle dégradation du métier ?

La dérive autoritariste devient inévitable quand l'incompétence et l'incurie du Ministre sont étalées au grand jour. La fronde d'une partie des hauts-fonctionnaires de notre institution, les mobilisations du personnels fragilisent un Ministre contesté jusque dans ses propres rangs. Nous n'en ferons pas les frais !

La loi Rilhac sur la direction : analyse ici

(Re)lire le communiqué direction ici


 

CPC : charge de travail, salaire indécent, la coupe est pleine.

Non ,les CPC ne sont pas des « priviliégié-es ». Le saviez-vous, ils-elles sont privé-es d'ISAE, de prime REP ou REP+, et les maigres bonification indiciaire et indemnité dont ils-elles profitent ne compensent pas la perte de l'ISAE. Si on y ajoute les indemnités kilométriques non payées, à échelon égal, ils-elles sont souvent les plus mal payé-es des PE dans une circo !

Le SNUDI-FO réclame ces primes pour les CPC. Il demande une indemnisation kilométrique réelle ainsi que le dégel du point d'indice, comme pour chaque PE.

Aujourd'hui, les nouveaux plans ministériels ajoutent encore à leurs missions dont certaines ne sont pas statutaires.

PE en classe ou CPC, pour FO, les statuts doivent être respectés pour toutes les catégories de personnel. Le SNUDI-FO se tient à l'entière disposition des CPC pour accompagner les collègues CPC pour porter leurs revendications dans le cadre intersyndical qu'ils ont choisi.


 

Adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !

Contactez-nous pour une adhésion en cours d'année

Lire la suite Lire la suite

Mouvement 2020 : toujours plus loin dans le mépris des personnels.

Les syndicats ont été mis hors-jeu en supprimant les CAPD. C'est une disposition consécutive à la « loi de transformation de la Fonction Publique ». Déjà PPCR prévoyait la simplification des instances (CAPD, CTSD, CHSCT) dans son axe 3. Accepter une simplification, c'était entériner l'affaiblissement de la représentation syndicale de défense des personnels.

Aujourd'hui, le Ministère prévoit que les erreurs du mouvement ne seront pas corrigées, et que peut-être on accordera une bonification exceptionnelle aux personnels nommés par erreur.

Les recours ? Il faut les faire dans les 2 mois. C'est à dire durant les vacances et vous serez convoqués durant les vacances ou votre délégué syndical le sera...une aberration qui permet de nommer n'importe qui, n'importe où.

Le mouvement devient opaque, inéquitable, arbitraire.

Nous vous invitons à contester systématiquement votre affectation si elle ne vous convient pas de manière à obtenir des explications de la part de l'administration. Contactez-nous !

Le SNUDI-FO, qui a toujours été opposé à une quelconque simplification, fusion, suppression des instances représentatives du personnel (c'est vous que nous représentons) vous propose de vous accompagner dans cette démarche.

La honte du mouvement : communiqué ici

.
Mobilisation du 24 juin : PE, AESH, toutes et tous concerné-es !

Ce sont une centaine de collègues de l’Éducation Nationale (PE, Professeurs des Lycées et Collèges, Administratifs, AESH...) qui se sont rassemblés devant le Rectorat pour défendre les statuts et les missions, dénoncer les protocoles insuffisants et la mise en danger des personnels.

Le délégué FO a rappelé nos exigences en matière de sécurité sanitaire, de dépistage systématique, de fourniture de masques FFP2. Il a rappelé que nous contestons les dispositifs 2S2C qui vont substituer aux enseignants des personnels précaires et la marche forcée vers la numérisation des enseignements.

D'autre part, il a rappelé que le prof-bashing, relayé par le Ministre, doit cesser sans délai.

Dans le cadre de la crise sanitaire, le SNUDI-FO demande notamment le réemploi de tous les collègues AESH et le maintien des accompagnements individuels.

Voir la mobilisation en page d'accueil et les revendications AESH

Direction : qui peut accepter ça ?

Un projet de loi qui tue l'école de la République et ses directeur-trices !

  1. le-la directeur-trice chargé-e d'appliquer les décisions du conseil d'école où les enseignant-es sont minoritaires !

  2. le-la directeur-trice chargé-e d'appliquer les directives du Ministre en mode « robot ». Réfléchir, ce serait commencer à désobéir...

Pas de décharge à la hausse, pas d'indemnités à la hausse. Qui pourrait cautionner une telle dégradation du métier ?

La dérive autoritariste devient inévitable quand l'incompétence et l'incurie du Ministre sont étalées au grand jour. La fronde d'une partie des hauts-fonctionnaires de notre institution, les mobilisations du personnels fragilisent un Ministre contesté jusque dans ses propres rangs. Nous n'en ferons pas les frais !

La loi Rilhac sur la direction : analyse ici

(Re)lire le communiqué direction ici


 

CPC : charge de travail, salaire indécent, la coupe est pleine.

Non ,les CPC ne sont pas des « priviliégié-es ». Le saviez-vous, ils-elles sont privé-es d'ISAE, de prime REP ou REP+, et les maigres bonification indiciaire et indemnité dont ils-elles profitent ne compensent pas la perte de l'ISAE. Si on y ajoute les indemnités kilométriques non payées, à échelon égal, ils-elles sont souvent les plus mal payé-es des PE dans une circo !

Le SNUDI-FO réclame ces primes pour les CPC. Il demande une indemnisation kilométrique réelle ainsi que le dégel du point d'indice, comme pour chaque PE.

Aujourd'hui, les nouveaux plans ministériels ajoutent encore à leurs missions dont certaines ne sont pas statutaires.

PE en classe ou CPC, pour FO, les statuts doivent être respectés pour toutes les catégories de personnel. Le SNUDI-FO se tient à l'entière disposition des CPC pour accompagner les collègues CPC pour porter leurs revendications dans le cadre intersyndical qu'ils ont choisi.


 

Adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !

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Des conditions de reprise inacceptables.

Se contredisant une énième fois, le Ministère publie un nouveau texte sur la reprise. Alors qu'il avait garanti que les dispositions concernant les ASA s'étendaient jusqu'à la fin de l'état d'urgence sanitaire (10 juillet), il décide de renvoyer un maximum de collègues en classe au mépris de leur santé et de celle de leurs proches.

3 cas sont identifiés dans le nouveau texte :

  1. vous êtes vous-même « personne à risque ».

    Vous pouvez rester en télétravail avec production d'un certificat médical. Il faut prévenir l'IEN qui vous accordera une ASA. Si cette démarche a déjà été accomplie, pas de problème. La liste est dans le document "Fiche 3", en lien, si besoin.

  2. Vous vivez avec un adulte « personne à risque ».

    Retour au travail. Aucune ASA ne sera accordée pour ce motif.

  3. Vous vivez avec un enfant « personne à risque » (écolier, collégien).

    Si votre enfant ne peut être accueilli à l'école ou au collège du fait de son état de santé, une ASA vous sera accordée pour garde d'enfant. Il faudra produire un certificat médical si cette démarche n'a pas déjà été faite.

    Les certificats médicaux, à ce jour, n'ont pas besoin de porter une date de fin.

    Sont exclues les écoles qui font l'objet d'une mesure de restriction décidée par le Préfet.


 

Nos revendications demeurent.

Pour le SNUDI-FO, cette reprise est inacceptable. Dans notre département, des écoles ferment : des collègues et des enfants sont touchés par la Covid-19. Certains collègues sont même accusés par leur IEN de manquer de civisme et d'exemplarité, comme s'ils avaient propagé le virus sciemment ou par légèreté. Le SNUDI-FO 62 est intervenu auprès du DASEN pour rappeler que le seul responsable de l'incurie sanitaire est le Ministre et non nos collègues.

On le voit, le protocole sanitaire n'a pas pour but de protéger les personnels mais de détruire l'école républicaine en mettant en place un statut de directeur-trice soumis aux communes, la numérisation des apprentissages et le pistage du travail, la mise en place des 2S2C substituant aux enseignant-es des « animateurs ».

Pour le SNUDI-FO, il faut non un protocole destructeur de nos missions et statuts mais de véritables garanties sanitaires ! Dépistage de tous les enseignant-es et masques FFP2, les seuls qui protègent.

Le SNUDI-FO, sur ces revendications, a appelé les autres organisations syndicales à se réunir ensemble devant les DSDEN et/ou les Rectorat dès le 24 juin après-midi pour faire entendre nos revendications.

Notre communiqué "rassemblements du 24 juin" ici

Les mobilisations reprennent : nos collègues soignant-es étaient massivement présent-es à Lille ce mardi. Ne laissons pas ce gouvernement anéantir les statuts, les missions, l’École de la République et nos santés en nous renvoyant en classe sans précaution tout en continuant à détruire l'hôpital.

Parallèlement, le gouvernement organise une campagne de dénigrement systématique des enseignant-es avec ses relais médiatiques.

Il criminalise même l'action syndicale de défense des personnels !

Nous devons nous défendre !


 

Se syndiquer

Adhérer à un syndicat indépendant qui défend les statuts, les missions, les obligations réglementaires de service, notre santé n'a jamais été aussi important.
Adhérez au SNUDI-FO. Le SNUDI-FO syndiquant en année civile, vous pouvez adhérer pour 2020 à mi-tarif. N'hésitez pas à nous contacter 06.13.77.43.84 ou 06.86.45.00.25 ou contact@snudifo62.fr
66% de la somme est déduite du montant des impôts ou versée en crédit d'impôts.
Avec le SNUDI-FO, vous bénéficiez automatiquement de la couverture juridique professionnelle F.O et des services de l'Association FO des Consommateurs (AFOC).

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Des conditions de reprise inacceptables.

Se contredisant une énième fois, le Ministère publie un nouveau texte sur la reprise. Alors qu'il avait garanti que les dispositions concernant les ASA s'étendaient jusqu'à la fin de l'état d'urgence sanitaire (10 juillet), il décide de renvoyer un maximum de collègues en classe au mépris de leur santé et de celle de leurs proches.

3 cas sont identifiés dans le nouveau texte :

  1. vous êtes vous-même « personne à risque ».

    Vous pouvez rester en télétravail avec production d'un certificat médical. Il faut prévenir l'IEN qui vous accordera une ASA. Si cette démarche a déjà été accomplie, pas de problème. La liste est dans le document "Fiche 3", en lien, si besoin.

  2. Vous vivez avec un adulte « personne à risque ».

    Retour au travail. Aucune ASA ne sera accordée pour ce motif.

  3. Vous vivez avec un enfant « personne à risque » (écolier, collégien).

    Si votre enfant ne peut être accueilli à l'école ou au collège du fait de son état de santé, une ASA vous sera accordée pour garde d'enfant. Il faudra produire un certificat médical si cette démarche n'a pas déjà été faite.

    Les certificats médicaux, à ce jour, n'ont pas besoin de porter une date de fin.

    Sont exclues les écoles qui font l'objet d'une mesure de restriction décidée par le Préfet.


 

Nos revendications demeurent.

Pour le SNUDI-FO, cette reprise est inacceptable. Dans notre département, des écoles ferment : des collègues et des enfants sont touchés par la Covid-19. Certains collègues sont même accusés par leur IEN de manquer de civisme et d'exemplarité, comme s'ils avaient propagé le virus sciemment ou par légèreté. Le SNUDI-FO 62 est intervenu auprès du DASEN pour rappeler que le seul responsable de l'incurie sanitaire est le Ministre et non nos collègues.

On le voit, le protocole sanitaire n'a pas pour but de protéger les personnels mais de détruire l'école républicaine en mettant en place un statut de directeur-trice soumis aux communes, la numérisation des apprentissages et le pistage du travail, la mise en place des 2S2C substituant aux enseignant-es des « animateurs ».

Pour le SNUDI-FO, il faut non un protocole destructeur de nos missions et statuts mais de véritables garanties sanitaires ! Dépistage de tous les enseignant-es et masques FFP2, les seuls qui protègent.

Le SNUDI-FO, sur ces revendications, a appelé les autres organisations syndicales à se réunir ensemble devant les DSDEN et/ou les Rectorat dès le 24 juin après-midi pour faire entendre nos revendications.

Notre communiqué "rassemblements du 24 juin" ici

Les mobilisations reprennent : nos collègues soignant-es étaient massivement présent-es à Lille ce mardi. Ne laissons pas ce gouvernement anéantir les statuts, les missions, l’École de la République et nos santés en nous renvoyant en classe sans précaution tout en continuant à détruire l'hôpital.

Parallèlement, le gouvernement organise une campagne de dénigrement systématique des enseignant-es avec ses relais médiatiques.

Il criminalise même l'action syndicale de défense des personnels !

Nous devons nous défendre !


 

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66% de la somme est déduite du montant des impôts ou versée en crédit d'impôts.
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ASA : le point.

Le DASEN l'a confirmé lors de la CAPD « Hors-Classe », les dispositions pour garde d'enfants sont prolongées à l'identique à ce jour et ce jusqu'au 22 juin, date à laquelle le gouvernement devrait faire de nouvelles annonces. En cas de problème, contactez votre syndicat.

Mouvement.

De nombreux-ses collègues nous ont contactés pour faire part d'erreurs de barème dans leur fiche. Vérifiez votre barème si vous participez. Téléchargez le PDF et retournez-le.

Attention : contrairement aux années précédentes, tous les participant-es doivent renvoyer l'accusé de réception avec leur barème, que celui-ci soit correct ou erroné, avant le 12 juin aux services du mouvement, à l'adresse ce.i62dp-a2@ac-lille.fr à partir de leur adresse professionnelle.


 

La hors-classe : les dégâts de PPCR chez les ex-instituteurs-trices continuent.

En 2018, toute une « génération » de collègues était évaluée au débotté, sur dossier, livrée en pâture à l'avis subjectif de l'IEN avec des abus inqualifiables. Au rang de ces évalués, nombre d'ex-instituteurs et institutrices.

  • Ces collègues n'ont jamais pu faire valoir de recours car les avis étaient contingentés 20% « excellent », 40% « très satisfaisant », 40% « satisfaisant ». Faire monter un collègue d'une catégorie signifiait en rétrograder un autre pour respecter les taux. C'était l'argument qui nous était opposé quand nous avons demandé le réexamen des appréciations.

  • Certain-es, avec 20 de note et au 11ème échelon, n'obtenant que l'avis satisfaisant ont perdu un voire deux ans de promotion.

  • L'AGS ne concerne que le temps effectué dans le corps des PE. Le SNUDI a de suite revendiqué la prise en compte des années d'instituteur-trice, suivi par les autres organisations syndicales. Un point qui fait l'unanimité des 4 organisations siégeant en CAPD tant l'injustice est flagrante.

    En 2019 les avis n'étaient plus contingentés et les taux étaient de 30%, 46 et 22%. Les recours étaient facilités.

    En 2020, les taux sont de 33%, 56% et 10%.

    Non seulement les ex-instituteurs et institutrices ont été contingentés, mais de surcroît ils sont susceptibles d'être « doublés » par un nombre de plus en plus important de collègues (+13% d'avis d'excellent en 2 ans).

    Notre hiérarchie nous explique aujourd'hui qu'un avis « satisfaisant » en 2020 est une alerte pour un collègue sur « sa manière de travailler » (10% de collègues en 2020). Or, en 2018, un avis satisfaisant reconnaissait un bon travail. C'est une dépréciation des avis rendus en 2018.

    Un IEN qui a face à lui un-e PE évalué-e « satisfaisant » doit savoir en quelle année il-elle a été évalué-e. En 2018, c'était un professionnel à la valeur reconnue, en 2020 un collègue en difficulté.

    Les avis doivent être révisables à la hausse, et non gravés dans le marbre.

    Pour le SNUDI-FO, il faut en finir avec PPCR ! Il s'agit avec ce protocole d'empêcher les ex-instituteurs et institutrices de partir en retraite plus tôt en minimisant leur carrière et en ayant contingenté les avis rendus en 2018.

    Rappelons-le, ces collègues ont souvent commencé leur carrière à 20 ou 21 ans.

PPCR permet aussi des dispositifs d'accompagnement pour des collègues ou des écoles ciblés mais qui ne permettent aucune progression. PPCR, c'est l'inspection permanente mais sans possibilité de progrès !

Carrières, promotions, salaires, tout sur PPCR ici

Vote lors de la CAPD hors-classe

Pour : SE                Abstention : SNU-iPP et SNE                      Contre : SNUDI-FO

Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui s'appuie sur une évaluation sans recours, figée et appuyée sur une grille où les compétences professionnelles sont reléguées au deuxième plan face à des compétences "relationnelles" avec les mairies, les parents, les associations.

PPCR c'est l'école des territoires contre l'Ecole de la République !

Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui acte le gel du point d'indice qui serait relevé "en fonction des indicateurs macro-économiques". La crise sanitaire nous a donné raison : ces indicateurs ne sont jamais au vert pour les salariés.

Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui portait les prémices de la fin des CAPD (et donc de la défense collective de nos droits) en imposant "la simplification des instances représentatives du personnel".

La déclaration du SNUDI-FO ici

Quelques chiffres : 465 collègues sont promus cette année, contre 388 à la même époque l'année passée. Un ajustement aura lieu en septembre en fonction des départs en retraites, changements de corps des promus. Cette hausse est due à l'alignement 1er/2nd degré du taux de promus, revendication du SNUDI-FO. Depuis la création de la Hors-Classe (sous Jospin, ça ne date pas d'hier), les PE étaient lésés.

La première promue a un barème de 210, la dernière 150 avec une ancienneté de 12 ans dans le corps des PE.

La Hors-Classe : comment ça marche ? Le lien ici.

Plus que jamais, adhérer pour 2020 au SNUDI-FO, c'est réellement défendre les postes, les salaires, les conditions de travail et les retraites !

Réadhérez et faites adhérer au SNUDI !

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ASA : le point.

Le DASEN l'a confirmé lors de la CAPD « Hors-Classe », les dispositions pour garde d'enfants sont prolongées à l'identique à ce jour et ce jusqu'au 22 juin, date à laquelle le gouvernement devrait faire de nouvelles annonces. En cas de problème, contactez votre syndicat.

Mouvement.

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Attention : contrairement aux années précédentes, tous les participant-es doivent renvoyer l'accusé de réception avec leur barème, que celui-ci soit correct ou erroné, avant le 12 juin aux services du mouvement, à l'adresse ce.i62dp-a2@ac-lille.fr à partir de leur adresse professionnelle.


 

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En 2018, toute une « génération » de collègues était évaluée au débotté, sur dossier, livrée en pâture à l'avis subjectif de l'IEN avec des abus inqualifiables. Au rang de ces évalués, nombre d'ex-instituteurs et institutrices.

  • Ces collègues n'ont jamais pu faire valoir de recours car les avis étaient contingentés 20% « excellent », 40% « très satisfaisant », 40% « satisfaisant ». Faire monter un collègue d'une catégorie signifiait en rétrograder un autre pour respecter les taux. C'était l'argument qui nous était opposé quand nous avons demandé le réexamen des appréciations.

  • Certain-es, avec 20 de note et au 11ème échelon, n'obtenant que l'avis satisfaisant ont perdu un voire deux ans de promotion.

  • L'AGS ne concerne que le temps effectué dans le corps des PE. Le SNUDI a de suite revendiqué la prise en compte des années d'instituteur-trice, suivi par les autres organisations syndicales. Un point qui fait l'unanimité des 4 organisations siégeant en CAPD tant l'injustice est flagrante.

    En 2019 les avis n'étaient plus contingentés et les taux étaient de 30%, 46 et 22%. Les recours étaient facilités.

    En 2020, les taux sont de 33%, 56% et 10%.

    Non seulement les ex-instituteurs et institutrices ont été contingentés, mais de surcroît ils sont susceptibles d'être « doublés » par un nombre de plus en plus important de collègues (+13% d'avis d'excellent en 2 ans).

    Notre hiérarchie nous explique aujourd'hui qu'un avis « satisfaisant » en 2020 est une alerte pour un collègue sur « sa manière de travailler » (10% de collègues en 2020). Or, en 2018, un avis satisfaisant reconnaissait un bon travail. C'est une dépréciation des avis rendus en 2018.

    Un IEN qui a face à lui un-e PE évalué-e « satisfaisant » doit savoir en quelle année il-elle a été évalué-e. En 2018, c'était un professionnel à la valeur reconnue, en 2020 un collègue en difficulté.

    Les avis doivent être révisables à la hausse, et non gravés dans le marbre.

    Pour le SNUDI-FO, il faut en finir avec PPCR ! Il s'agit avec ce protocole d'empêcher les ex-instituteurs et institutrices de partir en retraite plus tôt en minimisant leur carrière et en ayant contingenté les avis rendus en 2018.

    Rappelons-le, ces collègues ont souvent commencé leur carrière à 20 ou 21 ans.

PPCR permet aussi des dispositifs d'accompagnement pour des collègues ou des écoles ciblés mais qui ne permettent aucune progression. PPCR, c'est l'inspection permanente mais sans possibilité de progrès !

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Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui acte le gel du point d'indice qui serait relevé "en fonction des indicateurs macro-économiques". La crise sanitaire nous a donné raison : ces indicateurs ne sont jamais au vert pour les salariés.

Le SNUDI-FO est opposé à PPCR qui portait les prémices de la fin des CAPD (et donc de la défense collective de nos droits) en imposant "la simplification des instances représentatives du personnel".

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Quelques chiffres : 465 collègues sont promus cette année, contre 388 à la même époque l'année passée. Un ajustement aura lieu en septembre en fonction des départs en retraites, changements de corps des promus. Cette hausse est due à l'alignement 1er/2nd degré du taux de promus, revendication du SNUDI-FO. Depuis la création de la Hors-Classe (sous Jospin, ça ne date pas d'hier), les PE étaient lésés.

La première promue a un barème de 210, la dernière 150 avec une ancienneté de 12 ans dans le corps des PE.

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En 2018, toute une « génération » de collègues était évaluée au débotté, sur dossier, livrée en pâture à l'avis subjectif de l'IEN avec des abus inqualifiables. Au rang de ces évalués, nombre d'ex-instituteurs et institutrices.

  • Ces collègues n'ont jamais pu faire valoir de recours car les avis étaient contingentés 20% « excellent », 40% « très satisfaisant », 40% « satisfaisant ». Faire monter un collègue d'une catégorie signifiait en rétrograder un autre pour respecter les taux. C'était l'argument qui nous était opposé quand nous avons demandé le réexamen des appréciations.

  • Certain-es, avec 20 de note et au 11ème échelon, n'obtenant que l'avis satisfaisant ont perdu un voire deux ans de promotion.

  • L'AGS ne concerne que le temps effectué dans le corps des PE. Le SNUDI a de suite revendiqué la prise en compte des années d'instituteur-trice, suivi par les autres organisations syndicales. Un point qui fait l'unanimité des 4 organisations siégeant en CAPD tant l'injustice est flagrante.

    En 2019 les avis n'étaient plus contingentés et les taux étaient de 30%, 46 et 22%. Les recours étaient facilités.

    En 2020, les taux sont de 33%, 56% et 10%.

    Non seulement les ex-instituteurs et institutrices ont été contingentés, mais de surcroît ils sont susceptibles d'être « doublés » par un nombre de plus en plus important de collègues (+13% d'avis d'excellent en 2 ans).

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    Un IEN qui a face à lui un-e PE évalué-e « satisfaisant » doit savoir en quelle année il-elle a été évalué-e. En 2018, c'était un professionnel à la valeur reconnue, en 2020 un collègue en difficulté.

    Les avis doivent être révisables à la hausse, et non gravés dans le marbre.

    Pour le SNUDI-FO, il faut en finir avec PPCR ! Il s'agit avec ce protocole d'empêcher les ex-instituteurs et institutrices de partir en retraite plus tôt en minimisant leur carrière et en ayant contingenté les avis rendus en 2018.

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En 2018, toute une « génération » de collègues était évaluée au débotté, sur dossier, livrée en pâture à l'avis subjectif de l'IEN avec des abus inqualifiables. Au rang de ces évalués, nombre d'ex-instituteurs et institutrices.

  • Ces collègues n'ont jamais pu faire valoir de recours car les avis étaient contingentés 20% « excellent », 40% « très satisfaisant », 40% « satisfaisant ». Faire monter un collègue d'une catégorie signifiait en rétrograder un autre pour respecter les taux. C'était l'argument qui nous était opposé quand nous avons demandé le réexamen des appréciations.

  • Certain-es, avec 20 de note et au 11ème échelon, n'obtenant que l'avis satisfaisant ont perdu un voire deux ans de promotion.

  • L'AGS ne concerne que le temps effectué dans le corps des PE. Le SNUDI a de suite revendiqué la prise en compte des années d'instituteur-trice, suivi par les autres organisations syndicales. Un point qui fait l'unanimité des 4 organisations siégeant en CAPD tant l'injustice est flagrante.

    En 2019 les avis n'étaient plus contingentés et les taux étaient de 30%, 46 et 22%. Les recours étaient facilités.

    En 2020, les taux sont de 33%, 56% et 10%.

    Non seulement les ex-instituteurs et institutrices ont été contingentés, mais de surcroît ils sont susceptibles d'être « doublés » par un nombre de plus en plus important de collègues (+13% d'avis d'excellent en 2 ans).

    Notre hiérarchie nous explique aujourd'hui qu'un avis « satisfaisant » en 2020 est une alerte pour un collègue sur « sa manière de travailler » (10% de collègues en 2020). Or, en 2018, un avis satisfaisant reconnaissait un bon travail. C'est une dépréciation des avis rendus en 2018.

    Un IEN qui a face à lui un-e PE évalué-e « satisfaisant » doit savoir en quelle année il-elle a été évalué-e. En 2018, c'était un professionnel à la valeur reconnue, en 2020 un collègue en difficulté.

    Les avis doivent être révisables à la hausse, et non gravés dans le marbre.

    Pour le SNUDI-FO, il faut en finir avec PPCR ! Il s'agit avec ce protocole d'empêcher les ex-instituteurs et institutrices de partir en retraite plus tôt en minimisant leur carrière et en ayant contingenté les avis rendus en 2018.

    Rappelons-le, ces collègues ont souvent commencé leur carrière à 20 ou 21 ans.

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